Satanoperca leucosticta – Article n°3 (Description & Morphologie)

Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849

Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…

Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.

Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?

Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.

La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.

La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.

Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.

Posséder des Satanoperca leucosticta  c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…

Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…

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Satanoperca leucosticta – Article n°2 (Taxonomie & Nom)

Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849

Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…

Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.

Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?

Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.

La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.

La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.

Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.

Posséder des Satanoperca leucosticta  c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…

Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…

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Satanoperca leucosticta – Article n°1 (Répartition & Biotope)

Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849

Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…

Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.

Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?

Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.

La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.

La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.

Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.

Posséder des Satanoperca leucosticta  c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…

Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…

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Tahuantinsuyoa macantzatza – 2éme partie

Tahuantinsuyoa Macanzatza  – KULLANDER, 1986

Les cichlidés néotropicaux sont extrêmement variés en morphologie, en comportement et en écologie (LOWE-McCONNELL, 1991) bien qu’ils comprennent moins d’espèces que leurs parents en Afrique qui peuplent les lacs.

Au début du 20éme siècle, lorsque REGAN (1905) a complètement révisé ce groupe, et par voie de conséquence le nombre d’espèces et de genres a considérablement augmenté.

Parmi les nouvelles espèces, une d’entre-elles se distingue par son nom qui est presque imprononçable à la première lecture : Tahuantinsuyoa macantzatza, le cichlidé de l’Empire Inca !

Pendant des années on a craint que ces poissons ne disparaissent et que l’espèce ne s’éteigne, mais finalement, en 2003, des spécimens de plus en plus nombreux sont apparus dans le commerce aquariophile.

Fort heureusement, le commerce aquariophile a permis son importation en plus grand nombre  depuis le début des années 2000.

Tahuantinsuyoa macantzatza n’est pas un gros cichlidé, il est plutôt de petite taille et atteint sa pleine croissance avec une longueur maximale de 12 centimètres, de ce fait, ces poissons conviennent aux aquariums de taille moyenne.

Fort de cet avantage, Ils ont aussi l’avantage de ne pas n’endommager pas les plantes et peuvent donc être logés dans des aquariums décorés de bois de tourbière et de quelques plantes.

Leurs soins intéressants de la couvée en tant qu’éleveurs de bouche larvophile (les œufs sont mis en route et élevés d’abord sur un substrat, puis les larves sont protégées dans la bouche) permettent des observations comportementales exceptionnelles et intéressantes .

En particulier, il est toujours excitant d’observer le transfert des alevins, de bouche à bouche entre les parents.

Pour l’alimentation, ce sont des poissons qui n’ont pas d’exigences particulières posées et pour faciliter le tout, l’eau ne doit pas être trop dure et présenter une tendance légèrement acide.

Tahuantinsuyoa macantzatza est une espèce relativement récente dans le monde de l’aquariophilie, malheureusement peu connue et qui a été décrite seulement à la fin du 20ème siècle.

Bien qu’ils se reproduisent dans l’aquarium, ils peuvent être difficiles à frayer mais restent une espèce rare dans l’aquariophilie.

Cette espèce permet les observations intéressantes du comportement.

En particulier, il est toujours passionnant d’observer le transfert des alevins entre les parents.

Ce cichlidé sud-américain de taille moyenne est donc attrayant à plus d’un titre, on ne le trouve que dans des zones quelque peu reculées du moyen et du haut Rio Ucayali au Pérou.

Très similaires aux célèbres « Pulcher » et « Green Terrors » du genre Andinoacara, ces cichlidés sont suffisamment uniques pour avoir été placés dans leur propre genre.

Dans la nature, ils habitent des eaux rocheuses et rapides et sont une espèce robuste et adaptable dans l’aquarium.

Avec leur petite taille, ils sont beaucoup plus petits que certains de leurs proches parents et un couple sera généralement à l’aise dans un aquarium de taille moyenne.

Même si ce cichlidé pourtant originaire de cette région ne répond pas aux critères de l’expression « C’est le Pérou ! » signifiant qu’il est une pure merveille et richesse, d’une certaine façon, il confirme néanmoins l’expression montrant ainsi que même s’il n’est pas si extraordinaire et que sa découverte ne figurait pas un véritable eldorado, il n’en reste pas moins un poisson riche à découvrir !

