Un aquarium de 6300 litres

Juste pour le plaisir des yeux, ce magnifique bac s’intègre bien bien dans l’intérieur de ce domicile particulier. Au départ, en découvrant l’article, j’étais emballé de découvrir qu’il était peuplé de cichlidés mais il faut constater qu’un mélange de cichlidés « perroquet » (hybride AMC) et de Frontosa constitue la population de ce bac. ….mais le bac,seul, mérite vraiment d’être admiré ! (suite…)

Les « aliens » ont atterri à Calcutta !

The aliens have landed in Calcutta ! TRADUCTION : Les « aliens » ont atterri à Calcutta ! Des plantes et des espèces animales non originaires de Calcutta prennent le contrôle des écosystèmes de la ville. Ce qui a fait surface il y a deux mois n’était que la partie visible de l’iceberg ! Les circonstances Shibu Mondal, un pêcheur de Beliaghata, pêchait dans les eaux de Subhash Sarovar quand il a accroché une prise qui, sortie de l’eau, ressemblait à quelque chose hors du monde normal : un extraterrestre ! Avec un museau semblable à un alligator, il était loin des poissons qui habitaient le lac et lui mordait presque le bout du doigt. Bien que terrifié à la vue du monstre aquatique, de ce poisson inconnu, Mondal saisit sa hache et tue le monstre avant qu’il ne lui prenne son doigt. Plus tard, une équipe de scientifiques du Zoological Survey of India (ZSI) a identifié le la silhouette du poisson comme étant celle d’un alligator fantasmagorique ou plutôt un «Cuban Gar» – originaire d’Amérique centrale, un poisson réputé très carnivore : Un poisson de la famille des Lepisosteus ! Bien qu’il n’y ait aucune explication sur la façon dont cet habitant des cours d’eau de l’Amérique centrale éloignée est venu habiter le lac, les experts soupçonnent qu’il a été lâché dans les eaux par un amoureux insouciant des animaux. Cependant, la découverte fortuite d’un petit pêcheur à la ligne a mis en lumière une menace pour l’écosystème et la biodiversité de la ville. L’invasion des «espèces exotiques» a déjà fait perdre à plusieurs pays occidentaux des milliards de dollars en détruisant l’approvisionnement alimentaire et d’autres avantages que les gens tiraient de l’écosystème local et de la biodiversité et menacent maintenant l’environnement. Une enquête a révélé qu’au plus profond des plans d’eau de la ville, une invasion (suite…)

Pérou, les poissons du District de Jenaro Herrera

Le mot de l’auteur

Comme je maintiens diverses espèces de cette région, je me suis intéressé à ses caractéristiques, et peu à peu, j’ai réuni de quoi constituer un mini-dossier sur ce district péruvien.

C’est au 16ème siècle que les espagnols de Pizzaro découvrirent le Pérou des incas, incas qui furent rapidement balayés par les conquistadores.
Aujourd’hui, le Pérou comprend 30 millions d’habitants, dont un tiers résident dans la capitale, Lima.
Le Pérou est grand comme deux fois la France, et plus de 70% de sa surface est une jungle dense, à l’est de la cordillère des Andes.

Carte du Pérou

Cette jungle, de type amazonienne, dissimule encore de nombreux secrets, et la présence d’indiens bravos, c’est-à-dire sans contact avec les péruviens, n’est pas des moindres.

Bien que comme partout le progrès rogne peu à peu sur la forêt, on estime que subsistent encore une quinzaine de tribus sans aucun contact avec la « civilisation », citons parmi celles-ci les Cacataibos, les Isconahua, les Matsigenka, les Mashco-Piro, les Mastanahua, les Murunahua (ou Chitonahua), les Nanti et les Yora.

La partie Est du pays, la jungle donc, est encore très peu peuplée, avec par exemple 2,4 habitants par km2 dans la région de Loreto, au nord-est, et 1,3 habitants  par km2 dans la région de Madre de Dios.

Les anciens départements du Pérou ont été transformés en régions, ce qui peut générer une confusion dans la localisation.
Dans cette fiche, c’est la région de Loreto qui nous intéresse, de  loin la plus grande, au nord-est, recouvrant une partie de la jungle péruvienne.

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Réflexion autocritique & aquariopsychologique….ou pamphlet ?

