Archives de catégorie : Actualité
Bourse aquariophile du Cercle de l’aquarium de Strasbourg le 5 novembre 2017
22ème congrès d’Arlon, 27 mai 2018
Comment rater une prestation de découverte de l’Aquariophilie !
Aqualog – Southamerican Cichlids 1
Bolivie-Pérou : Le lac Titicaca n’a plus sa splendeur d’antan
Une vision apocalyptique bien loin de l’image d’Épinal recherchée par les touristes, qui chaque année, se rendent aux abords du lac navigable le plus haut du monde, à près de 4000 mètres au-dessus du niveau de la mer.
PIRANHAS ENIVRÉS : Des poissons et des hommes en Guyane
Meunier (2004) Piranhas enivrés : des poissons et des hommes en Guyane
Résumé d’auteur :
En 1998-2000, des chercheurs de l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD), du Museum National d’Histoire Naturelle (MNHN), du Centre National de la Recherche Scientifique (CNRS), de l’Institut National de Recherche Agronomique et du Museum de Genève, se sont associés pour étudier un mode de pêche patrimonial des Wayana (pêche à la nivrée), peuple amérindien du haut Maroni en Guyane.
Cette pêche qui utilise le poison végétal de la liane « hali hali » leur permet de capturer les « kumaru », des piranhas herbivores, qui occupent une place de choix dans leur alimentation, leur imaginaire et leur cohésion sociale, ainsi que des poissons-roche, poissons-chats cuirassés également très appréciés.
Lumaru et poissons-roche vivent dans les zones de rapides du haut Maroni, rapides où poussent les wïja, plantes aquatiques (Podostémacées) accrochées aux rochers qui abritent toute une microfaune recherchée par de nombreux poissons.
Les rapides représentent un milieu riche et productif mais également d’équilibre fragile qu’il faut absolument conserver.
Le Museum National d’Histoire Naturelle, l’IRD et l’Aquarium tropical du Palais de la Porte dorée se sont réunis pour exposer différents aspects du travail réalisé avec les Wayana sur le haut Maroni (la biodiversité des rapides, la biologie des kumaru, les modes de pêche des Wayana ainsi que les mythes qui y sont liés) et des poissons vivants de ces zones de rapides.
AQUARIUM A LA MAISON – Septembre-Octobre 2017
Il ne reste plus beaucoup de revues spécialisées sur l’aquariophilie en France : la presse écrite fait les frais d’Internet et d’un manque d’intérêt des lecteurs.
Souvent, la revue AQUARIUM A LA MAISON a été décriée par les aquariophiles spécialistes qui n’en voient qu’un document peu spécialisé et à large public. Pourtant, parfois, des articles intéressants sont proposés par cette revue…
Et, comme la personne qui est interviewée dans cet article est bien connue de beaucoup d’entre nous, je vous propose la lecture d’un extrait de AQUARIUM A LA MAISON – Septembre-Octobre 2017.
Bourse aquariophile du cercle aquariophile de Nancy le 22 mai 2022
Bourse aquariophile le 22 mai 2022 à Ris-Orangis
Bourse aquariophile le 1er mai 2022 à Villeneuve-Les-Béziers
Rapport 2017 du W.W.F sur la découverte de nouvelles espèces de vertébrés et de plantes en Amazonie en 2014-2015
Toujours considérée comme une région inhospitalière et inaccessible, l’Amazone a été explorée par des scientifiques curieux il y a quelques siècles.
Ces scientifiques sont connus sous le nom de « naturalistes » ont parcouru cette région, dans un mélange d’esprit aventureux et scientifique, afin de recueillir des spécimens, des informations…depuis le milieu du 18ème siècle.
Malgré les efforts de ces naturalistes, il y a beaucoup à découvrir, à connaitre et à apprendre en Amazonie.
Parlons de « BIOSPHÈRE »
La Terre, du point de vue écologique, est constituée de plusieurs couches :
- L’hydrosphère : les océans, le milieu aquatique ;
- La lithosphère : couche la plus superficielle de l’écorce terrestre ;
- L’atmosphère : bulle de gaz entourant la terre.
La biosphère est la partie de notre planète où la vie s’est développée : couche superficielle très mince qui comprend l’hydrosphère, la couche la plus basse de l’atmosphère et la lithosphère (sens donné par les écologistes).
Une autre interprétation désigne la biosphère comme l’analyse systémique des phénomènes naturels.
La biosphère contient de grandes quantités d’éléments indispensables à la vie tels que le carbone, l’azote, l’oxygène, l’eau, le phosphore, le calcium, le potassium, … .
La biosphère et en particulier la végétation, que ce soient la forêt (terrestre) ou le phytoplancton (marin) influencent considérablement la composition en gaz de l’atmosphère (vapeur d’eau, gaz carbonique, oxygène et méthane en particulier).
Mais, quel rapport avec notre loisir ?
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.