A l’époque de Pizarro et Atahualpa le roi des Incas, le Pérou était un symbole de richesse et  le nom était devenu commun pour désigner un trésor ou une fortune.

La découverte assez récente de la présence de Tahuantinsuyoa macantzatza au Pérou révèle qu’il existe encore des trésors à y découvrir !

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Tahuantinsuyoa macantzatza – 3éme article

Tahuantinsuyoa macanzatza  – KULLANDER, 1986

Les cichlidés néotropicaux sont extrêmement variés en morphologie, en comportement et en écologie (LOWE-McCONNELL, 1991) bien qu’ils comprennent moins d’espèces que leurs parents en Afrique qui peuplent les lacs.

Au début du 20éme siècle, lorsque REGAN (1905) a complètement révisé ce groupe, et par voie de conséquence le nombre d’espèces et de genres a considérablement augmenté.

Parmi les nouvelles espèces, une d’entre-elles se distingue par son nom qui est presque imprononçable à la première lecture : Tahuantinsuyoa macantzatza, le cichlidé de l’Empire Inca !

Pendant des années on a craint que ces poissons ne disparaissent et que l’espèce ne s’éteigne, mais finalement, en 2003, des spécimens de plus en plus nombreux sont apparus dans le commerce aquariophile.

Fort heureusement, le commerce aquariophile a permis son importation en plus grand nombre  depuis le début des années 2000.

Tahuantinsuyoa macantzatza n’est pas un gros cichlidé, il est plutôt de petite taille et atteint sa pleine croissance avec une longueur maximale de 12 centimètres, de ce fait, ces poissons conviennent aux aquariums de taille moyenne.

Fort de cet avantage, Ils ont aussi l’avantage de ne pas n’endommager pas les plantes et peuvent donc être logés dans des aquariums décorés de bois de tourbière et de quelques plantes.

Leurs soins intéressants de la couvée en tant qu’éleveurs de bouche larvophile (les œufs sont mis en route et élevés d’abord sur un substrat, puis les larves sont protégées dans la bouche) permettent des observations comportementales exceptionnelles et intéressantes .

En particulier, il est toujours excitant d’observer le transfert des alevins, de bouche à bouche entre les parents.

Pour l’alimentation, ce sont des poissons qui n’ont pas d’exigences particulières posées et pour faciliter le tout, l’eau ne doit pas être trop dure et présenter une tendance légèrement acide.

Tahuantinsuyoa macantzatza est une espèce relativement récente dans le monde de l’aquariophilie, malheureusement peu connue et qui a été décrite seulement à la fin du 20ème siècle.

Bien qu’ils se reproduisent dans l’aquarium, ils peuvent être difficiles à frayer mais restent une espèce rare dans l’aquariophilie.

Cette espèce permet les observations intéressantes du comportement.

En particulier, il est toujours passionnant d’observer le transfert des alevins entre les parents.

Ce cichlidé sud-américain de taille moyenne est donc attrayant à plus d’un titre, on ne le trouve que dans des zones quelque peu reculées du moyen et du haut Rio Ucayali au Pérou.

Très similaires aux célèbres « Pulcher » et « Green Terrors » du genre Andinoacara, ces cichlidés sont suffisamment uniques pour avoir été placés dans leur propre genre.

Dans la nature, ils habitent des eaux rocheuses et rapides et sont une espèce robuste et adaptable dans l’aquarium.

Avec leur petite taille, ils sont beaucoup plus petits que certains de leurs proches parents et un couple sera généralement à l’aise dans un aquarium de taille moyenne.

Même si ce cichlidé pourtant originaire de cette région ne répond pas aux critères de l’expression « C’est le Pérou ! » signifiant qu’il est une pure merveille et richesse, d’une certaine façon, il confirme néanmoins l’expression montrant ainsi que même s’il n’est pas si extraordinaire et que sa découverte ne figurait pas un véritable eldorado, il n’en reste pas moins un poisson riche à découvrir !

A l’époque de Pizarro et Atahualpa le roi des Incas, le Pérou était un symbole de richesse et  le nom était devenu commun pour désigner un trésor ou une fortune.

