Cichlidamerique

Le site spécialisé des passionnés de cichlidés américains.

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[2ème partie] La phytothérapie, pour les poissons aussi !

La phytothérapie, pour les poissons aussi !

Les fruits d’aulne

Les fruits d’aulne ont la particularité de baisser très efficacement le PH, compter un fruit pour 15L.

Les fruits d’aulnes sont très utilisés en aquariophilie et notamment dans la maintenance de crevettes.

Ils ont des propriétés antifongiques, et antibactériennes, permette de baisser légèrement le Ph, et facilitent la mue des crevettes et autres.

Les cônes d’aulne nommé aussi fruit d’aulne contiennent des acides humiques et tanniques de qualité qui protègent naturellement vos poissons d’aquarium de nombreuses maladies.

Ils sont recommandés pour les poissons originaires des zones tropicales à eau « noire », comme les Discus, les cardinalis, les scalaires, les cichlidés nains, mais aussi les crevettes qui en plus d’apprécier les tannins aiment venir manger la micro-faune et flore qui se

développe sur le fruit.

Caractéristiques des cônes :

  • Créent une eau d’aquarium proche de celle où vivent à l’état naturel les poissons tropicaux
  • Favorisent le bien-être, la vitalité et stimule le frai
  • Préviennent les mycoses des poissons et les moisissures des œufs
  • Acidifient l’eau et baisse le pH
  • Ce sont des produits 100% naturel.

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Les « aliens » ont atterri à Calcutta !

The aliens have landed in Calcutta ! TRADUCTION : Les « aliens » ont atterri à Calcutta ! Des plantes et des espèces animales non originaires de Calcutta prennent le contrôle des écosystèmes de la ville. Ce qui a fait surface il y a deux mois n’était que la partie visible de l’iceberg ! Les circonstances Shibu Mondal, un pêcheur de Beliaghata, pêchait dans les eaux de Subhash Sarovar quand il a accroché une prise qui, sortie de l’eau, ressemblait à quelque chose hors du monde normal : un extraterrestre ! Avec un museau semblable à un alligator, il était loin des poissons qui habitaient le lac et lui mordait presque le bout du doigt. Bien que terrifié à la vue du monstre aquatique, de ce poisson inconnu, Mondal saisit sa hache et tue le monstre avant qu’il ne lui prenne son doigt. Plus tard, une équipe de scientifiques du Zoological Survey of India (ZSI) a identifié le la silhouette du poisson comme étant celle d’un alligator fantasmagorique ou plutôt un «Cuban Gar» – originaire d’Amérique centrale, un poisson réputé très carnivore : Un poisson de la famille des Lepisosteus ! Bien qu’il n’y ait aucune explication sur la façon dont cet habitant des cours d’eau de l’Amérique centrale éloignée est venu habiter le lac, les experts soupçonnent qu’il a été lâché dans les eaux par un amoureux insouciant des animaux. Cependant, la découverte fortuite d’un petit pêcheur à la ligne a mis en lumière une menace pour l’écosystème et la biodiversité de la ville. L’invasion des «espèces exotiques» a déjà fait perdre à plusieurs pays occidentaux des milliards de dollars en détruisant l’approvisionnement alimentaire et d’autres avantages que les gens tiraient de l’écosystème local et de la biodiversité et menacent maintenant l’environnement. Une enquête a révélé qu’au plus profond des plans d’eau de la ville, une invasion (suite…)

[1ère partie] La phytothérapie, pour les poissons aussi !

La phytothérapie, pour les poissons aussi !

Phytothérapie – une médecine douce pour soigner nos poissons

Après plusieurs heures de recherche sur Internet, dans les livres et revue spécialisées, j’ai finalement réussi à glaner quelques informations, pas assez à mon goût mais je souhaite quand même partager avec vous le fruit de mes recherches … ça nous change de l’allopathie que tout le monde connait et qui malheureusement utilise pas mal de produits chimiques et qui selon moi n’est pas forcément bénéfique pour notre organisme.

