Archives mensuelles : mai 2022
Le 1700 litres de « pifaumage » en AMC
En cette période de NOEL 2011, tout peut arriver puisque je vais lancer prochainement mon nouveau bac de 270 * 80 * 80 à la suite d’une bonne affaire faite sur un site bien connu de vente en ligne et grâce aussi à la gentillesse du passionné qui me le vend à un bon prix.
Je pense avoir fait coup double en le ramenant sur notre forum, c’est un passionné de DISCUS !
Il ne connaissait pas CICHLIDAMERIQUE !!!! 
Cet après midi, je pensais pouvoir rapporter le tout à la maison, mais j’avais surestimé la capacité du véhicule à tout emporter : bac + support métallique !
Sur papier, les chiffres ne paraissent rien, dans la réalité quand on se retrouve devant le bac et son support : c’est une autre affaire !
Conclusion : Pour ne pas bouder mon plaisir, j’ai rapporté le support, que je vais pouvoir repeindre et préparer pour le son bac.
Je ferai peut être appel à quelques paires de bras forts dans l’Essonne ou ailleurs pour la manutention d’un tel engin.
Un bac hors normes de 7500 litres en POLYFONT au Havre
2 août 2016 : L’information arrive sur le forum…
Je souhaite changer l’aquarium de ma salle. J’ai aujourd’hui un bac de 2500 l (3m x 1,2m x 0,7m). Je souhaite le remplacer par un bac en Polyfont de 4,45/1,70/1,1 avec une hauteur d’eau d’1m.
J’ai consulté un fournisseur de Polyfont qui me conseil de prendre une épaisseur de 40 mm, j’étais plutôt parti pour du 20 ou 24 avec un ceinturage et 5 renforts.
Qu’en pensez-vous ?
Ponte de T. Meeki Misol Ha
Aqualog – Southamerican Cichlids 1
Bolivie-Pérou : Le lac Titicaca n’a plus sa splendeur d’antan
Une vision apocalyptique bien loin de l’image d’Épinal recherchée par les touristes, qui chaque année, se rendent aux abords du lac navigable le plus haut du monde, à près de 4000 mètres au-dessus du niveau de la mer.
Gastronomie : Un poisson d’Amazonie bientôt dans nos assiettes
A l’occasion du dernier salon Seafood de Bruxelles, le spécialiste des produits de la mer Adrien a annoncé qu’il commercialisera en Europe un poisson d’exception. Baptisé également « Paiche » au Pérou ou « Pirarucu » au Brésil, ce poisson est considéré comme le « roi de l’Amazonie ».

Il s’agit tout simplement du plus grand poisson d’eau douce au monde avec une taille pouvant atteindre 3 m pour 200 kg !
La grande famille des Crenicichla – Les généralités
PIRANHAS ENIVRÉS : Des poissons et des hommes en Guyane
Meunier (2004) Piranhas enivrés : des poissons et des hommes en Guyane
Résumé d’auteur :
En 1998-2000, des chercheurs de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), du Museum National d’Histoire Naturelle (MNHN), du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), de l’Institut National de Recherche Agronomique et du Museum de Genève, se sont associés pour étudier un mode de pêche patrimonial des Wayana (pêche à la nivrée), peuple amérindien du haut Maroni en Guyane.

Cette pêche qui utilise le poison végétal de la liane « hali hali » leur permet de capturer les « kumaru », des piranhas herbivores, qui occupent une place de choix dans leur alimentation, leur imaginaire et leur cohésion sociale, ainsi que des poissons-roche, poissons-chats cuirassés également très appréciés.
Lumaru et poissons-roche vivent dans les zones de rapides du haut Maroni, rapides où poussent les wïja, plantes aquatiques (Podostémacées) accrochées aux rochers qui abritent toute une microfaune recherchée par de nombreux poissons.
Les rapides représentent un milieu riche et productif mais également d’équilibre fragile qu’il faut absolument conserver.

