Nannacara anomala – 2éme partie

NANNACARA ANOMALA – REGAN, 1905

 

Voici un poisson qui mérite sa place dans tout bac consacré à l’Amérique du Sud et  autant le dire de suite, on est en présence d’un magnifique petit cichlidé sud-américain avec des écailles aux couleurs changeantes.

Mais qui croirait en les voyant séparément que mâle et femelle forment un couple, tant leur forme et couleurs sont différentes.

Si ce petit cichlidé est un véritable petit joyau grâce à ses  couleurs,  son comportement est aussi exceptionnel et atypique.

Malheureusement, comme beaucoup de cichlidés américains, Nannacara anomala n’est pas très connu dans le monde de l’aquariophilie.

Cette relative rareté injustifiée s’explique uniquement par ce qu’il est peu présent dans les bacs des animaleries traditionnelles.

On ne peut que conseiller de se rapprocher d’un bon site spécialisé dans la vente de cichlidés, car il possède toutes les caractéristiques pour être le choix idéal pour faire ses premières armes avec ce genre de poisson.

Il possède tous les critères justifiant sa maintenance : Il est donc beau, sa maintenance est facile et il est assez territorial pour avoir un comportement intéressant mais sans excès rendant une cohabitation possible avec de nombreuses espèces paisibles.

Nannacara anomala mérite véritablement d’être présenté au sein d’un bac d’ensemble amazonien qui en sera son écrin !

Ce poisson mérite vraiment qu’on s’y attache, son observation étant une des plus captivante qui soit tant son comportement est intéressant.

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Nannacara anomala – 1ère partie

NANNACARA ANOMALA – REGAN, 1905

 

Voici un poisson qui mérite sa place dans tout bac consacré à l’Amérique du Sud et  autant le dire de suite, on est en présence d’un magnifique petit cichlidé sud-américain avec des écailles aux couleurs changeantes.

Mais qui croirait en les voyant séparément que mâle et femelle forment un couple, tant leur forme et couleurs sont différentes.

Si ce petit cichlidé est un véritable petit joyau grâce à ses  couleurs,  son comportement est aussi exceptionnel et atypique.

Malheureusement, comme beaucoup de cichlidés américains, Nannacara anomala n’est pas très connu dans le monde de l’aquariophilie.

Cette relative rareté injustifiée s’explique uniquement par ce qu’il est peu présent dans les bacs des animaleries traditionnelles.

On ne peut que conseiller de se rapprocher d’un bon site spécialisé dans la vente de cichlidés, car il possède toutes les caractéristiques pour être le choix idéal pour faire ses premières armes avec ce genre de poisson.

Il possède tous les critères justifiant sa maintenance : Il est donc beau, sa maintenance est facile et il est assez territorial pour avoir un comportement intéressant mais sans excès rendant une cohabitation possible avec de nombreuses espèces paisibles.

Nannacara anomala mérite véritablement d’être présenté au sein d’un bac d’ensemble amazonien qui en sera son écrin !

Ce poisson mérite vraiment qu’on s’y attache, son observation étant une des plus captivante qui soit tant son comportement est intéressant.

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Uaru amphiacanthoides – 3éme partie

Citation

Uaru amphiacanthoides – HECKEL, 1840

Uaru amphiacanthoides, ou « Discus du pauvre » selon le surnom qui lui a longtemps été donné est un cichlidés d’Amérique du sud, faisant partie du groupe des grands cichlidés amazoniens.

Si on le surnomme ainsi, c’est qu’il a les mêmes besoins que le Discus notamment en qualité d’eau, d’environnement, de température qui devra être assez élevée dans le bac.

Tout au long des années 1960 et 1970, lorsque seuls les Discus sauvages étaient disponibles et généralement vendus pour des sommes d’argent exorbitantes, Le Uaru (prononcez « wouarou ») ou « triangle cichlid » était souvent appelé le « Discus du pauvre ».

En effet, ils étaient facilement disponibles comme juvéniles et subadultes à des prix plusieurs fois inférieurs aux prix des Discus sauvages, et, en outre, leur morphologie et leurs habitudes rappelaient celles des Discus.

Aujourd’hui, avec la prolifération des écloseries de Discus et le l’énorme quantité d’individus élevés en captivité à des prix raisonnables, il semblerait que le Discus, pourrait, à son tour être nommé plus correctement « Uaru du pauvre ».