Parfois, malheureusement nous n’avons pas le choix et il nous faut suivre des traitements dits traditionnels.

Qu’est-ce que la médecine douce ?

C’est une médecine alternative à la médecine allopathie et qui est dîtes naturelle. On utilise donc les vertus (préventives ou curatives) des plantes dîtes médicinales, celles-ci peuvent se situer dans les racines, les fruits, les bourgeons, les feuilles, l’écorce etc.

On la trouve sous diverses formes : gélule, comprimé, granulés, teinture mère, huiles essentielles, eau florale, décoction, jus, cataplasme…

La médecine douce est très vaste, les plus connues sont la phytothérapie, l’homéopathie mais aussi la gemmothérapie, l’argilothérapie, l’acupuncture et bien d’autres encore.

Rassurez-vous il n’est pas question de vous proposer des bains de boues à pratiquer sur vos petits poissons ni vous apprendre à manier des aiguilles…

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Pérou, les poissons du District de Jenaro Herrera

Le mot de l’auteur

Comme je maintiens diverses espèces de cette région, je me suis intéressé à ses caractéristiques, et peu à peu, j’ai réuni de quoi constituer un mini-dossier sur ce district péruvien.

C’est au 16ème siècle que les espagnols de Pizzaro découvrirent le Pérou des incas, incas qui furent rapidement balayés par les conquistadores.
Aujourd’hui, le Pérou comprend 30 millions d’habitants, dont un tiers résident dans la capitale, Lima.
Le Pérou est grand comme deux fois la France, et plus de 70% de sa surface est une jungle dense, à l’est de la cordillère des Andes.

Carte du Pérou

Cette jungle, de type amazonienne, dissimule encore de nombreux secrets, et la présence d’indiens bravos, c’est-à-dire sans contact avec les péruviens, n’est pas des moindres.

Bien que comme partout le progrès rogne peu à peu sur la forêt, on estime que subsistent encore une quinzaine de tribus sans aucun contact avec la « civilisation », citons parmi celles-ci les Cacataibos, les Isconahua, les Matsigenka, les Mashco-Piro, les Mastanahua, les Murunahua (ou Chitonahua), les Nanti et les Yora.

La partie Est du pays, la jungle donc, est encore très peu peuplée, avec par exemple 2,4 habitants par km2 dans la région de Loreto, au nord-est, et 1,3 habitants  par km2 dans la région de Madre de Dios.

Les anciens départements du Pérou ont été transformés en régions, ce qui peut générer une confusion dans la localisation.
Dans cette fiche, c’est la région de Loreto qui nous intéresse, de  loin la plus grande, au nord-est, recouvrant une partie de la jungle péruvienne.

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Réflexion autocritique & aquariopsychologique….ou pamphlet ?

Analyse autocritique d’un aquariophilie ! S’ils sont d’indéniables antidotes à la solitude et au stress, les animaux de compagnie sont aussi et parfois de véritables donneurs de leçons… de vie.  Pensez à l’indéfectible loyauté du chien, la fière sensualité du chat, l’hypersensibilité du cheval, l’inaltérable impassibilité du poisson rouge… La surenchère dans le choix des épithètes est la règle dans le monde des animaux de compagnie et dans ce domaine l’aquariophilie et les aquariophiles, en particulier, n’échappent pas à la règle, bien au contraire. Souvent, ces passionnés que nous sommes développons un univers dans lequel les projections narcissiques, amour de la nature associés à des connaissances empiriques cohabitent avec plus ou moins d’excès. A tel point que la question se pose de savoir si cette passion est animée par l’amour des animaux ou plutôt l’amour de soi ? « Autrefois utilitaires dans le milieu rural, peluches vivantes pour les enfants ou petits compagnons des personnes âgées, le chien et le chat ont totalement investi la famille. La dimension affective dans cette relation ne cesse de se renforcer. Aujourd’hui, ce qui est nouveau et qui a changé la philosophie de conservation de nos animaux, c’est la notion de responsabilité, d’engagement qui anime les aquariophiles qui veulent  connaître leurs animaux, les biotopes dans lesquels ils évoluent, se passionnent pour reproduire au maximum les meilleures conditions de maintenance de leurs poissons….font tout pour mieux s’en occuper. » Par ailleurs, certains propriétaires acquièrent en la matières une telle connaissance par l’observation de leurs poissons, leurs conditions de maintenance  et tous les moyens qu’il faut mettre en œuvre pour y arriver qu’ils sont, la plupart du temps , intarissables et certains s’autoproclament même « docteur es science » en la matière, n’hésitant pas à se promouvoir conférencier au passage ! Car, si parler de son (ses) poisson(s), de (suite…)

