Les plantes pour paludariums
Voici un large éventail de plantes qu’il vous sera possible d’intégrer à votre paludarium. Vous pourrez retrouver une bonne partie de ces plantes en animaleries ou simplement dans votre centre jardin.
Les plantes pour paludariums
Voici un large éventail de plantes qu’il vous sera possible d’intégrer à votre paludarium. Vous pourrez retrouver une bonne partie de ces plantes en animaleries ou simplement dans votre centre jardin.
MASKAHEROS REGANI – MILLER, 1974
Photo LeeNuttall.
Maskaheros regani est un cichlidé endémique de l’isthme de Tehuantepec au Mexique que l’on trouve dans le bassin hydrographique supérieur de la rivière Coatzacoalcos et le cours moyen de la rivière Grijalva…
Les Maskaheros regani vivent de manière grégaire, en petit nombre et c’est probablement l’un des cichlidés les plus énigmatiques du Mexique en termes de comportement.
Ce cichlidé peut être maintenu avec succès avec d’autres membres de la communauté de cichlidés d’Amérique centrale s’il y a suffisamment de roches et de racines pour fournir un abri et suffisamment de territoire pour tous les poissons.
Le couple cohabite souvent assez harmonieusement, mais il faut veiller à ce que la femelle ne soit pas harcelée.
Il est bien dommage que ce poisson ne soit pas répandu dans le monde aquariophile car un couple de Maskaheros regani est sans aucun doute un magnifique ajout à tout grand système d’Amérique centrale.
En outre, ce poisson a besoin d’un peu de soins supplémentaires et patience pour se développer correctement, mais s’il est maintenu dans de bonnes conditions, vous serez récompensé par sa palette de couleurs exceptionnelles qui font de Maskaheros regani, l’un des plus gros et plus beaux cichlidés d’Amérique centrale.
La plus sublime de récompenses en aquariophilie, c’est la reproduction de nos protégés.
Avec Maskaheros regani, cela donne ce résultat !
Amphilophus alfari – MEEK, 1907
Celui qu’on appelle couramment « cichlidé pastel » est un magnifique et trop peu répandu cichlidé américain qui vit la plupart du temps en couple et qui réside à proximité du fond de la couche d’eau de son habitat d’origine.
C’est aussi, en première apparence, une espèce au tempérament plutôt calme qui passe la majeure partie de son temps à filtrer le sable à la recherche de nourriture.
C’est encore, une espèce de cichlidé, qui a tendance à stresser rapidement dans certaines circonstances et quand cela se produit, ce mal-être se manifeste alors par l’apparition de barres noires marquées sur tout son corps.
Ainsi malgré son apparente bonhommie qui peut être trompeuse, Cribroheros alfari est aussi un poisson qui peut devenir fortement agressif et surtout qui ne tolère pas les intrusions dans son territoire.
Lors de ces provocations, Cribroheros alfari se montre assez intolérant à l’égard de ses congénères et les intrusions dans son territoire sont systématiquement et sévèrement réprimées !
C’est pourtant un poisson sociable, voire indiffèrent avec des espèces non territoriales qu’il repoussera aussi de son domaine.
En effet, quand il se sent agressé, il devient capable d’une grande violence ce qui donne lieu à des combats musclés et parfois fatals à ses adversaires ou à lui-même.
Cette agressivité est renforcée en période de reproduction, surtout quand il est en garde de sa progéniture.
Comme beaucoup de cichlidés, c’est aussi un poisson qui creuse beaucoup le substrat, c’est en fait, un véritable « bulldozer » qui n’hésitera pas à relooker son environnement.
Pour l’aquariophile, ce n’est pas un très gros cichlidé bien qu’il soit de belle taille et, il faudra surtout retenir que contre de bons soins et un environnement adapté à ses besoins, il récompensera toujours son propriétaire en se parant de magnifiques couleurs, rose et verte à l’âge adulte.
Ce qui est un paradoxe car souvent ces cichlidés sont normalement considérés comme de petits animaux ternes et incolores lorsqu’ils sont vendus à l’âge juvénile.