Uaru amphiacanthoides est pourtant un poisson peu répandu et présent chez les aquariophiles, il est très intelligent mais nécessite une certaine expérience aquariophile pour sa maintenance et sa reproduction.

L’Uaru est un poisson de belle taille pouvant atteindre les 25 centimètres.

Il peut être maintenu en couple ou en groupe, dans un aquarium de taille relativement conséquente !

Il a beau être grand, et impressionnant, c’est un doux géant, avec une forte tendance à être herbivore, sans pour autant interdire sa maintenance dans un bac planté.

La reproduction d’Uaru amphiacanthoides n’est pas aisée, pas seulement en raison du fait que l’on des difficultés à distinguer mâle et femelle.

C’est un poisson très intelligent, interactif qui ravit sans exception tous ses propriétaires.

Uaru amphiacanthoides n’est pas le poisson à confier à un débutant, il peut être un poisson difficile à garder et il est préférable de le garder par quelqu’un avec une certaine expérience.

Les Uaru amphiacanthoides peuvent être des poissons capricieux et ne tolèrent pas les grandes fluctuations de leurs conditions d’eau et de la chimie de celle-ci.

A savoir qu’ils réagissent parfois violement au stress.

Dans tous les cas, leur propriétaire devra être en mesure de réagir de manière appropriée et rapide aux changements des conditions de l’eau et de maintenir un calendrier de nettoyage strict et fréquent.

Ces poissons ne sont pas particulièrement agressifs ce qui leur permet d’être maintenus dans un aquarium communautaire avec d’autres cichlidés d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud. En revanche, il faudra éviter de leur adjoindre des partenaires de trop petites tailles

Il faudra aussi prendre la précaution de les conserver groupes d’au moins deux cichlidés Uaru et ne maintenir d’individu seul car il déprimerait puis décéderait.

L’Uaru, est bien connu, le voir évoluer dans un aquarium reconstituant son biotope d’origine est un spectacle rare dans le monde de l’aquariophilie.

Ce résultat n’est pas seulement dû à sa belle apparence ou à sa nature paisible, c’est un poisson imposant et majestueux !

Maintenir des Uaru est très exigeant et malheureusement pas adapté aux débutants, en outre, il ne faudra pas oublier que Uaru  a également besoin d’un grand aquarium.

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Uaru amphiacanthoides – 2éme partie

Citation

Uaru amphiacanthoides – HECKEL, 1840

Uaru amphiacanthoides, ou « Discus du pauvre » selon le surnom qui lui a longtemps été donné est un cichlidés d’Amérique du sud, faisant partie du groupe des grands cichlidés amazoniens.

Si on le surnomme ainsi, c’est qu’il a les mêmes besoins que le Discus notamment en qualité d’eau, d’environnement, de température qui devra être assez élevée dans le bac.

Tout au long des années 1960 et 1970, lorsque seuls les Discus sauvages étaient disponibles et généralement vendus pour des sommes d’argent exorbitantes, Le Uaru (prononcez « wouarou ») ou « triangle cichlid » était souvent appelé le « Discus du pauvre ».

En effet, ils étaient facilement disponibles comme juvéniles et subadultes à des prix plusieurs fois inférieurs aux prix des Discus sauvages, et, en outre, leur morphologie et leurs habitudes rappelaient celles des Discus.

Aujourd’hui, avec la prolifération des écloseries de Discus et le l’énorme quantité d’individus élevés en captivité à des prix raisonnables, il semblerait que le Discus, pourrait, à son tour être nommé plus correctement « Uaru du pauvre ».

Uaru amphiacanthoides est pourtant un poisson peu répandu et présent chez les aquariophiles, il est très intelligent mais nécessite une certaine expérience aquariophile pour sa maintenance et sa reproduction.

L’Uaru est un poisson de belle taille pouvant atteindre les 25 centimètres.

Il peut être maintenu en couple ou en groupe, dans un aquarium de taille relativement conséquente !

Il a beau être grand, et impressionnant, c’est un doux géant, avec une forte tendance à être herbivore, sans pour autant interdire sa maintenance dans un bac planté.

