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Satanoperca leucosticta – Article n°7 (Elevage & Conservation)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…
Satanoperca leucosticta – Article n°6 (Reproduction)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…
Satanoperca leucosticta – Article n°5 (Eau & Alimentation & Aquarium)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…
Satanoperca leucosticta – Article n°4 (Comportement & Cohabitation)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…
Satanoperca leucosticta – Article n°3 (Description & Morphologie)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…
Satanoperca leucosticta – Article n°2 (Taxonomie & Nom)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…
Satanoperca leucosticta – Article n°1 (Répartition & Biotope)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…
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Isthmoheros tuyrensis – Article n°5 (Reproduction & Conservation)
Vieja synspilum & Vieja melanurum – 1ère partie (1/2)
Vieja synspilum & Vieja melanurum – Günther, 1862
Le cichlidé Quetzal, également appelé cichlidé à tête de feu, du Guatemala et du Belize avec une longueur de corps de 30 cm est l’une des grandes espèces de cichlidés en Amérique centrale et a besoin d’un aquarium de taille correspondante.
C’est l’une des espèces les plus pacifiques qu’il vaut mieux la garder en petit groupe.
À partir de ce type de maintenance, des couples peuvent se former au sein du groupe, entre des individus qui s’accouplent volontairement et harmonieusement et qui finalement se reproduiront et prendront bien soin de leurs progénitures.
Mesoheros festae – 1ère partie
Le Cichlidé étendard
Le Mesoheros festae, plus communément appelé « Cichlidé étendard », est un poisson tropical d’eau douce originaire d’Amérique du Sud. Le Cichlasoma festae, qui est aussi appelé « cichlidé équatorien rouge » ou « rouge d’Equateur », comme son nom l’indique, vient d’Equateur, où il habite le système du fleuve Guayas.
Il se trouve principalement dans les rives des fleuves respectifs.

Mesoheros festae – femelle
Comme les animaux peuvent être assez agressifs, ils ne doivent pas nécessairement être gardés par des débutants. Apprécié pour sa beauté particulière, il est reproduit et élevé en grande quantité pour le marché de l’aquariologie.

Mesoheros festae – Grand mâle
Les cichlidés équatoriens rouges ont une belle couleur de base orange ou rougeâtre, qui est dotée de rayures sombres frappantes. Les nageoires deviennent souvent d’un rouge intense quand elles vont bien. Comme de nombreux cichlidés, les mâles adultes ont une bosse sur le front, qui se développe à partir d’une taille d’environ 5 cm.
Les mâles peuvent atteindre 30 centimètres de haut.
Les femelles sont généralement beaucoup plus petites. Idéalement, les cichlidés équatoriens rouges doivent toujours être conservés en couple.
Mesoheros festae – 2ème partie
Le Cichlidé étendard
Le Mesoheros festae, plus communément appelé Cichlidé étendard, est un poisson tropical d’eau douce originaire d’Amérique du Sud. Le Cichlasoma festae, qui est aussi appelé « cichlidé équatorien rouge » ou « rouge d’Equateur », comme son nom l’indique, vient d’Equateur, où il habite le système du fleuve Guayas.
Il se trouve principalement dans les rives des fleuves respectifs.

Mesoheros festae – femelle
Comme les animaux peuvent être assez agressifs, ils ne doivent pas nécessairement être gardés par des débutants. Apprécié pour sa beauté particulière, il est reproduit et élevé en grande quantité pour le marché de l’aquariologie.

Mesoheros festae – Grand mâle
Les cichlidés équatoriens rouges ont une belle couleur de base orange ou rougeâtre, qui est dotée de rayures sombres frappantes. Les nageoires deviennent souvent d’un rouge intense quand elles vont bien. Comme de nombreux cichlidés, les mâles adultes ont une bosse sur le front, qui se développe à partir d’une taille d’environ 5 cm.
Les mâles peuvent atteindre 30 centimètres de haut.
Les femelles sont généralement beaucoup plus petites. Idéalement, les cichlidés équatoriens rouges doivent toujours être conservés en couple.
Amphilophus istlanum
Amphilophus istlanum – Jordan & Snyder, 1899
Les grands cichlidés d’Amérique centrale sont un peu démodés à l’heure actuelle.
C’est une chose triste, car pratiquement aucun autre poisson ne se combine si bien en une matière aussi brillante que sa coloration, sa personnalité et son comportement intéressant.
Amphilophus istlanum a été décrit pour la première fois par JORDAN et SNYDER en 1899.
L’espèce porte le nom de son emplacement type Rio Ixtla, au sud de Cuernavaca, dans la province de Morelos, au Mexique.
Bien sûr, ces poissons ont besoin de grands aquariums et d’un équipement adapté à leurs besoins, mais si ces aquariophiles sont fournis, tout aquariophile qui se lancera dans cette aventure, prendra plaisir à les garder et cela deviendra vite une passion !
Le vrai Heros severum…la première partie
HEROS SEVERUM – HECKEL, 1840
De tous les cichlidés américains, en particulier originaire d’Amérique du sud, parmi les plus populaires sont les Héros.
Les premiers poissons de ce genre ont été importés en Europe dès 1909 et jusque dans les années 1980 dans la littérature sur les aquariums, apparaissait une seule espèce appelée « Cichlasoma severum », le Cichlasoma tchèque aux yeux rouges.
Ce n’est que dans les années 1980, lorsque la famille « Heros » a été rétablie dans le cadre de la première division de l’énorme collection du genre Cichlasoma, et qu’il a également commencé à être admis qu’il y avait plusieurs espèces de Heros aux yeux rouges.
Heros severum a donc longtemps été connu dans le monde aquariophile sous le nom « fourre-tout » de Cichlasoma severum, comme un cichlidé vivant dans de l’eau douce tropicale originaire de la partie supérieure de l’Orénoque et supérieure du Rio Negro en Amérique du Sud. Continuer la lecture
Crenicichla (saxatilis) inpa
Crenicichla inpa – PLOEG, 1991
Les Crenicichla inpa ont la réputation d’être des prédateurs agressifs et voraces qui ne conviendraient pas aux bacs communautaires, mais pourtant, en raison de leur comportement.
Ces cichlidés sont reconnus par les aquariophiles souvent spécialisés dans la maintenance des Crenicichla, comme étant des poissons intéressants, souvent capables d’inspirer deux formes d’émotions chez les amateurs : soit l’amour obsessionnel, soit l’indifférence totale.
Comme les autres cichlidés, ce poisson fera la connaissance de son propriétaire et s’engagera facilement dans des comportements espiègles, tels que mendier de la nourriture, se précipiter pour attirer l’attention et même se faire valoir.
Mais, encore une fois, sous certaines conditions de maintenance, ce n’est pas un poisson pour bac communautaire ou tout au moins qui ne devrait pas être gardé avec des poissons qui ne seraient pas en mesure de se faire respecter et de se défendre.
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