Vous n’auriez pas du acheter ce poisson !!! [4ème partie]

Une maintenance à maîtriser….. L’acquisition d’un tel animal impose une certaines prise de conscience et un engagement de la part du futur propriétaire pour faire vivre décemment ce type de poisson, s’en occuper dignement et surtout ne pas provoquer de catastrophes écologiques en relâchant, en particulier, ce type de poisson dans nos rivières où il pourrait rapidement s’adapter et même proliférer. Ce danger est malheureusement bien réel, tout comme d’autres ! Un peu partout dans le monde, les populations se mobilisent pour lutter contre, parfois, l’irresponsabilité de certaines personnes et en particulier celle de certains aquariophiles. Par, eux Etats Unis, le gouvernement américain s’est mobilisé et a décidé de combattre l’invasion de la rascasse en encourageant les pêcheurs de tous types (amateurs et professionnels), les plongeurs à pêcher cet intrus. Pourtant, malgré tous ces efforts louables, rien n’y fait et les populations de rascasse continuent de croître atteignant même des records : plus de 700% d’augmentation dans certaines régions ! En même temps, l’aire de répartition démographique de cette espèce ne cesse de s’agrandir avec toutes les conséquences connues et encore inconnues sur les espèces indigènes qui sont la proie de ces prédateurs. Plus près de nous en France, ces comportements irresponsables sont à l’origine de phénomènes identiques dont les conséquences ne sont pas encore bien mesurables….et les scenarios « catastrophe du cinéma hollywoodien » pourraient ne plus être des fictions dans quelques années. Depuis des siècles, nous domestiquons et élevons toutes sortes d’animaux comme compagnons ou, comme c’est le cas en aquariophilie, pour le plaisir. Ces animaux font maintenant partie d’un grand nombre de familles du règne animal et ne sont plus seulement les traditionnels animaux domestiques bien connus! La conservation des animaux exotiques est un sujet qui est la source de grands débats depuis de nombreuses années. Avec Internet et l’accès à une (suite…)

Vous ne devez absolument pas acheter ce poisson !!! [3ème partie]

Troisième partie ou épisode de cette saga sur les poissons crocodiles et l’enthousiasme qu’ils créent pour les aquariophiles, les pécheurs ou tout simplement n’importe quel individu qui un jour en a rencontré !

….et malheureusement, l’enthousiasme qui est porté à ces animaux n’est pas toujours de nature à les préserver !

Comme tout animal d’exception, il ne laisse pas insensible et son rapport avec l’être humain est fatalement compliqué et le conduit souvent à l’issue fatale : l’extermination !

Pourtant, tout dans son comportement montre que ce n’est pas un monstre sanguinaire assoiffé de sang comme pourrait le décrire le cinéma hollywoodien, c’est effectivement un prédateur aquatique, attiré par la capture de poissons destinés à son alimentation et le reste du temps, c’est un animal tranquille qui vit sa vie de poisson !

Maintenant, pour les aquariophiles, la question qui se pose est :

Est-il possible de maintenir cet animal dans un aquarium et dans l’affirmative, dans quelles conditions jugées correctes ?

ou alors :

Vous ne devez absolument pas acheter ce poisson !!!