La reproduction d’Uaru amphiacanthoides n’est pas aisée, pas seulement en raison du fait que l’on des difficultés à distinguer mâle et femelle.

C’est un poisson très intelligent, interactif qui ravit sans exception tous ses propriétaires.

Uaru amphiacanthoides n’est pas le poisson à confier à un débutant, il peut être un poisson difficile à garder et il est préférable de le garder par quelqu’un avec une certaine expérience.

Les Uaru amphiacanthoides peuvent être des poissons capricieux et ne tolèrent pas les grandes fluctuations de leurs conditions d’eau et de la chimie de celle-ci.

A savoir qu’ils réagissent parfois violement au stress.

Dans tous les cas, leur propriétaire devra être en mesure de réagir de manière appropriée et rapide aux changements des conditions de l’eau et de maintenir un calendrier de nettoyage strict et fréquent.

Ces poissons ne sont pas particulièrement agressifs ce qui leur permet d’être maintenus dans un aquarium communautaire avec d’autres cichlidés d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud. En revanche, il faudra éviter de leur adjoindre des partenaires de trop petites tailles

Il faudra aussi prendre la précaution de les conserver groupes d’au moins deux cichlidés Uaru et ne maintenir d’individu seul car il déprimerait puis décéderait.

L’Uaru, est bien connu, le voir évoluer dans un aquarium reconstituant son biotope d’origine est un spectacle rare dans le monde de l’aquariophilie.

Ce résultat n’est pas seulement dû à sa belle apparence ou à sa nature paisible, c’est un poisson imposant et majestueux !

Maintenir des Uaru est très exigeant et malheureusement pas adapté aux débutants, en outre, il ne faudra pas oublier que Uaru  a également besoin d’un grand aquarium.

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Uaru amphiacanthoides -1ére partie

Citation

Uaru amphiacanthoides – HECKEL, 1840

Uaru amphiacanthoides, ou « Discus du pauvre » selon le surnom qui lui a longtemps été donné est un cichlidés d’Amérique du sud, faisant partie du groupe des grands cichlidés amazoniens.

Si on le surnomme ainsi, c’est qu’il a les mêmes besoins que le Discus notamment en qualité d’eau, d’environnement, de température qui devra être assez élevée dans le bac.

Tout au long des années 1960 et 1970, lorsque seuls les Discus sauvages étaient disponibles et généralement vendus pour des sommes d’argent exorbitantes, Le Uaru (prononcez « wouarou ») ou « triangle cichlid » était souvent appelé le « Discus du pauvre ».

En effet, ils étaient facilement disponibles comme juvéniles et subadultes à des prix plusieurs fois inférieurs aux prix des Discus sauvages, et, en outre, leur morphologie et leurs habitudes rappelaient celles des Discus.

Aujourd’hui, avec la prolifération des écloseries de Discus et le l’énorme quantité d’individus élevés en captivité à des prix raisonnables, il semblerait que le Discus, pourrait, à son tour être nommé plus correctement « Uaru du pauvre ».

Uaru amphiacanthoides est pourtant un poisson peu répandu et présent chez les aquariophiles, il est très intelligent mais nécessite une certaine expérience aquariophile pour sa maintenance et sa reproduction.

L’Uaru est un poisson de belle taille pouvant atteindre les 25 centimètres.

Il peut être maintenu en couple ou en groupe, dans un aquarium de taille relativement conséquente !

Il a beau être grand, et impressionnant, c’est un doux géant, avec une forte tendance à être herbivore, sans pour autant interdire sa maintenance dans un bac planté.

La reproduction d’Uaru amphiacanthoides n’est pas aisée, pas seulement en raison du fait que l’on des difficultés à distinguer mâle et femelle.

C’est un poisson très intelligent, interactif qui ravit sans exception tous ses propriétaires.

Uaru amphiacanthoides n’est pas le poisson à confier à un débutant, il peut être un poisson difficile à garder et il est préférable de le garder par quelqu’un avec une certaine expérience.

Les Uaru amphiacanthoides peuvent être des poissons capricieux et ne tolèrent pas les grandes fluctuations de leurs conditions d’eau et de la chimie de celle-ci.

A savoir qu’ils réagissent parfois violement au stress.