Des paillettes dorées et brillantes, avec des paillettes saupoudrées généreusement sur les nageoires et sur les flancs mettront en valeur ce cichlidé s’il est soigneusement maintenu en aquarium avec des conditions d’eau de haute qualité…
Les Cribroheros habitent toutes les sections des rivières, des sections supérieures à débit rapide aux tronçons inférieurs à débit plus lent.
Les Cribroheros sont présents entre 2 et 1150 mètres d’altitude, ce qui est la preuve d’une certaine adaptabilité de ces cichlidés, ce qui justifie aussi leurs différents aspects.
Cribroheros alfari préfère les substrats de sable ou de boue où il tamise les insectes aquatiques, en particulier les diptères et les éphéméroptères et les graines tombées des arbres dans l’eau.
…Pour en savoir plus, lisez ce qui suit !
Le concept d’aquaponie est relativement simple : il consiste en l’utilisation de plantes pour épurer une eau des produits azotés issus du métabolisme des poissons qu’elle contient.
Pour nous aquariophiles, cela consiste donc à utiliser les plantes pour filtrer l’eau de nos poissons.
Notre but est opposé à celui d’un producteur de fruits et légumes mais le moyen d’y parvenir est commun : nous cherchons à élever des poissons quand d’autres recherchent la croissance des plantes !
Inutile de rechercher la capitale de ce pays, pas la peine d’étudier une carte du monde ou un planisphère, vous ne trouverez pas !
l’Aquaponie est une manière différente d’appréhender l’aquariophilie… mais avant d’aborder le sujet et toute forme de discours, un petit rappel et remise à plat des différentes définitions utilisées parfois mal à propos s’impose pour éviter la confusion et replacer le sujet dans son contexte.
Amphilophus alfari – MEEK, 1907
Celui qu’on appelle couramment « cichlidé pastel » est un magnifique et trop peu répandu cichlidé américain qui vit la plupart du temps en couple et qui réside à proximité du fond de la couche d’eau de son habitat d’origine.
C’est aussi, en première apparence, une espèce au tempérament plutôt calme qui passe la majeure partie de son temps à filtrer le sable à la recherche de nourriture.
C’est encore, une espèce de cichlidé, qui a tendance à stresser rapidement dans certaines circonstances et quand cela se produit, ce mal-être se manifeste alors par l’apparition de barres noires marquées sur tout son corps.
Ainsi malgré son apparente bonhommie qui peut être trompeuse, Cribroheros alfari est aussi un poisson qui peut devenir fortement agressif et surtout qui ne tolère pas les intrusions dans son territoire.
Lors de ces provocations, Cribroheros alfari se montre assez intolérant à l’égard de ses congénères et les intrusions dans son territoire sont systématiquement et sévèrement réprimées !
C’est pourtant un poisson sociable, voire indiffèrent avec des espèces non territoriales qu’il repoussera aussi de son domaine.
En effet, quand il se sent agressé, il devient capable d’une grande violence ce qui donne lieu à des combats musclés et parfois fatals à ses adversaires ou à lui-même.
Cette agressivité est renforcée en période de reproduction, surtout quand il est en garde de sa progéniture.
Comme beaucoup de cichlidés, c’est aussi un poisson qui creuse beaucoup le substrat, c’est en fait, un véritable « bulldozer » qui n’hésitera pas à relooker son environnement.
Pour l’aquariophile, ce n’est pas un très gros cichlidé bien qu’il soit de belle taille et, il faudra surtout retenir que contre de bons soins et un environnement adapté à ses besoins, il récompensera toujours son propriétaire en se parant de magnifiques couleurs, rose et verte à l’âge adulte.
Ce qui est un paradoxe car souvent ces cichlidés sont normalement considérés comme de petits animaux ternes et incolores lorsqu’ils sont vendus à l’âge juvénile.
Des paillettes dorées et brillantes, avec des paillettes saupoudrées généreusement sur les nageoires et sur les flancs mettront en valeur ce cichlidé s’il est soigneusement maintenu en aquarium avec des conditions d’eau de haute qualité…
Les Cribroheros habitent toutes les sections des rivières, des sections supérieures à débit rapide aux tronçons inférieurs à débit plus lent.