Il y a plusieurs espèces de ce poissons prédateurs, de nombreux pêcheurs les considèrent comme des ravageurs qui ne font que s’attaquer aux espèces de gibier et entraver la population dans une pêcherie donnée.

Les espèces dites «nuisibles», telles que l’aiglefin et la tête de serpent, se sont fait un nom en tant tant qu’espèces agressives dans l’eau, mais l’espèce la plus historiquement et écologiquement controversée est l’impressionnant « gar alligator ».

Le gar alligator n’est-il rien de plus qu’un tueur violent de poissons de chasse populaires, ou les pêcheurs devraient-ils donner à ce fossile vivant tout le respect et la considération qu’une telle icône de l’évolution mérite ?

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CAPA 2018 – Concours Aquagora de paysages aquatiques

Concours Aquagora de Plantes Aquatiques 2018 À l’attention des aquascapeurs, débutants comme confirmés, voici les dates du CAPA 2018. Le CAPA est le rendez-vous français sur Internet des passionnés d’aquascaping, ce hobby dans le hobby qui consiste à recréer des paysages aquatiques grâce d’une part aux végétaux, et d’autre part au décor inerte (hardscape), telles que roches et racines. Cette tendance artistique provient du Japon, initié par le grand Maître Takashi Amano. Les inscriptions auront lieu du 28 mai au 29 juillet 2018. Pour en savoir plus sur le concours, notamment les modalités d’inscription, Visitez régulièrement ce lien. On rappellera que la Catégorie Débutants est encore là, et on s’en réjouit. C’est une excellente motivation pour ceux qui n’oseraient pas s’inscrire, de peur de ne pas encore avoir un niveau suffisant. Si votre paysage aquatique planté ne vous semble pas parfait, c’est justement l’occasion de le présenter aux yeux d’aquascapeurs avertis qui pourront donner leur avis et vous faire progresser. Car le partage fait aussi partie de la philosophie de l’aquascaping. Donc, n’hésitez pas, c’est le moment ou jamais. Vous pouvez également suivre l’actualité du CAPA sur Facebook, en cliquant ici. De plus, Aquagora propose carrément un « p’tit concours pour patienter ». Avec un joli lot à la clef… C’est ici ! Pour ceux qui ne connaitraient pas encore le CAPA, qui a fêté quand même ses 10 ans, il y a une rétrospective dans le dernier numéro d’AQUAmag, qui vient de sortir et qui est désormais disponible. À noter que la rédaction s’est permise de commenter quelques bacs des années précédentes qui avaient marqué le concours, histoire de saluer l’événement. C’est par là ! Bonne chance à tous les cichlidophiles  pour cette nouvelle édition du CAPA 2018.  (suite…)

Vous ne devriez vraiment pas acheter ce poisson !!! [2ème partie]

  Vous ne devriez vraiment pas acheter ce poisson !!!!    La saga du « poisson crocodile » continue ….   Habitat et cycle biologique On le trouve donc dans divers types d’habitats, depuis les grands lacs et les rivières jusqu’aux affluents, aux marigots et aux mares paresseux, bien qu’il tende à montrer une préférence pour les masses d’eau plus grandes et à basse altitude. Le Lépisosteus tacheté habite habituellement les bassins clairs et tranquilles et les eaux de retenue des ruisseaux, des rivières et des lacs où la végétation aquatique est abondante. Au printemps, les adultes se déplacent vers les eaux peu profondes et à végétation dense pour se reproduire. Le frai a lieu à la fin du printemps ou au début de l’été parmi la végétation enracinée et les herbiers d’algues. Les mâles atteignent la maturité sexuelle à deux ou trois ans et les femelles à trois ou quatre ans. – Besoins en matière d’habitat et besoins biologiques Du frai jusqu’au stade embryonnaire (sac vitellin) Le frai a lieu au printemps (mai et juin), lorsque la température de l’eau atteint de 21 à 26°C, dans des eaux peu profondes (moins d’un mètre) où se trouve une végétation aquatique dense, comme des marais et des zones riveraines inondées (Goodyear et coll., 1982; Scott et Crossman, 1998, Snedden et coll, 1999; Cudmore-Vokey et Minns, 2002). Dans la baie Rondeau, on a observé des Lépisosteus tachetés en train de frayer sur des lits de végétaux aquatiques constitués, entre autres, de myriophylle (Myriophyllum sp.) et de potamot crépu (Potamogeton crispus) (B. Glass, comm. pers., 2009). Les œufs fertilisés démersaux et collants, qui prennent la forme de masses visqueuses, se fixent à la végétation aquatique et aux débris (Coker et coll., 2001, COSEPAC, 2005), puis éclosent dans la semaine (Cudmore-Vokey et Minns, 2002). Les Lépisosteus nouvellement éclos sont caractérisés par la (suite…)