Dans tous les cas, leur propriétaire devra être en mesure de réagir de manière appropriée et rapide aux changements des conditions de l’eau et de maintenir un calendrier de nettoyage strict et fréquent.

Ces poissons ne sont pas particulièrement agressifs ce qui leur permet d’être maintenus dans un aquarium communautaire avec d’autres cichlidés d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud. En revanche, il faudra éviter de leur adjoindre des partenaires de trop petites tailles

Il faudra aussi prendre la précaution de les conserver groupes d’au moins deux cichlidés Uaru et ne maintenir d’individu seul car il déprimerait puis décéderait.

L’Uaru, est bien connu, le voir évoluer dans un aquarium reconstituant son biotope d’origine est un spectacle rare dans le monde de l’aquariophilie.

Ce résultat n’est pas seulement dû à sa belle apparence ou à sa nature paisible, c’est un poisson imposant et majestueux !

Maintenir des Uaru est très exigeant et malheureusement pas adapté aux débutants, en outre, il ne faudra pas oublier que Uaru  a également besoin d’un grand aquarium.

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Guianacara geayi

GUIANACARA GEAYI – PELLEGRIN, 1902

Les Cichlidés du genre Guianacara sont des poissons originaires des rivières d’eau douce du nord-est de l’Amérique du Sud, notamment dans les Guyanes pour désigner l’aire de répartition principale.

Le genre Guianacara  a été séparé du genre Acarichthys en 2010.

Le genre Guianacara appartient à la famille des Cichlidae (cichlidés).

Ils sont originaires du nord-est de l’Amérique du Sud.

Les espèces de Guianacara sont de taille petite à moyenne, mesurant jusqu’à 20 centimètres de long, mais restant généralement plus petites.

C’est un cichlidé à croissance moyenne, trouvé dans les eaux douces et acides de la Guyane et du Suriname, surnommé le « cichlidé Bandit » ou « Geayi Cichlid »  et qui doit son nom à la bande distincte couvrant les deux yeux.

Dans l’aquarium, ce sont des poissons actifs et intéressants qui tamisent souvent le sable à travers leurs branchies comme un terrassier et réorganisent le décor comme des plantes ou de la litière de feuilles.

Ils sont quelque peu agressifs malgré leur taille adulte relativement petite et se maintiendront généralement avec des cichlidés modérés à agressifs similaires ou plus grands.

Les bandits cichlidés s’entendront généralement en groupes de cinq ou plus tant que suffisamment d’espace pour les territoires et la structure sous forme de bois flotté, de grottes et de plantes est fourni.

Ce sont des poissons d’aquarium robustes et divertissants qui s’adapteront à la plupart des conditions de maintenance qui leur seront offertes des l’instant qu’elle sont correctes et restent dans une fourchette de valeur fixées.

 Enfin, c’est un cichlidé sud-américain français !

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Aequidens pallidus

AEQUIDENS PALLIDUS – HECKEL, 1840

Le cichlidé à deux points « Aequidens pallidus » est un poisson d’eau douce d’Amérique du Sud.

Le nom anglais du cichlidé à deux points est « Doublespot acara« .

L’Aequidens pallidus est un cousin du poisson d’ornement à la réputation d’un comportement sulfureux : Andinoacara rivulatus

La patrie d’Aequidens pallidus est le Rio Negro moyen et inférieur, Uatumã, Preto da Eva et Puraquequara au Brésil.

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Hypselecara coryphaenoides – 2ème partie

HYPSELECARA CORYPHAENOIDES – HECKEL, 1840

INTRODUCTION

Même si un nombre considérable de poissons varient leur couleur selon l’humeur et l’émotion, le cichlidé au chocolat est remarquable, non seulement grâce à ses changements de couleurs, sa palette de couleurs mais aussi pour la vitesse à laquelle il réalise ces changements.

Dans des conditions normales, la couleur générale du corps va du brun pâle au brun foncé et le ventre est d’un beau brun-violet métallique.

Le corps est de couleur marron. D’où, bien sûr, le surnom – chocolat. Beau poisson brun avec des rayures brunes.

Sa forme ressemble à la plupart des héros, il a de belles nageoires qui virent au rouge.

Une tache sombre apparaît en haut du dos…

C’est l’une des espèces sud-américaines les moins connues. Il est inclus dans le groupe des héroïnes, comme le Heros severum; cependant, ce groupe n’est pas une classification scientifique. Il peut être maintenu avec d’autres cichlidés américains pacifiques.