Les Cribroheros sont présents entre 2 et 1150 mètres d’altitude, ce qui est la preuve d’une certaine adaptabilité de ces cichlidés, ce qui justifie aussi leurs différents aspects.
Cribroheros alfari préfère les substrats de sable ou de boue où il tamise les insectes aquatiques, en particulier les diptères et les éphéméroptères et les graines tombées des arbres dans l’eau.
…Pour en savoir plus, lisez ce qui suit !
Amphilophus alfari – MEEK, 1907
Celui qu’on appelle couramment « cichlidé pastel » est un magnifique et trop peu répandu cichlidé américain qui vit la plupart du temps en couple et qui réside à proximité du fond de la couche d’eau de son habitat d’origine.
C’est aussi, en première apparence, une espèce au tempérament plutôt calme qui passe la majeure partie de son temps à filtrer le sable à la recherche de nourriture.
C’est encore, une espèce de cichlidé, qui a tendance à stresser rapidement dans certaines circonstances et quand cela se produit, ce mal-être se manifeste alors par l’apparition de barres noires marquées sur tout son corps.
Ainsi malgré son apparente bonhommie qui peut être trompeuse, Cribroheros alfari est aussi un poisson qui peut devenir fortement agressif et surtout qui ne tolère pas les intrusions dans son territoire.
Lors de ces provocations, Cribroheros alfari se montre assez intolérant à l’égard de ses congénères et les intrusions dans son territoire sont systématiquement et sévèrement réprimées !
C’est pourtant un poisson sociable, voire indiffèrent avec des espèces non territoriales qu’il repoussera aussi de son domaine.
En effet, quand il se sent agressé, il devient capable d’une grande violence ce qui donne lieu à des combats musclés et parfois fatals à ses adversaires ou à lui-même.
Cette agressivité est renforcée en période de reproduction, surtout quand il est en garde de sa progéniture.
Comme beaucoup de cichlidés, c’est aussi un poisson qui creuse beaucoup le substrat, c’est en fait, un véritable « bulldozer » qui n’hésitera pas à relooker son environnement.
Pour l’aquariophile, ce n’est pas un très gros cichlidé bien qu’il soit de belle taille et, il faudra surtout retenir que contre de bons soins et un environnement adapté à ses besoins, il récompensera toujours son propriétaire en se parant de magnifiques couleurs, rose et verte à l’âge adulte.
Ce qui est un paradoxe car souvent ces cichlidés sont normalement considérés comme de petits animaux ternes et incolores lorsqu’ils sont vendus à l’âge juvénile.
Des paillettes dorées et brillantes, avec des paillettes saupoudrées généreusement sur les nageoires et sur les flancs mettront en valeur ce cichlidé s’il est soigneusement maintenu en aquarium avec des conditions d’eau de haute qualité…
Les Cribroheros habitent toutes les sections des rivières, des sections supérieures à débit rapide aux tronçons inférieurs à débit plus lent.
Les Cribroheros sont présents entre 2 et 1150 mètres d’altitude, ce qui est la preuve d’une certaine adaptabilité de ces cichlidés, ce qui justifie aussi leurs différents aspects.
Cribroheros alfari préfère les substrats de sable ou de boue où il tamise les insectes aquatiques, en particulier les diptères et les éphéméroptères et les graines tombées des arbres dans l’eau.
…Pour en savoir plus, lisez ce qui suit !
Amphilophus alfari – MEEK, 1907
Celui qu’on appelle couramment « cichlidé pastel » est un magnifique et trop peu répandu cichlidé américain qui vit la plupart du temps en couple et qui réside à proximité du fond de la couche d’eau de son habitat d’origine.
C’est aussi, en première apparence, une espèce au tempérament plutôt calme qui passe la majeure partie de son temps à filtrer le sable à la recherche de nourriture.
C’est encore, une espèce de cichlidé, qui a tendance à stresser rapidement dans certaines circonstances et quand cela se produit, ce mal-être se manifeste alors par l’apparition de barres noires marquées sur tout son corps.
Ainsi malgré son apparente bonhommie qui peut être trompeuse, Cribroheros alfari est aussi un poisson qui peut devenir fortement agressif et surtout qui ne tolère pas les intrusions dans son territoire.