Analyse autocritique d’un aquariophilie ! S’ils sont d’indéniables antidotes à la solitude et au stress, les animaux de compagnie sont aussi et parfois de véritables donneurs de leçons… de vie.  Pensez à l’indéfectible loyauté du chien, la fière sensualité du chat, l’hypersensibilité du cheval, l’inaltérable impassibilité du poisson rouge… La surenchère dans le choix des épithètes est la règle dans le monde des animaux de compagnie et dans ce domaine l’aquariophilie et les aquariophiles, en particulier, n’échappent pas à la règle, bien au contraire. Souvent, ces passionnés que nous sommes développons un univers dans lequel les projections narcissiques, amour de la nature associés à des connaissances empiriques cohabitent avec plus ou moins d’excès. A tel point que la question se pose de savoir si cette passion est animée par l’amour des animaux ou plutôt l’amour de soi ? « Autrefois utilitaires dans le milieu rural, peluches vivantes pour les enfants ou petits compagnons des personnes âgées, le chien et le chat ont totalement investi la famille. La dimension affective dans cette relation ne cesse de se renforcer. Aujourd’hui, ce qui est nouveau et qui a changé la philosophie de conservation de nos animaux, c’est la notion de responsabilité, d’engagement qui anime les aquariophiles qui veulent  connaître leurs animaux, les biotopes dans lesquels ils évoluent, se passionnent pour reproduire au maximum les meilleures conditions de maintenance de leurs poissons….font tout pour mieux s’en occuper. » Par ailleurs, certains propriétaires acquièrent en la matières une telle connaissance par l’observation de leurs poissons, leurs conditions de maintenance  et tous les moyens qu’il faut mettre en œuvre pour y arriver qu’ils sont, la plupart du temps , intarissables et certains s’autoproclament même « docteur es science » en la matière, n’hésitant pas à se promouvoir conférencier au passage ! Car, si parler de son (ses) poisson(s), de (suite…)

Vous n’auriez pas du acheter ce poisson !!! [4ème partie]

Une maintenance à maîtriser….. L’acquisition d’un tel animal impose une certaines prise de conscience et un engagement de la part du futur propriétaire pour faire vivre décemment ce type de poisson, s’en occuper dignement et surtout ne pas provoquer de catastrophes écologiques en relâchant, en particulier, ce type de poisson dans nos rivières où il pourrait rapidement s’adapter et même proliférer. Ce danger est malheureusement bien réel, tout comme d’autres ! Un peu partout dans le monde, les populations se mobilisent pour lutter contre, parfois, l’irresponsabilité de certaines personnes et en particulier celle de certains aquariophiles. Par, eux Etats Unis, le gouvernement américain s’est mobilisé et a décidé de combattre l’invasion de la rascasse en encourageant les pêcheurs de tous types (amateurs et professionnels), les plongeurs à pêcher cet intrus. Pourtant, malgré tous ces efforts louables, rien n’y fait et les populations de rascasse continuent de croître atteignant même des records : plus de 700% d’augmentation dans certaines régions ! En même temps, l’aire de répartition démographique de cette espèce ne cesse de s’agrandir avec toutes les conséquences connues et encore inconnues sur les espèces indigènes qui sont la proie de ces prédateurs. Plus près de nous en France, ces comportements irresponsables sont à l’origine de phénomènes identiques dont les conséquences ne sont pas encore bien mesurables….et les scenarios « catastrophe du cinéma hollywoodien » pourraient ne plus être des fictions dans quelques années. Depuis des siècles, nous domestiquons et élevons toutes sortes d’animaux comme compagnons ou, comme c’est le cas en aquariophilie, pour le plaisir. Ces animaux font maintenant partie d’un grand nombre de familles du règne animal et ne sont plus seulement les traditionnels animaux domestiques bien connus! La conservation des animaux exotiques est un sujet qui est la source de grands débats depuis de nombreuses années. Avec Internet et l’accès à une (suite…)

Vous ne devez absolument pas acheter ce poisson !!! [3ème partie]

Troisième partie ou épisode de cette saga sur les poissons crocodiles et l’enthousiasme qu’ils créent pour les aquariophiles, les pécheurs ou tout simplement n’importe quel individu qui un jour en a rencontré !