C’est un bel animal qui porte bien le nom que lui ont donné les néerlandais de « cichlidé émeraude ».

Ce n’est pas un poisson pour débutant, un aquariophile averti, ayant une certaine expérience des cichlidés sud  américains devrait pouvoir le garder comme il se doit.

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Hypselecara coryphaenoides – 1ère partie

HYPSELECARA CORYPHAENOIDES – HECKEL, 1840

INTRODUCTION

Même si un nombre considérable de poissons varient leur couleur selon l’humeur et l’émotion, le cichlidé au chocolat est remarquable, non seulement grâce à ses changements de couleurs, sa palette de couleurs mais aussi pour la vitesse à laquelle il réalise ces changements.

Dans des conditions normales, la couleur générale du corps va du brun pâle au brun foncé et le ventre est d’un beau brun-violet métallique.

Le corps est de couleur marron. D’où, bien sûr, le surnom – chocolat. Beau poisson brun avec des rayures brunes.

Sa forme ressemble à la plupart des héros, il a de belles nageoires qui virent au rouge.

Une tache sombre apparaît en haut du dos…

C’est l’une des espèces sud-américaines les moins connues. Il est inclus dans le groupe des héroïnes, comme le Heros severum; cependant, ce groupe n’est pas une classification scientifique. Il peut être maintenu avec d’autres cichlidés américains pacifiques.

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Andinoacara rivulatus – 5éme partie

Andinoacara rivulatus – Günther, 1860

INTRODUCTION

Attention avant de vous laisser charmer par les couleurs métalliques de ce très beau Cichlidé Américain. Le « Green Terror » rivulatus est un des plus beaux poissons avec une brillance métallique globale verte et bleue. Andinoacara rivulatus dit « la terreur verte », appelée précédemment Andinoacara rivulatus, est un poisson d’eau douce des plus coloré de la famille des cichlidés, ils ont une magnifique gamme de couleurs allant violet, rose, rouge et / ou bleu électrique…et finalement peu de vert !

Ces raisons en font que celui qu’on surnomme malgré tout « La terreur verte » est un poisson extrêmement populaire auprès de nombreux détenteurs de cichlidés en raison de sa grande coloration et de son apparence, mais malheureusement, il a aussi la mauvaise réputation d’être trop agressif envers ses autres compagnons de bac.

L’Andinoacara rivulatus avec sa taille maximale de 30 centimètres devra être maintenu dans un aquarium adapté à sa morphologie impressionnante et surtout son caractère bien trempé.

500 litres, c’est le volume minimum correct pour espérer offrir à cette espèce un bac à sa convenance et en particulier, si on souhaite le faire cohabiter avec d’autres cichlidés, il va falloir prévoir beaucoup plus grand !

Les mâles sont les plus colorés de cette espèce et développent une bordure rouge brillant sur leur nageoire caudale, mais les femelles sont également assez frappantes.

Ce poisson provient du côté Pacifique de l’Amérique du Sud, plus précisément de la rivière Tumbes au Pérou et jusqu’à la rivière Esmeraldas en Équateur.

Il est polymorphe et peut avoir une bordure blanche ou or-orange à la queue et aux nageoires dorsales. Il a été historiquement confondu avec deux autres espèces qui ont toujours une bordure blanche étroite et clairement définie, la plus distribuée vers le sud Aequidens stalsbergi (souvent considérée comme la « vraie » terreur verte) et Andinoacara blombergi plus au nord ou Andinoacara stalsbergi.

La terreur verte est une espèce rustique originaire des eaux calmes et lentes d’Amérique du Sud. Connus pour leurs belles couleurs et leurs mauvaises attitudes, ils ajouteront beaucoup de couleur et de personnalité à n’importe quel aquarium.

Les Terreurs vertes sont souvent confondues avec leur parent moins agressif, le Blue Acara (Aequidens pulcher).

Aequidens pulcher

Les terreurs vertes ont une couleur de base beige avec des rayures verticales et foncées sur le corps et des marques bleu-vert irisées distinctives sur leurs opercules (couvertures branchiales) ainsi que des écailles bleu-vert irisées sur leurs flancs qui deviennent translucides à leurs nageoires.