Le Museum National d’Histoire Naturelle, l’IRD et l’Aquarium tropical du Palais de la Porte dorée se sont réunis pour exposer différents aspects du travail réalisé avec les Wayana sur le haut Maroni (la biodiversité des rapides, la biologie des kumaru, les modes de pêche des Wayana ainsi que les mythes qui y sont liés) et des poissons vivants de ces zones de rapides.
Juste pour le plaisir des yeux….
AQUARIUM A LA MAISON – Septembre-Octobre 2017
Il ne reste plus beaucoup de revues spécialisées sur l’aquariophilie en France : la presse écrite fait les frais d’Internet et d’un manque d’intérêt des lecteurs.
Souvent, la revue AQUARIUM A LA MAISON a été décriée par les aquariophiles spécialistes qui n’en voient qu’un document peu spécialisé et à large public. Pourtant, parfois, des articles intéressants sont proposés par cette revue…
Et, comme la personne qui est interviewée dans cet article est bien connue de beaucoup d’entre nous, je vous propose la lecture d’un extrait de AQUARIUM A LA MAISON – Septembre-Octobre 2017.
Trio de Parachromis dovii par NelsonMuntz
Amatitlania nigrofasciata – Article n°7
Amatitlania nigrofasciata – GÜNTHER, 1867

Le cichlidé bagnard (Amatitlania nigrofasciata) est l’une des espèces d’aquarium les plus connues et répandues du monde de l’aquariophilie.
Cette espèce a été décrite pour la première fois en 1867 par Albert GÜNTHER sous le nom de Heros nigrofasciatus (RADKHAH & EAGDERI, 2019).
Par la suite, il a été rebaptisé « Cichlasoma nigrofasciatum » puis ensuite « Archocentrus nigrofasciatus ».

Depuis cette époque, il a été affublé de plusieurs autres noms avant que sa taxonomie actuelle ne soit décidée…et rien ne certifie qu’elle ne changera pas encore dans les années à venir.
Amatitlania nigrofasciata (SCHMITTER-SOTO, 2007) est un poisson néotropical appartenant à la famille des Cichlidae dont la répartition d’origine est l’Amérique centrale, plus précisément que l’on trouve au Salvador, au Guatemala et au Panama (FROESE & PAULY, 2019).
Les Amatitlania nigrofasciata sont entrés pour la première fois dans le monde de l’aquariophilie qu’à partir des années 1930 et sont rapidement devenus connus et réputés pour être agressifs envers les autres poissons mais aussi pour d’autres qualités qui sont les leurs et qui font tout leur charme.

Le chercheur Juan SCHMITTER-SOTO a décrit ce genre pour la première fois en 2007 sur la base d’une étude du complexe Archocentrus (DUFFY & AL., 2013).
La popularité de Convict cichlid chez les aquariophiles a eu aussi d’autres effets indésirables comme l’a révélée son introduction dans des zones et pays situés en dehors de son aire de répartition d’origine.
Parce qu’il est si robuste, il est capable de s’adapter facilement aux zones en dehors de son aire de répartition, des populations envahissantes d’Amatitlania nigrofasciata ont été établies aux États-Unis, en Iran et en Australie occidentale.
Des lors, cette espèce est considérée comme invasive et comme un ravageur dans ces zones à cause de la concurrence qu’il exerce à l’encontre de la faune indigène des lieux où il a été introduit.
Pourtant, malgré ce constat peu flatteur, aujourd’hui encore, le « Convict Cichlid », Amatitlania nigrofasciata reste l’un des cichlidés les plus répandu et connu de l’aquariophilie et du monde de la science qui a trouvé en ces cichlidés un grand potentiel expérimental et d’étude comportementale.
Pour de multiples raisons, les Amatitlania nigrofasciata restent pourtant parmi les poissons les plus intéressants à élever et à observer même s’ils n’emportent pas toujours les faveurs de tous les publics.