Lors de ces provocations, Cribroheros alfari se montre assez intolérant à l’égard de ses congénères et les intrusions dans son territoire sont systématiquement et sévèrement réprimées !
C’est pourtant un poisson sociable, voire indiffèrent avec des espèces non territoriales qu’il repoussera aussi de son domaine.
En effet, quand il se sent agressé, il devient capable d’une grande violence ce qui donne lieu à des combats musclés et parfois fatals à ses adversaires ou à lui-même.
Cette agressivité est renforcée en période de reproduction, surtout quand il est en garde de sa progéniture.
Comme beaucoup de cichlidés, c’est aussi un poisson qui creuse beaucoup le substrat, c’est en fait, un véritable « bulldozer » qui n’hésitera pas à relooker son environnement.
Pour l’aquariophile, ce n’est pas un très gros cichlidé bien qu’il soit de belle taille et, il faudra surtout retenir que contre de bons soins et un environnement adapté à ses besoins, il récompensera toujours son propriétaire en se parant de magnifiques couleurs, rose et verte à l’âge adulte.
Ce qui est un paradoxe car souvent ces cichlidés sont normalement considérés comme de petits animaux ternes et incolores lorsqu’ils sont vendus à l’âge juvénile.
Des paillettes dorées et brillantes, avec des paillettes saupoudrées généreusement sur les nageoires et sur les flancs mettront en valeur ce cichlidé s’il est soigneusement maintenu en aquarium avec des conditions d’eau de haute qualité…
Les Cribroheros habitent toutes les sections des rivières, des sections supérieures à débit rapide aux tronçons inférieurs à débit plus lent.
Les Cribroheros sont présents entre 2 et 1150 mètres d’altitude, ce qui est la preuve d’une certaine adaptabilité de ces cichlidés, ce qui justifie aussi leurs différents aspects.
Cribroheros alfari préfère les substrats de sable ou de boue où il tamise les insectes aquatiques, en particulier les diptères et les éphéméroptères et les graines tombées des arbres dans l’eau.
…Pour en savoir plus, lisez ce qui suit !
Le filtre à décantation lamellaire : La théorie
La décantation lamellaire repose sur le principe qu’en décantation libre, d’après la loi de Hazen (voir différents types de décantation), la rétention d’une particule grenue est indépendante de la hauteur de l’ouvrage.
Il est donc possible d’augmenter de manière très importante la surface disponible à la décantation en superposant sur la hauteur de l’ouvrage un grand nombre de cellules de séparation eau/boue.
Thorichthys meeki, MEEK – 1904
Quel est ce beau poisson ?
Tel était mon propos, il y a plusieurs années, en regardant la page de couverture d’AXELROD’s et VORDERWINKLER « ENCYCLOPEDIA OF TROPICAL FISHES » (Edition 1974).
Ce livre montrait une superbe photographie de Hans Joachin RITCHER d’un fier mâle Thorichthys meeki avec ses couvertures branchiales et ses membranes complétées en avant, dans une pose menaçante.
Le mâle surveille son frai dans un aquarium joliment planté et décoré. Quand j’en ai appris plus sur ce magnifique poisson, j’ai été étonné de constater que ce poisson, Thorichthys meeki, ne pouvait être trouvé dans mon pays, le Mexique.
Juan Miguel ARTIGUAS-AZAS
Des années se sont écoulées depuis et, à ce jour, mon admiration pour ce poisson n’a jamais cessé, bien que j’ai réellement recueilli et le regarder plusieurs fois dans plusieurs parties de sa gamme naturelle.
Et même aujourd’hui j’ai une paire de reproduction de ce superbe cichlidé de Rio Candelaria, Campeche, dans mon espace de réservoirs restreints.
On aimerait écrire que le bon vieux « meeki » est toujours une star parmi les cichlidés américains et qu’il figure toujours parmi les poissons les plus volontiers conservés dans les aquariums…c’est assez difficile même si ce beau cichlidé reste une référence en aquariophilie et chez les cichlidophiles !
En fait, ce n’est pas le cas, car on ne voit jamais ces spécimens adultes magnifiquement colorés proposés dans les animaleries !