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Andinoacara rivulatus – 4éme partie

Andinoacara rivulatus – Günther, 1860

INTRODUCTION

Attention avant de vous laisser charmer par les couleurs métalliques de ce très beau Cichlidé Américain. Le « Green Terror » rivulatus est un des plus beaux poissons avec une brillance métallique globale verte et bleue. Andinoacara rivulatus dit « la terreur verte », appelée précédemment Andinoacara rivulatus, est un poisson d’eau douce des plus coloré de la famille des cichlidés, ils ont une magnifique gamme de couleurs allant violet, rose, rouge et / ou bleu électrique…et finalement peu de vert !

Ces raisons en font que celui qu’on surnomme malgré tout « La terreur verte » est un poisson extrêmement populaire auprès de nombreux détenteurs de cichlidés en raison de sa grande coloration et de son apparence, mais malheureusement, il a aussi la mauvaise réputation d’être trop agressif envers ses autres compagnons de bac.

L’Andinoacara rivulatus avec sa taille maximale de 30 centimètres devra être maintenu dans un aquarium adapté à sa morphologie impressionnante et surtout son caractère bien trempé.

500 litres, c’est le volume minimum correct pour espérer offrir à cette espèce un bac à sa convenance et en particulier, si on souhaite le faire cohabiter avec d’autres cichlidés, il va falloir prévoir beaucoup plus grand !

Les mâles sont les plus colorés de cette espèce et développent une bordure rouge brillant sur leur nageoire caudale, mais les femelles sont également assez frappantes.

Ce poisson provient du côté Pacifique de l’Amérique du Sud, plus précisément de la rivière Tumbes au Pérou et jusqu’à la rivière Esmeraldas en Équateur.

Il est polymorphe et peut avoir une bordure blanche ou or-orange à la queue et aux nageoires dorsales. Il a été historiquement confondu avec deux autres espèces qui ont toujours une bordure blanche étroite et clairement définie, la plus distribuée vers le sud Aequidens stalsbergi (souvent considérée comme la « vraie » terreur verte) et Andinoacara blombergi plus au nord ou Andinoacara stalsbergi.

La terreur verte est une espèce rustique originaire des eaux calmes et lentes d’Amérique du Sud. Connus pour leurs belles couleurs et leurs mauvaises attitudes, ils ajouteront beaucoup de couleur et de personnalité à n’importe quel aquarium.

Les Terreurs vertes sont souvent confondues avec leur parent moins agressif, le Blue Acara (Aequidens pulcher).

Aequidens pulcher

Les terreurs vertes ont une couleur de base beige avec des rayures verticales et foncées sur le corps et des marques bleu-vert irisées distinctives sur leurs opercules (couvertures branchiales) ainsi que des écailles bleu-vert irisées sur leurs flancs qui deviennent translucides à leurs nageoires.

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Andinoacara rivulatus – 3éme partie

Andinoacara rivulatus – Günther, 1860

INTRODUCTION

Attention avant de vous laisser charmer par les couleurs métalliques de ce très beau Cichlidé Américain. Le « Green Terror » rivulatus est un des plus beaux poissons avec une brillance métallique globale verte et bleue. Andinoacara rivulatus dit « la terreur verte », appelée précédemment Andinoacara rivulatus, est un poisson d’eau douce des plus coloré de la famille des cichlidés, ils ont une magnifique gamme de couleurs allant violet, rose, rouge et / ou bleu électrique…et finalement peu de vert !

Ces raisons en font que celui qu’on surnomme malgré tout « La terreur verte » est un poisson extrêmement populaire auprès de nombreux détenteurs de cichlidés en raison de sa grande coloration et de son apparence, mais malheureusement, il a aussi la mauvaise réputation d’être trop agressif envers ses autres compagnons de bac.

L’Andinoacara rivulatus avec sa taille maximale de 30 centimètres devra être maintenu dans un aquarium adapté à sa morphologie impressionnante et surtout son caractère bien trempé.

500 litres, c’est le volume minimum correct pour espérer offrir à cette espèce un bac à sa convenance et en particulier, si on souhaite le faire cohabiter avec d’autres cichlidés, il va falloir prévoir beaucoup plus grand !