La découverte assez récente de la présence de Tahuantinsuyoa macantzatza au Pérou révèle qu’il existe encore des trésors à y découvrir !

 

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Tahuantinsuyoa macantzatza – 1ere partie

Tahuantinsuyoa macanzatza  – KULLANDER, 1986

Les cichlidés néotropicaux sont extrêmement variés en morphologie, en comportement et en écologie (LOWE-McCONNELL, 1991) bien qu’ils comprennent moins d’espèces que leurs parents en Afrique qui peuplent les lacs.

Au début du 20éme siècle, lorsque REGAN (1905) a complètement révisé ce groupe, et par voie de conséquence le nombre d’espèces et de genres a considérablement augmenté.

Parmi les nouvelles espèces, une d’entre-elles se distingue par son nom qui est presque imprononçable à la première lecture : Tahuantinsuyoa macantzatza, le cichlidé de l’Empire Inca !

Pendant des années on a craint que ces poissons ne disparaissent et que l’espèce ne s’éteigne, mais finalement, en 2003, des spécimens de plus en plus nombreux sont apparus dans le commerce aquariophile.

Fort heureusement, le commerce aquariophile a permis son importation en plus grand nombre  depuis le début des années 2000.

Tahuantinsuyoa macantzatza n’est pas un gros cichlidé, il est plutôt de petite taille et atteint sa pleine croissance avec une longueur maximale de 12 centimètres, de ce fait, ces poissons conviennent aux aquariums de taille moyenne.

Fort de cet avantage, Ils ont aussi l’avantage de ne pas n’endommager pas les plantes et peuvent donc être logés dans des aquariums décorés de bois de tourbière et de quelques plantes.

Leurs soins intéressants de la couvée en tant qu’éleveurs de bouche larvophile (les œufs sont mis en route et élevés d’abord sur un substrat, puis les larves sont protégées dans la bouche) permettent des observations comportementales exceptionnelles et intéressantes .

En particulier, il est toujours excitant d’observer le transfert des alevins, de bouche à bouche entre les parents.

Pour l’alimentation, ce sont des poissons qui n’ont pas d’exigences particulières posées et pour faciliter le tout, l’eau ne doit pas être trop dure et présenter une tendance légèrement acide.

Tahuantinsuyoa macantzatza est une espèce relativement récente dans le monde de l’aquariophilie, malheureusement peu connue et qui a été décrite seulement à la fin du 20ème siècle.

Bien qu’ils se reproduisent dans l’aquarium, ils peuvent être difficiles à frayer mais restent une espèce rare dans l’aquariophilie.

Cette espèce permet les observations intéressantes du comportement.

En particulier, il est toujours passionnant d’observer le transfert des alevins entre les parents.

Ce cichlidé sud-américain de taille moyenne est donc attrayant à plus d’un titre, on ne le trouve que dans des zones quelque peu reculées du moyen et du haut Rio Ucayali au Pérou.

Très similaires aux célèbres « Pulcher » et « Green Terrors » du genre Andinoacara, ces cichlidés sont suffisamment uniques pour avoir été placés dans leur propre genre.

Dans la nature, ils habitent des eaux rocheuses et rapides et sont une espèce robuste et adaptable dans l’aquarium.

Avec leur petite taille, ils sont beaucoup plus petits que certains de leurs proches parents et un couple sera généralement à l’aise dans un aquarium de taille moyenne.

Même si ce cichlidé pourtant originaire de cette région ne répond pas aux critères de l’expression « C’est le Pérou ! » signifiant qu’il est une pure merveille et richesse, d’une certaine façon, il confirme néanmoins l’expression montrant ainsi que même s’il n’est pas si extraordinaire et que sa découverte ne figurait pas un véritable eldorado, il n’en reste pas moins un poisson riche à découvrir !

A l’époque de Pizarro et Atahualpa le roi des Incas, le Pérou était un symbole de richesse et  le nom était devenu commun pour désigner un trésor ou une fortune.

La découverte assez récente de la présence de Tahuantinsuyoa macantzatza au Pérou révèle qu’il existe encore des trésors à y découvrir !