Plus souvent on trouve des juvéniles qui sont généralement dans un état déplorable, fades en couleurs, mal développés en conséquence d’une mauvaise nutrition, d’une infestation de parasites internes, etc…
Aujourd’hui, presque personne ne pense à acheter de tels poissons, même si leur prix est relativement bas.
Thorichthys meeki, MEEK – 1904
Quel est ce beau poisson ?
Tel était mon propos, il y a plusieurs années, en regardant la page de couverture d’AXELROD’s et VORDERWINKLER « ENCYCLOPEDIA OF TROPICAL FISHES » (Edition 1974).
Ce livre montrait une superbe photographie de Hans Joachin RITCHER d’un fier mâle Thorichthys meeki avec ses couvertures branchiales et ses membranes complétées en avant, dans une pose menaçante.
Le mâle surveille son frai dans un aquarium joliment planté et décoré. Quand j’en ai appris plus sur ce magnifique poisson, j’ai été étonné de constater que ce poisson, Thorichthys meeki, ne pouvait être trouvé dans mon pays, le Mexique.
Juan Miguel ARTIGUAS-AZAS
Des années se sont écoulées depuis et, à ce jour, mon admiration pour ce poisson n’a jamais cessé, bien que j’ai réellement recueilli et le regarder plusieurs fois dans plusieurs parties de sa gamme naturelle.
Et même aujourd’hui j’ai une paire de reproduction de ce superbe cichlidé de Rio Candelaria, Campeche, dans mon espace de réservoirs restreints.
On aimerait écrire que le bon vieux « meeki » est toujours une star parmi les cichlidés américains et qu’il figure toujours parmi les poissons les plus volontiers conservés dans les aquariums…c’est assez difficile même si ce beau cichlidé reste une référence en aquariophilie et chez les cichlidophiles !
En fait, ce n’est pas le cas, car on ne voit jamais ces spécimens adultes magnifiquement colorés proposés dans les animaleries !
Plus souvent on trouve des juvéniles qui sont généralement dans un état déplorable, fades en couleurs, mal développés en conséquence d’une mauvaise nutrition, d’une infestation de parasites internes, etc…
Aujourd’hui, presque personne ne pense à acheter de tels poissons, même si leur prix est relativement bas.
Thorichthys meeki, MEEK – 1904
Quel est ce beau poisson ?
Tel était mon propos, il y a plusieurs années, en regardant la page de couverture d’AXELROD’s et VORDERWINKLER « ENCYCLOPEDIA OF TROPICAL FISHES » (Edition 1974).
Ce livre montrait une superbe photographie de Hans Joachin RITCHER d’un fier mâle Thorichthys meeki avec ses couvertures branchiales et ses membranes complétées en avant, dans une pose menaçante.
Le mâle surveille son frai dans un aquarium joliment planté et décoré. Quand j’en ai appris plus sur ce magnifique poisson, j’ai été étonné de constater que ce poisson, Thorichthys meeki, ne pouvait être trouvé dans mon pays, le Mexique.
Juan Miguel ARTIGUAS-AZAS
Des années se sont écoulées depuis et, à ce jour, mon admiration pour ce poisson n’a jamais cessé, bien que j’ai réellement recueilli et le regarder plusieurs fois dans plusieurs parties de sa gamme naturelle.
Et même aujourd’hui j’ai une paire de reproduction de ce superbe cichlidé de Rio Candelaria, Campeche, dans mon espace de réservoirs restreints.
On aimerait écrire que le bon vieux « meeki » est toujours une star parmi les cichlidés américains et qu’il figure toujours parmi les poissons les plus volontiers conservés dans les aquariums…c’est assez difficile même si ce beau cichlidé reste une référence en aquariophilie et chez les cichlidophiles !
En fait, ce n’est pas le cas, car on ne voit jamais ces spécimens adultes magnifiquement colorés proposés dans les animaleries !
Plus souvent on trouve des juvéniles qui sont généralement dans un état déplorable, fades en couleurs, mal développés en conséquence d’une mauvaise nutrition, d’une infestation de parasites internes, etc…
Aujourd’hui, presque personne ne pense à acheter de tels poissons, même si leur prix est relativement bas.
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