Malgré leur apparente facilité de maintenance, il est bien souvent préférable qu’elle soit l’affaire d’aquariophiles qui ont déjà une certaine expérience dans l’élevage de poissons agressifs.
Par ailleurs, leur environnement offre un biotope très attrayant qu’il est possible de reconstituer en aquarium dans lequel leurs beaux motifs d’écailles noires et argentées s’intégreront parfaitement.
Malgré l’agressivité réputée de ce poisson, les Amatitlania nigrofasciata sont en fait l’un des cichlidés les plus faciles à entretenir et surtout, les Amatitlania nigrofasciata sont une bonne initiation à la découverte de la famille des cichlidés.

Thorichthys meeki du Mexique – Rio Mizol-ha par Meeki67
Amatitlania nigrofasciata – Article n°6
Amatitlania nigrofasciata – GÜNTHER, 1867

Le cichlidé bagnard (Amatitlania nigrofasciata) est l’une des espèces d’aquarium les plus connues et répandues du monde de l’aquariophilie.
Cette espèce a été décrite pour la première fois en 1867 par Albert GÜNTHER sous le nom de Heros nigrofasciatus (RADKHAH & EAGDERI, 2019).
Par la suite, il a été rebaptisé « Cichlasoma nigrofasciatum » puis ensuite « Archocentrus nigrofasciatus ».

Depuis cette époque, il a été affublé de plusieurs autres noms avant que sa taxonomie actuelle ne soit décidée…et rien ne certifie qu’elle ne changera pas encore dans les années à venir.
Amatitlania nigrofasciata (SCHMITTER-SOTO, 2007) est un poisson néotropical appartenant à la famille des Cichlidae dont la répartition d’origine est l’Amérique centrale, plus précisément que l’on trouve au Salvador, au Guatemala et au Panama (FROESE & PAULY, 2019).
Les Amatitlania nigrofasciata sont entrés pour la première fois dans le monde de l’aquariophilie qu’à partir des années 1930 et sont rapidement devenus connus et réputés pour être agressifs envers les autres poissons mais aussi pour d’autres qualités qui sont les leurs et qui font tout leur charme.

Le chercheur Juan SCHMITTER-SOTO a décrit ce genre pour la première fois en 2007 sur la base d’une étude du complexe Archocentrus (DUFFY & AL., 2013).
La popularité de Convict cichlid chez les aquariophiles a eu aussi d’autres effets indésirables comme l’a révélée son introduction dans des zones et pays situés en dehors de son aire de répartition d’origine.
Parce qu’il est si robuste, il est capable de s’adapter facilement aux zones en dehors de son aire de répartition, des populations envahissantes d’Amatitlania nigrofasciata ont été établies aux États-Unis, en Iran et en Australie occidentale.
Des lors, cette espèce est considérée comme invasive et comme un ravageur dans ces zones à cause de la concurrence qu’il exerce à l’encontre de la faune indigène des lieux où il a été introduit.
Pourtant, malgré ce constat peu flatteur, aujourd’hui encore, le « Convict Cichlid », Amatitlania nigrofasciata reste l’un des cichlidés les plus répandu et connu de l’aquariophilie et du monde de la science qui a trouvé en ces cichlidés un grand potentiel expérimental et d’étude comportementale.
Pour de multiples raisons, les Amatitlania nigrofasciata restent pourtant parmi les poissons les plus intéressants à élever et à observer même s’ils n’emportent pas toujours les faveurs de tous les publics.

Malgré leur apparente facilité de maintenance, il est bien souvent préférable qu’elle soit l’affaire d’aquariophiles qui ont déjà une certaine expérience dans l’élevage de poissons agressifs.
Par ailleurs, leur environnement offre un biotope très attrayant qu’il est possible de reconstituer en aquarium dans lequel leurs beaux motifs d’écailles noires et argentées s’intégreront parfaitement.
Malgré l’agressivité réputée de ce poisson, les Amatitlania nigrofasciata sont en fait l’un des cichlidés les plus faciles à entretenir et surtout, les Amatitlania nigrofasciata sont une bonne initiation à la découverte de la famille des cichlidés.


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