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Le vrai Heros severum…la quatrième partie

INTRODUCTION

De tous les cichlidés américains, en particulier originaire d’Amérique du sud, parmi les plus populaires sont les Héros.

Les premiers poissons de ce genre ont été importés en Europe dès 1909 et jusque dans les années 1980 dans la littérature sur les aquariums, apparaissait une seule espèce appelée « Cichlasoma severum », le Cichlasoma tchèque aux yeux rouges.

Ce n’est que dans les années 1980, lorsque la famille « Heros » a été rétablie dans le cadre de la première division de l’énorme collection du genre Cichlasoma, et qu’il a également commencé à être admis qu’il y avait plusieurs espèces de Heros aux yeux rouges.

Heros severum a donc longtemps été connu dans le monde aquariophile sous le nom « fourre-tout » de Cichlasoma severum, comme un cichlidé vivant dans de l’eau douce tropicale originaire de la partie supérieure de l’Orénoque et supérieure du Rio Negro en Amérique du Sud.

Par le passé et bien souvent encore aujourd’hui, il a été confondu avec plusieurs autres espèces du genre, plus récemment Heros liberifer assez peu répandu.

Par ailleurs, il a été reconnu comme une espèce non indigène en Floride et a également été introduit au Nevada où il semblerait finalement qu’il ait été éradiqué avec succès.

Malheureusement, à cause de l’inconscience de certains aquariophiles peu scrupuleux, il a été découvert aussi  aux Philippines et à Singapour.

Heros severum est une espèce que l’on trouve aujourd’hui rarement dans les aquariums de vente du commerce ou au moins, cette espèce subit les modes du moment.

En outre, les Heros proposés à la vente et souvent mal nommés sont la majeure partie du temps des espèces plus communes telles que Heros efasciatus ou des formes « trafiquées.

Que cela soit dans le monde de la taxonomie ou bien celui du commerce aquariophile et des aquariophiles, il règne en fin de compte une très grande confusion sur l’identification de ce poisson !

Pourtant, les aquariophiles sont très souvent intéressés et intrigués par le fait de savoir quel genre d’espèces de héros ils élèvent.

Tout a commencé quand Heros severum a d’abord été identifiée en 1840 par HECKEL. C’est ensuite que la situation s’est compliquée car il a été identifié à tort pendant de nombreuses années.

Heros severum a été introduit pour la première fois en Europe en 1909 par Karl ZIGGELKOV (Allemagne). Jusqu’en 2015, faute de travaux scientifiques et d’études, les scientifiques et les aquariophiles pensaient qu’Heros severum était un incubateur buccal.

A l’origine en 1840, le Heros severum était identifié comme tel grâce à une 7ème bande partiellement formée sur son corps, mais les experts de la taxonomie et de l’identification ont ensuite rejeté ce critère, le considérant comme une anomalie relevée sur les quelques poissons collectés par HECKEL.

En 2015, le vrai Heros severum a été (re) découvert, il avait effectivement bien cette 7ème bande partielle qui a été décrit en 1840, il a été identifié pendant un court laps de temps comme « Heros sp. Curare » ou « Tiger severum » jusqu’à finalement être officiellement désigné comme le vrai Heros severum.

Heros sp Severum Curare Red Tiger

Le « Heros incubateur buccal » initialement  considéré comme Heros severum a été déclassé comme « Heros liberifer » par STAECK, WOLFGANG & I. SCHINDLER et est devenu ainsi une nouvelle espèce..

Couple de Heros liberifer

En raison du fait que ce poisson ressemble à un discus, les gens ont appelé le severum « faux discus ».

Parmi les espèces qui contribuent à la diversité de la faune ornementale amazonienne, le  Heros severum a un grand potentiel en aquariophilie en raison de son comportement calme, de son adaptation rapide à de nouveaux environnements et de sa reproduction relativement facile.

D’un point de vue commercial, Heros severum a également un grand attrait en raison de sa couleur vert olive à jaune vif avec des nuances d’orange et de rouge.

Dans son environnement naturel, il est associé à des zones de végétation dense et nourrit de petits invertébrés et du matériel végétal.

