Gymnogeophagus balzanii – 1ère partie
Gymnogeophagus balzanii – PERUGIA, 1891

Avec plus de 2400 espèces décrites et une distribution mondiale répartie dans toute l’Afrique, l’Asie et les Néotropiques, la famille des Cichlidae fait partie du groupe le plus diversifié du monde des vertébrés.
Au sein de cette grande famille si riche, il existe un groupe de poissons, les Gymnogeophagus sont des cichlidés très colorés et affublés du nom de « Eartheaters », des poissons spécialisés sur le plan écologique et comportemental.
Ce nom pas très flatteur de «Eartheaters» se rapporte à l’habitude qu’ont ces poissons de prendre constamment des bouchées du substrat et d’en tamiser dans leur bouche le contenu à la recherche de nourriture.
Les Eartheaters « Gymnogeophagus » appartiennent à une sous-famille de cichlidés néotropicaux nommés Geophaginae.
Les Gymnogeophagus ont l’une des distributions les plus méridionales parmi les cichlidés des Néotropiques.
D’autre part, il existe plusieurs formes de couleurs disponibles, en fonction de la localité.

Dans les biotopes où ils sont capturés, on les rencontre souvent en présence de Crenicichla, d’autres espèces de Geophagus, d’Apistogramma…
Les Gymnogeophagus se distinguent des autres cichlidés par des différences ostéologiques: ils possèdent une colonne vertébrale dirigée vers l’avant au-dessus du premier ptérygophore dorsal (support osseux de la nageoire dorsale).
Les Gymnogeophagus sont une espèce très intéressante de cichlidé particulièrement intéressante en aquariophilie, en particulier pour l’aquariophile qui sera capable de fournir les conditions spécifiques de maintenance de cette espèce pour sa santé à long terme.
La maintenance de ce type de poisson en fait malheureusement une pratique peu recommandée pour l’aquariophile débutant car pour assurer une certaine longévité à ces poissons que sont les Gymnogeophagus balzanii, il faudra peut être bousculer les habitudes aquariophiles et envisager une maintenance en aquarium à la maison, peut-être en extérieur, qui sait même dans un étang de jardin qui peut être occupé par ces poissons tropicaux pendant la période estivale.
Les Gymnogéophagus ne font pas partie de ces cichlidés que l’on trouve souvent dans les aquariums amateurs.

C’est probablement dû au fait que ces « mangeurs de terre », pour être pleinement heureux, ont besoin d’une baisse périodique de la température de l’aquarium, ce qui est directement lié à l’environnement naturel dont ils proviennent.
Cependant, ces poissons, pour ceux qui en prendront bien soin, seront récompensés par de belles couleurs, des comportements intéressants et la volonté de se reproduire.
Dans ces conditions, la maintenance de Gymnogeophagus balzanii en fait le poisson idéal pour vous.

Satanoperca pappaterra – 3éme partie
Satanoperca pappaterra – HECKEL 1840

Une façon de se nourrir pour le moins caractéristique, une apparence frappante, un comportement en de nombreux points remarquable et une reproduction pour le moins intéressante…
C’est ainsi et avec ces quelques mots, que l’on définit et caractérise le mieux ces cichlidés appartenant au genre Satanoperca, qui, malheureusement ne sont pas des cichlidés les plus populaires dans en aquariophilie, mais pourtant ils mériteraient bien une attention plus soutenue de la part des aquariophiles pour leurs beauté et leur particularités qui seront évoquées dans cet article.
Pour commencer, il faut savoir que les Eartheaters sont répandus partout en Amérique du Sud.
Six genres composent ce groupe très riche en diversité :
- Les Acarichthys dans les rivières de l’Amazonie et Essequibo bassins ;
- Les Biotodoma de l’Amazone et l’Orénoque et des bassins versants des fleuves côtiers des Guyanes ;
- Les Geophagus répandus dans quatre bassins de grands fleuves ;
- Les Gymnogeophagus du bassin versant du Rio Parana ;
- Les Retroculus issus des rivières rapides de Guyanes françaises et les bras de l’Amazone ;
- Les Satanoperca de l’Amazone et l’Orénoque des bassins versants, et de la Guyane.
Les Satanoperca pappaterra appartiennent donc aux cichlidés d’Amérique du Sud, et sont trouvés dans les bassins fluviaux de l’Orénoque, de l’Essequibo, de la Nickerie, de l’Amazone et du Paraná – Paraguay.
Ils se trouvent principalement dans les zones avec des eaux lentes, mais certaines espèces ont également été enregistrées à partir de rapides.

Ils font partie d’un groupe populairement connu sous le nom de « Eartheaters » car ils se nourrissent en ramassant des bouchées de sable pour tamiser des aliments tels que des invertébrés, des matières végétales et des détritus (la seule exception est l’alimentation en milieu aquatique de Satanoperca acuticeps).
C’est une espèce endémique du bassin amazonien (Rio Guaporé) et du haut Paraguay qui pratique la couvaison buccale retardée.
Les Satanoperca se nourrissent souvent en petits groupes et un individu peut agir et se défendre de façon organisée avec un gardien, qui chargera sans hésiter un piranha approchant avec sa bouche ouverte et ses nageoires dressées.
Dans la nature, certains poissons sont plus communs que d’autres.
Ainsi, par exemple, entre autres Satanoperca, Satanoperca daemon est très commun dans la plupart des ruisseaux sous la rivière Apure au Venezuela.
Les habitants les appellent « Horse Face » ou « Aspira Terra ».
Satanoperca pappaterra est communément connu sous le nom de « Pantanal eartheater » et localement connu sous le nom de « cará » ou « acará ».
Dans le bassin amazonien, cette espèce coexiste avec quatre autres espèces du même genre :
- Satanoperca acuticeps (HECKEL, 1840),
- Satanoperca daemon (HECKEL, 1840),
- Satanoperca jurupari (HECKEL, 1840),
- Satanoperca lilith (KULLANDER & FERREIRA, 1988)
Enfin, il faut le reconnaitre, ce Satanoperca papaterra est tout simplement magnifique.