Les mâles sont les plus colorés de cette espèce et développent une bordure rouge brillant sur leur nageoire caudale, mais les femelles sont également assez frappantes.

Ce poisson provient du côté Pacifique de l’Amérique du Sud, plus précisément de la rivière Tumbes au Pérou et jusqu’à la rivière Esmeraldas en Équateur.

Il est polymorphe et peut avoir une bordure blanche ou or-orange à la queue et aux nageoires dorsales. Il a été historiquement confondu avec deux autres espèces qui ont toujours une bordure blanche étroite et clairement définie, la plus distribuée vers le sud Aequidens stalsbergi (souvent considérée comme la « vraie » terreur verte) et Andinoacara blombergi plus au nord ou Andinoacara stalsbergi.

La terreur verte est une espèce rustique originaire des eaux calmes et lentes d’Amérique du Sud. Connus pour leurs belles couleurs et leurs mauvaises attitudes, ils ajouteront beaucoup de couleur et de personnalité à n’importe quel aquarium.

Les Terreurs vertes sont souvent confondues avec leur parent moins agressif, le Blue Acara (Aequidens pulcher).

Aequidens pulcher

Les terreurs vertes ont une couleur de base beige avec des rayures verticales et foncées sur le corps et des marques bleu-vert irisées distinctives sur leurs opercules (couvertures branchiales) ainsi que des écailles bleu-vert irisées sur leurs flancs qui deviennent translucides à leurs nageoires.

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Andinoacara rivulatus – 2ème partie

Andinoacara rivulatus – Günther, 1860

INTRODUCTION

Attention avant de vous laisser charmer par les couleurs métalliques de ce très beau Cichlidé Américain. Le « Green Terror » rivulatus est un des plus beaux poissons avec une brillance métallique globale verte et bleue. Andinoacara rivulatus dit « la terreur verte », appelée précédemment Andinoacara rivulatus, est un poisson d’eau douce des plus coloré de la famille des cichlidés, ils ont une magnifique gamme de couleurs allant violet, rose, rouge et / ou bleu électrique…et finalement peu de vert !

Ces raisons en font que celui qu’on surnomme malgré tout « La terreur verte » est un poisson extrêmement populaire auprès de nombreux détenteurs de cichlidés en raison de sa grande coloration et de son apparence, mais malheureusement, il a aussi la mauvaise réputation d’être trop agressif envers ses autres compagnons de bac.

L’Andinoacara rivulatus avec sa taille maximale de 30 centimètres devra être maintenu dans un aquarium adapté à sa morphologie impressionnante et surtout son caractère bien trempé.

500 litres, c’est le volume minimum correct pour espérer offrir à cette espèce un bac à sa convenance et en particulier, si on souhaite le faire cohabiter avec d’autres cichlidés, il va falloir prévoir beaucoup plus grand !

Les mâles sont les plus colorés de cette espèce et développent une bordure rouge brillant sur leur nageoire caudale, mais les femelles sont également assez frappantes.

Ce poisson provient du côté Pacifique de l’Amérique du Sud, plus précisément de la rivière Tumbes au Pérou et jusqu’à la rivière Esmeraldas en Équateur.

Il est polymorphe et peut avoir une bordure blanche ou or-orange à la queue et aux nageoires dorsales. Il a été historiquement confondu avec deux autres espèces qui ont toujours une bordure blanche étroite et clairement définie, la plus distribuée vers le sud Aequidens stalsbergi (souvent considérée comme la « vraie » terreur verte) et Andinoacara blombergi plus au nord ou Andinoacara stalsbergi.

La terreur verte est une espèce rustique originaire des eaux calmes et lentes d’Amérique du Sud. Connus pour leurs belles couleurs et leurs mauvaises attitudes, ils ajouteront beaucoup de couleur et de personnalité à n’importe quel aquarium.

Les Terreurs vertes sont souvent confondues avec leur parent moins agressif, le Blue Acara (Aequidens pulcher).

Aequidens pulcher

Les terreurs vertes ont une couleur de base beige avec des rayures verticales et foncées sur le corps et des marques bleu-vert irisées distinctives sur leurs opercules (couvertures branchiales) ainsi que des écailles bleu-vert irisées sur leurs flancs qui deviennent translucides à leurs nageoires.

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