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Aequidens metae – 2éme partie

Aequidens metae – EIGENMANN, 1922

Aequidens metae, également connu chez les anglo-saxons sous le nom de « Yellow Acara », est une espèce de cichlidé très attrayante qui vit dans les rivières calmes d’Amérique du Sud. Ces poissons ont une couleur de base jaune tanné avec une tâche caractéristique latérale noire; la tâche est séparée par deux bandes verticales d’or pâle à orange.

Mais la caractéristique la plus belle et la plus distinctive de l’Acara Jaune est le marquage irisé électrique, aux reflets couleur de l’or et bleu-vert que l’on observe au-dessus de leurs opercules. Les Aequidens metae ont sur leurs flancs des écailles métalliques aux reflets or-vert qui deviennent translucides au niveau de leurs nageoires. Ces animaux brillent de mille reflets et son remarquable, en particulier les mâles qui ont des nageoires dorsales et anales plus allongées que celles des femelles.

Ces poissons sont relativement paisibles, en particulier si l’aquarium est de grande taille car, parfois certains spécimens, quelles que soient les espèces d’Aequidens, peuvent être assez agressifs, en particulier s’ils défendent leur territoire ou en période de reproduction. Ce sont des poissons qui aiment évoluer dans les couches moyennes et inférieures de l’eau.

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Aequidens diadema

Aequidens diadema – HECKEL, 1840 – EIGENMANN & BRAY, 1894

INTRODUCTION

Le poisson Cichlidé Aequidens diadema, appelé aussi « Acara diadème« , est originaire d’une vaste zone en Amérique du Sud, dans le bassin de l’Amazone, dans le cours supérieur du fleuve Negro au Pérou, de la rivière Orénoque, dans les affluents de l’Orénoque en Colombie et au Venezuela.

L’espèce n’est pas rare…en milieu naturel.

En revanche, dans le monde aquariophile et parce que L’Acara Aequidens diadema assez rare en magasins d’aquariophilie et n’est véritablement apprécié que par des spécialistes cichlidophiles.

Au premier regard sur ce poisson, les couleurs semblent plutôt monotones mais ce poisson possède d’autres atouts dont celui d’une taille modérée (12 centimètres pour les mâles) ce qui permet, à la différence de beaucoup d’autres cichlidés américains, une maintenance dans un bac de taille raisonnable, c’est à dire un aquarium de volume utile d’au moins 120 litres.

Dans la région de Jenaro HERRERA, du Pérou, cette espèce est présente dans les ruisseaux de conditions similaires, alternativement à des eaux limpides et claires et également des eaux noires.

En général, les « vrais Acaras », faisant partie des espèces du genre Aequidens ne sont malheureusement pas les poissons les plus populaires dans le monde des aquariophiles.

L’idée répandue dans ce monde de passionnés est que ces poissons sont gros, bruns et par conséquence peu intéressants et attrayants !

C’est une fausse idée !

C’est l’avis de beaucoup de passionnés, mais aussi de la majorité des exportateurs et des grossistes, car ils sont rarement proposés.

Néanmoins, c’est une fausse idée car il s’agit, sans contestation possible, d’un groupe de cichlidés très intéressants possédants en son sein un certain nombre de joyaux parmi eux entre que seuls les cichlidophiles avertis remarquent et que l’amateur regarde trop vite.

Ce n’est pour rien et sans raison que Aequidens diadema, également appelé « Acara royal » fait partie de ces joyaux.

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Aequidens metae – 1ère partie

Aequidens metae – EIGENMANN, 1922

Aequidens metae, également connu chez les anglo-saxons sous le nom de « Yellow Acara », est une espèce de cichlidé très attrayante qui vit dans les rivières calmes d’Amérique du Sud. Ces poissons ont une couleur de base jaune tanné avec une tâche caractéristique latérale noire; la tâche est séparée par deux bandes verticales d’or pâle à orange.

Mais la caractéristique la plus belle et la plus distinctive de l’Acara Jaune est le marquage irisé électrique, aux reflets couleur de l’or et bleu-vert que l’on observe au-dessus de leurs opercules. Les Aequidens metae ont sur leurs flancs des écailles métalliques aux reflets or-vert qui deviennent translucides au niveau de leurs nageoires. Ces animaux brillent de mille reflets et son remarquable, en particulier les mâles qui ont des nageoires dorsales et anales plus allongées que celles des femelles.