….et malheureusement, l’enthousiasme qui est porté à ces animaux n’est pas toujours de nature à les préserver !

Comme tout animal d’exception, il ne laisse pas insensible et son rapport avec l’être humain est fatalement compliqué et le conduit souvent à l’issue fatale : l’extermination !

Pourtant, tout dans son comportement montre que ce n’est pas un monstre sanguinaire assoiffé de sang comme pourrait le décrire le cinéma hollywoodien, c’est effectivement un prédateur aquatique, attiré par la capture de poissons destinés à son alimentation et le reste du temps, c’est un animal tranquille qui vit sa vie de poisson !

Maintenant, pour les aquariophiles, la question qui se pose est :

Est-il possible de maintenir cet animal dans un aquarium et dans l’affirmative, dans quelles conditions jugées correctes ?

ou alors :

Vous ne devez absolument pas acheter ce poisson !!!

Il y a plusieurs espèces de ce poissons prédateurs, de nombreux pêcheurs les considèrent comme des ravageurs qui ne font que s’attaquer aux espèces de gibier et entraver la population dans une pêcherie donnée.

Les espèces dites «nuisibles», telles que l’aiglefin et la tête de serpent, se sont fait un nom en tant tant qu’espèces agressives dans l’eau, mais l’espèce la plus historiquement et écologiquement controversée est l’impressionnant « gar alligator ».

Le gar alligator n’est-il rien de plus qu’un tueur violent de poissons de chasse populaires, ou les pêcheurs devraient-ils donner à ce fossile vivant tout le respect et la considération qu’une telle icône de l’évolution mérite ?

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CAPA 2018 – Concours Aquagora de paysages aquatiques

Concours Aquagora de Plantes Aquatiques 2018 À l’attention des aquascapeurs, débutants comme confirmés, voici les dates du CAPA 2018. Le CAPA est le rendez-vous français sur Internet des passionnés d’aquascaping, ce hobby dans le hobby qui consiste à recréer des paysages aquatiques grâce d’une part aux végétaux, et d’autre part au décor inerte (hardscape), telles que roches et racines. Cette tendance artistique provient du Japon, initié par le grand Maître Takashi Amano. Les inscriptions auront lieu du 28 mai au 29 juillet 2018. Pour en savoir plus sur le concours, notamment les modalités d’inscription, Visitez régulièrement ce lien. On rappellera que la Catégorie Débutants est encore là, et on s’en réjouit. C’est une excellente motivation pour ceux qui n’oseraient pas s’inscrire, de peur de ne pas encore avoir un niveau suffisant. Si votre paysage aquatique planté ne vous semble pas parfait, c’est justement l’occasion de le présenter aux yeux d’aquascapeurs avertis qui pourront donner leur avis et vous faire progresser. Car le partage fait aussi partie de la philosophie de l’aquascaping. Donc, n’hésitez pas, c’est le moment ou jamais. Vous pouvez également suivre l’actualité du CAPA sur Facebook, en cliquant ici. De plus, Aquagora propose carrément un « p’tit concours pour patienter ». Avec un joli lot à la clef… C’est ici ! Pour ceux qui ne connaitraient pas encore le CAPA, qui a fêté quand même ses 10 ans, il y a une rétrospective dans le dernier numéro d’AQUAmag, qui vient de sortir et qui est désormais disponible. À noter que la rédaction s’est permise de commenter quelques bacs des années précédentes qui avaient marqué le concours, histoire de saluer l’événement. C’est par là ! Bonne chance à tous les cichlidophiles  pour cette nouvelle édition du CAPA 2018.  (suite…)

Nouvelle édition FFA : Poissons de l’Amérique tropicale

Ce nouvel ouvrage de 320 pages et 2600 photos, édité par la Fédération, est écrit par Robert Allgayer. Il est disponible dès maintenant au prix public de 30 €. Les associations membres et leurs adhérents bénéficient d’une réduction à 25 €. Poissons de l’Amérique tropicale Les 320 pages de cet ouvrage sont illustrées de 2 600 photos des plus grands « baroudeurs photographes » aquariophiles : Uwe Werner, Anton Lamboj, Wolfgang Staeck, Jacques Blanc, Patrick de Rham … et l’auteur lui même. Frais de port : 8,50 € pour la France métropolitaine et pour un exemplaire. Pour l’Outre-mer, l’étranger ou plusieurs exemplaires, contacter Guy Chopin. Pour le commander :  * Sur ce site, rubrique « boutique » ; * Par courrier, le bon de commande pouvant être téléchargé ici et être envoyé, accompagné du règlement par chèque à l’ordre de la FFA, à : Guy CHOPIN – 5, rue de Lavoir – 55320 LES-MONTHAIRONS Contact : gchopin@fedeaqua.org – 03 29 87 76 99   (suite…)