La photographie d’aquarium et de poissons d’ornement : Episode n°4

Quel photographe d’aquariophilie êtes-vous ?

Nous avons vu dans les articles précédents plusieurs méthodes pour faire des la photographie d’aquarium. Il n’en existe pas une qui fait référence et toutes sont aussi bonnes les unes que les autres : il vous appartient de mettre au point la votre en fonction de vos aquariums, de votre matériel, de vos poissons et de vous goûts !

Ayez L’œil affûté !!!!

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Krobia sp. « Oyapock » – Kullander & Nijssen 1989

Crobia « Oyapok » ou  » Krobia sp. « Oyapock » – Kullander & Nijssen 1989

 

Sous-ordre : Percoidei (percidiform), Famille : Cichlidae, Sous-famille : Cichlasomatinae, Tribu : Cichlasomatini.

Cette espèce de Krobia a été redécouverte seulement vers 1989 et les scientifiques se demandent encore si ce cichlidé a été décrit plus tôt.

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A la découverte des poissons de la Guyane française

Tout le monde a en tête des images des récifs coralliens des mers du Sud, mais peu de ceux qui ont été sur place ou ont découvert ces images dans les média ne peuvent s’imaginer ce qu’ils pourraient découvrir dans les dédales des cours d’eau des forêts amazoniennes, en Guyane française…donc en France ! Pourtant que de merveilles et d’ambiances mystérieuses à découvrir à 7000 km de la métropole : Contrairement à ce que l’on croit, l’eau y est souvent très claire, bien que généralement teintée d’or par les tanins de la forêt. Et de surcroît on y trouve une incroyable diversité de milieux naturels une faune d’une richesse incomparable et bien fragile. Avec près de 450 espèces, les poissons d’eau douce de la Guyane française forment l’un des groupes les plus diversifiés – un univers aussi spectaculaire que méconnu qui mérite d’entre découvert et protégés. LES PUBLICATIONS Poissons de Guyane: Guide écologique de l’Approuague et de la réserve des Nouragues  Format Kindle PRIX : 49,00 €  Atlas des poissons d’eau douce de Guyane, tome 1 – 1996 De Paul Planquette et Philippe Keith     Atlas des poissons d’eau douce de Guyane – Tome 2, fascicules 1 & 2 De Pierre-Yves LE BAIL, Philippe KEITH & Paul PLANQUETTE PRIX : 41,00 € Ce livre complète le premier volume de l’Atlas des poissons d’eau douce de Guyane paru en 1996. Il est destiné aux naturalistes, chercheurs, enseignants, pêcheurs ou aquariophiles. Son objectif est aussi d’être un outil à la disposition des gestionnaires afin de les aider à la gestion et à la conservation des communautés aquatiques. Différentes approches sont proposées pour aider à la reconnaissance des espèces : silhouettes, clés détaillées (plus de 500 dessins), fiches descriptives pour chaque espèce, noms vernaculaires de chaque ethnie. Les fiches renseignent sur la biologie, l’écologie et la répartition, à l’aide de plus de (suite…)