Ces poissons sont relativement paisibles, en particulier si l’aquarium est de grande taille car, parfois certains spécimens, quelles que soient les espèces d’Aequidens, peuvent être assez agressifs, en particulier s’ils défendent leur territoire ou en période de reproduction. Ce sont des poissons qui aiment évoluer dans les couches moyennes et inférieures de l’eau.

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Hoplarchus psittacus

Hoplarchus psittacus (cichlidé perroquet) – HECKEL, 1840 & KAUP, 1860

Hoplarchus psittacus est un grand cichlidé, unique à bien des égards, évoluant dans les eaux chaudes et acides des rivières Orinoco et Negro.

Il est souvent surnommé « True Parrot Cichlid » car, en effet, il tire son nom des marques ondulées qui entourent son visage que les habitants de sa région d’origine considèrent comme similaires à leurs aras indigènes.

Hoplarchus psittacus appartient au genre des cichlidés et à la tribu Heroini, ce genre qui ne contient qu’une seule espèce et est endémique des rivières à eaux noires au Brésil, en Colombie et au Venezuela, y compris les rivières Rio Negro, Rio Jamari, Rio Preto da Eva, Rio Urubu et les bassins versants supérieurs de l’Orénoque.

Ce poisson peut atteindre une longueur de 35 centimètres et joue un rôle important comme poisson de consommation pour les peuples autochtones locaux.

Cette espèce est parfois conservée comme poisson d’aquarium et a trop souvent été commercialisée, à tort, sous le nom commun de « perroquet cichlidé » qui est un nom également utilisé pour une autre espèce et un poisson hybride !

Parrot asiatique « King Kong »

En fait, c’est un magnifique cichlidé américain qui vit dans les eaux noires de l’Amazone.

C’est un poisson dont la coloration de base est d’un riche vert-olive, il est plutôt massif et robuste d’aspect.

Cet élégant poisson, Hoplarchus psittacus est le vrai cichlidé perroquet, dont le nom a ensuite été repris par le « Parrot » de fabrication asiatique.

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Le vrai Heros severum…la troisième partie

INTRODUCTION

De tous les cichlidés américains, en particulier originaire d’Amérique du sud, parmi les plus populaires sont les Héros.

Les premiers poissons de ce genre ont été importés en Europe dès 1909 et jusque dans les années 1980 dans la littérature sur les aquariums, apparaissait une seule espèce appelée « Cichlasoma severum », le Cichlasoma tchèque aux yeux rouges.

Ce n’est que dans les années 1980, lorsque la famille « Heros » a été rétablie dans le cadre de la première division de l’énorme collection du genre Cichlasoma, et qu’il a également commencé à être admis qu’il y avait plusieurs espèces de Heros aux yeux rouges.

Heros severum a donc longtemps été connu dans le monde aquariophile sous le nom « fourre-tout » de Cichlasoma severum, comme un cichlidé vivant dans de l’eau douce tropicale originaire de la partie supérieure de l’Orénoque et supérieure du Rio Negro en Amérique du Sud.

Par le passé et bien souvent encore aujourd’hui, il a été confondu avec plusieurs autres espèces du genre, plus récemment Heros liberifer assez peu répandu.

Par ailleurs, il a été reconnu comme une espèce non indigène en Floride et a également été introduit au Nevada où il semblerait finalement qu’il ait été éradiqué avec succès. Malheureusement, à cause de l’inconscience de certains aquariophiles peu scrupuleux, il a été découvert aussi  aux Philippines et à Singapour.

Heros severum est une espèce que l’on trouve aujourd’hui rarement dans les aquariums de vente du commerce ou au moins, cette espèce subit les modes du moment.

En outre, les Heros proposés à la vente et souvent mal nommés sont la majeure partie du temps des espèces plus communes telles que Heros efasciatus ou des formes « trafiquées.

Que cela soit dans le monde de la taxonomie ou bien celui du commerce aquariophile et des aquariophiles, il règne en fin de compte une très grande confusion sur l’identification de ce poisson !