Espèces invasives et aquariophilie

Les espèces exotiques envahissantes sont considérées comme la deuxième cause d’extinction des espèces au niveau mondial, juste après la destruction de l’habitat. Leur impact est incommensurable, insidieux et bien souvent irréversible. Elles représentent une menace considérable pour l’écologie, l’économie et la santé.

Chaque espèce possède une aire de répartition naturelle dans laquelle elle fait partie de la faune et la flore indigène qui compose la biodiversité de la région. Certaines espèces possèdent une très petite aire de répartition géographique, alors que d’autres sont réparties sur plusieurs provinces, voire même sur un ou plusieurs continents.

« Les espèces allochtones [le contraire d’autochtones] ne sont nuisibles que lorsqu’elles deviennent invasives. Elles déséquilibrent alors l’écosystème qui les accueille », affirment les biologistes.

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Les espèces « exotiques » sont les espèces qui ont réussi à s’établir à l’extérieur de leur aire de répartition naturelle, dans des régions où on ne les trouverait pas normalement.

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L’une des meilleures façons de réduire l’impact des espèces exotiques envahissantes consiste à les empêcher de s’établir, au départ. Pour ce faire, nous devons comprendre de quelle façon elles arrivent à se déplacer, que ce soit par leurs propres moyens ou pas, à l’extérieur de leur aire de répartition naturelle.

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Bourse aquariophile du Cercle de l’aquarium de Strasbourg le 5 novembre 2017

Le Cercle de l’Aquarium de Strasbourg organise sa Bourse aux poissons le 5 novembre 2017 de 10 h à 17 h. Bourse aquariophile du Cercle de l’aquarium de Strasbourg le 5 novembre 2017 Renseignements : Président  :  M. Olivier   ROBICHON 6 route de Truchtersheim 67370 BEHLENHEIM Tel : 03.88.69.69.49 Inscription : President@aquarium-strasbourg.org (03.88.69.69.49) Site internet : http://www.aquarium-strasbourg.org/ (suite…)

Bourse aquariophile du cercle aquariophile de Nancy le 22 mai 2022

Cet événement se déroule sur une journée le Dimanche 22 Mai à partir de 10h00 et jusqu’à 17h00. Activités : Eau douce, eau de mer, bouture de coraux, stands associatifs, vente de matériels. Entrée gratuite Pour en savoir plus sur :  https://www.aquafolie.com/calendrier-et-bourses/details/CodePostal/FR_54.html Les inscriptions sont ouvertes à l’adresse suivante : cerclaquanancy@gmail.com Site internet : http://www.cercleaqua.com Adresse : Parc de la Cure d’Air – 54 rue Marquette 54000 NANCY (suite…)

Bourse aquariophile le 22 mai 2022 à Ris-Orangis

Cette année, la bourse de l’ARA aura lieu le dimanche 22 mai 2022 de 10h à 16h30 à Ris Orangis (91) au gymnase Jessee OWENS. Entrée gratuite. Les mesures sanitaires en vigueur à la date de l’évènement seront appliquées. Plus de renseignements http://www.ara91.fr https://ara91.fr/notre-bourse/ (suite…)

Bourse aquariophile le 1er mai 2022 à Villeneuve-Les-Béziers

Le 1er mai 2022, le Poséidon Club organise sa 18ème bourse d’échange avec vente de poissons d’aquarium eau douce, eau de mer, plantes … Pour plus de renseignements, pour obtenir un bon de réservation ou le règlement de fonctionnement de la bourse, faire la demande par mail : poseidonclub34@gmail.com Téléphone : 07 88 16 36 48 Email ; poseidonclub34@gmail.com Site internet ; https://poseidonclub.forumpro.fr/   Adresse Rue de la Source 34420 Villeneuve-lès-Béziers (suite…)