Pourtant, les aquariophiles sont très souvent intéressés et intrigués par le fait de savoir quel genre d’espèces de héros ils élèvent.

Tout a commencé quand Heros severum a d’abord été identifiée en 1840 par HECKEL. C’est ensuite que la situation s’est compliquée car il a été identifié à tort pendant de nombreuses années. Heros severum a été introduit pour la première fois en Europe en 1909 par Karl ZIGGELKOV (Allemagne). Jusqu’en 2015, faute de travaux scientifiques et d’études, les scientifiques et les aquariophiles pensaient qu’Heros severum était un incubateur buccal.

A l’origine en 1840, le Heros severum était identifié comme tel grâce à une 7ème bande partiellement formée sur son corps, mais les experts de la taxonomie et de l’identification ont ensuite rejeté ce critère, le considérant comme une anomalie relevée sur les quelques poissons collectés par HECKEL.

En 2015, le vrai Heros severum a été (re) découvert, il avait effectivement bien cette 7ème bande partielle qui a été décrit en 1840, il a été identifié pendant un court laps de temps comme « Heros sp. Curare » ou « Tiger severum » jusqu’à finalement être officiellement désigné comme le vrai Heros severum.

Heros sp Severum Curare Red Tiger

Le « Heros incubateur buccal » initialement  considéré comme Heros severum a été déclassé comme « Heros liberifer » par STAECK, WOLFGANG & I. SCHINDLER et est devenu ainsi une nouvelle espèce..

Couple de Heros liberifer

En raison du fait que ce poisson ressemble à un discus, les gens ont appelé le severum « faux discus ».

Parmi les espèces qui contribuent à la diversité de la faune ornementale amazonienne, le  Heros severum a un grand potentiel en aquariophilie en raison de son comportement calme, de son adaptation rapide à de nouveaux environnements et de sa reproduction relativement facile.

D’un point de vue commercial, Heros severum a également un grand attrait en raison de sa couleur vert olive à jaune vif avec des nuances d’orange et de rouge.

Dans son environnement naturel, il est associé à des zones de végétation dense et nourrit de petits invertébrés et du matériel végétal.

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Le vrai Heros severum…la première partie

HEROS SEVERUM – HECKEL, 1840

De tous les cichlidés américains, en particulier originaire d’Amérique du sud, parmi les plus populaires sont les Héros.

Les premiers poissons de ce genre ont été importés en Europe dès 1909 et jusque dans les années 1980 dans la littérature sur les aquariums, apparaissait une seule espèce appelée « Cichlasoma severum », le Cichlasoma tchèque aux yeux rouges.

Ce n’est que dans les années 1980, lorsque la famille « Heros » a été rétablie dans le cadre de la première division de l’énorme collection du genre Cichlasoma, et qu’il a également commencé à être admis qu’il y avait plusieurs espèces de Heros aux yeux rouges.

Heros severum a donc longtemps été connu dans le monde aquariophile sous le nom « fourre-tout » de Cichlasoma severum, comme un cichlidé vivant dans de l’eau douce tropicale originaire de la partie supérieure de l’Orénoque et supérieure du Rio Negro en Amérique du Sud. Continuer la lecture

Crenicichla (saxatilis) inpa

Crenicichla inpa – PLOEG, 1991

Les Crenicichla inpa ont la réputation d’être des prédateurs agressifs et voraces qui ne conviendraient pas aux bacs communautaires, mais pourtant, en raison de leur comportement.

Ces cichlidés sont reconnus par les aquariophiles souvent spécialisés dans la maintenance des Crenicichla, comme étant des poissons intéressants, souvent capables d’inspirer deux formes d’émotions chez les amateurs : soit l’amour obsessionnel, soit l’indifférence totale.

Comme les autres cichlidés, ce poisson fera la connaissance de son propriétaire et s’engagera facilement dans des comportements espiègles, tels que mendier de la nourriture, se précipiter pour attirer l’attention et même se faire valoir.

Mais, encore une fois, sous certaines conditions de maintenance, ce n’est pas un poisson pour bac communautaire ou tout au moins qui ne devrait pas être gardé avec des poissons qui ne seraient pas en mesure de se faire respecter et de se défendre.

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Le vrai Heros severum…la deuxième partie

INTRODUCTION

De tous les cichlidés américains, en particulier originaire d’Amérique du sud, parmi les plus populaires sont les Héros.

Les premiers poissons de ce genre ont été importés en Europe dès 1909 et jusque dans les années 1980 dans la littérature sur les aquariums, apparaissait une seule espèce appelée « Cichlasoma severum », le Cichlasoma tchèque aux yeux rouges.

Ce n’est que dans les années 1980, lorsque la famille « Heros » a été rétablie dans le cadre de la première division de l’énorme collection du genre Cichlasoma, et qu’il a également commencé à être admis qu’il y avait plusieurs espèces de Heros aux yeux rouges.

Heros severum a donc longtemps été connu dans le monde aquariophile sous le nom « fourre-tout » de Cichlasoma severum, comme un cichlidé vivant dans de l’eau douce tropicale originaire de la partie supérieure de l’Orénoque et supérieure du Rio Negro en Amérique du Sud.

Par le passé et  bien souvent encore aujourd’hui, il a été confondu avec plusieurs autres espèces du genre, plus récemment Heros liberifer assez peu répandu.

Par ailleurs, il a été reconnu comme une espèce non indigène en Floride et a également été introduit au Nevada où il semblerait finalement qu’il ait été éradiqué avec succès. Malheureusement, à cause de l’inconscience de certains aquariophiles peu scrupuleux, il a été découvert aussi  aux Philippines et à Singapour.

Heros severum est une espèce que l’on trouve aujourd’hui rarement dans les aquariums de vente du commerce ou au moins, cette espèce subit les modes du moment.

En outre, les Heros proposés à la vente et souvent mal nommés sont la majeure partie du temps des espèces plus communes telles que Heros efasciatus ou des formes « trafiquées.

Que cela soit dans le monde de la taxonomie ou bien celui du commerce aquariophile et des aquariophiles, il règne en fin de compte une très grande confusion sur l’identification de ce poisson !

Pourtant, les aquariophiles sont très souvent intéressés et intrigués par le fait de savoir quel genre d’espèces de héros ils élèvent.

Tout a commencé quand Heros severum a d’abord été identifiée en 1840 par HECKEL. C’est ensuite que la situation s’est compliquée car il a été identifié à tort pendant de nombreuses années. Heros severum a été introduit pour la première fois en Europe en 1909 par Karl ZIGGELKOV (Allemagne). Jusqu’en 2015, faute de travaux scientifiques et d’études, les scientifiques et les aquariophiles pensaient qu’Heros severum était un incubateur buccal.

A l’origine en 1840, le Heros severum était identifié comme tel grâce à une 7ème bande partiellement formée sur son corps, mais les experts de la taxonomie et de l’identification ont ensuite rejeté ce critère, le considérant comme une anomalie relevée sur les quelques poissons collectés par HECKEL.

En 2015, le vrai Heros severum a été (re) découvert, il avait effectivement bien cette 7ème bande partielle qui a été décrit en 1840, il a été identifié pendant un court laps de temps comme « Heros sp. Curare » ou « Tiger severum » jusqu’à finalement être officiellement désigné comme le vrai Heros severum.

Heros sp Severum Curare Red Tiger

Le « Heros incubateur buccal » initialement  considéré comme Heros severum a été déclassé comme « Heros liberifer » par STAECK, WOLFGANG & I. SCHINDLER et est devenu ainsi une nouvelle espèce..

Couple de Heros liberifer

En raison du fait que ce poisson ressemble à un discus, les gens ont appelé le severum « faux discus ».

Parmi les espèces qui contribuent à la diversité de la faune ornementale amazonienne, le  Heros severum a un grand potentiel en aquariophilie en raison de son comportement calme, de son adaptation rapide à de nouveaux environnements et de sa reproduction relativement facile.

D’un point de vue commercial, Heros severum a également un grand attrait en raison de sa couleur vert olive à jaune vif avec des nuances d’orange et de rouge.

Dans son environnement naturel, il est associé à des zones de végétation dense et nourrit de petits invertébrés et du matériel végétal.

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