Ils sont l’exemple vivant de la façon dont la morphologie et le comportement des poissons s’adaptent pour exploiter des niches biologiques particulières et coloniser avec succès des zones spécifiques de cours d’eau; dans leur cas, le fond des cours d’eau.

Satanoperca pappaterra – 2éme partie
Satanoperca pappaterra – HECKEL 1840

Une façon de se nourrir pour le moins caractéristique, une apparence frappante, un comportement en de nombreux points remarquable et une reproduction pour le moins intéressante…
C’est ainsi et avec ces quelques mots, que l’on définit et caractérise le mieux ces cichlidés appartenant au genre Satanoperca, qui, malheureusement ne sont pas des cichlidés les plus populaires dans en aquariophilie, mais pourtant ils mériteraient bien une attention plus soutenue de la part des aquariophiles pour leurs beauté et leur particularités qui seront évoquées dans cet article.
Pour commencer, il faut savoir que les Eartheaters sont répandus partout en Amérique du Sud.
Six genres composent ce groupe très riche en diversité :
- Les Acarichthys dans les rivières de l’Amazonie et Essequibo bassins ;
- Les Biotodoma de l’Amazone et l’Orénoque et des bassins versants des fleuves côtiers des Guyanes ;
- Les Geophagus répandus dans quatre bassins de grands fleuves ;
- Les Gymnogeophagus du bassin versant du Rio Parana ;
- Les Retroculus issus des rivières rapides de Guyanes françaises et les bras de l’Amazone ;
- Les Satanoperca de l’Amazone et l’Orénoque des bassins versants, et de la Guyane.
Les Satanoperca pappaterra appartiennent donc aux cichlidés d’Amérique du Sud, et sont trouvés dans les bassins fluviaux de l’Orénoque, de l’Essequibo, de la Nickerie, de l’Amazone et du Paraná – Paraguay.
Ils se trouvent principalement dans les zones avec des eaux lentes, mais certaines espèces ont également été enregistrées à partir de rapides.

Ils font partie d’un groupe populairement connu sous le nom de « Eartheaters » car ils se nourrissent en ramassant des bouchées de sable pour tamiser des aliments tels que des invertébrés, des matières végétales et des détritus (la seule exception est l’alimentation en milieu aquatique de Satanoperca acuticeps).
C’est une espèce endémique du bassin amazonien (Rio Guaporé) et du haut Paraguay qui pratique la couvaison buccale retardée.
Les Satanoperca se nourrissent souvent en petits groupes et un individu peut agir et se défendre de façon organisée avec un gardien, qui chargera sans hésiter un piranha approchant avec sa bouche ouverte et ses nageoires dressées.
Dans la nature, certains poissons sont plus communs que d’autres.
Ainsi, par exemple, entre autres Satanoperca, Satanoperca daemon est très commun dans la plupart des ruisseaux sous la rivière Apure au Venezuela.
Les habitants les appellent « Horse Face » ou « Aspira Terra ».
Satanoperca pappaterra est communément connu sous le nom de « Pantanal eartheater » et localement connu sous le nom de « cará » ou « acará ».
Dans le bassin amazonien, cette espèce coexiste avec quatre autres espèces du même genre :
- Satanoperca acuticeps (HECKEL, 1840),
- Satanoperca daemon (HECKEL, 1840),
- Satanoperca jurupari (HECKEL, 1840),
- Satanoperca lilith (KULLANDER & FERREIRA, 1988)
Enfin, il faut le reconnaitre, ce Satanoperca papaterra est tout simplement magnifique.

Ils sont l’exemple vivant de la façon dont la morphologie et le comportement des poissons s’adaptent pour exploiter des niches biologiques particulières et coloniser avec succès des zones spécifiques de cours d’eau; dans leur cas, le fond des cours d’eau.

Satanoperca pappaterra – 1ère partie
Satanoperca pappaterra – HECKEL 1840

Une façon de se nourrir pour le moins caractéristique, une apparence frappante, un comportement en de nombreux points remarquable et une reproduction pour le moins intéressante…
C’est ainsi et avec ces quelques mots, que l’on définit et caractérise le mieux ces cichlidés appartenant au genre Satanoperca, qui, malheureusement ne sont pas des cichlidés les plus populaires dans en aquariophilie, mais pourtant ils mériteraient bien une attention plus soutenue de la part des aquariophiles pour leurs beauté et leur particularités qui seront évoquées dans cet article.
Pour commencer, il faut savoir que les Eartheaters sont répandus partout en Amérique du Sud.
Six genres composent ce groupe très riche en diversité :
- Les Acarichthys dans les rivières de l’Amazonie et Essequibo bassins ;
- Les Biotodoma de l’Amazone et l’Orénoque et des bassins versants des fleuves côtiers des Guyanes ;
- Les Geophagus répandus dans quatre bassins de grands fleuves ;
- Les Gymnogeophagus du bassin versant du Rio Parana ;
- Les Retroculus issus des rivières rapides de Guyanes françaises et les bras de l’Amazone ;
- Les Satanoperca de l’Amazone et l’Orénoque des bassins versants, et de la Guyane.
Les Satanoperca pappaterra appartiennent donc aux cichlidés d’Amérique du Sud, et sont trouvés dans les bassins fluviaux de l’Orénoque, de l’Essequibo, de la Nickerie, de l’Amazone et du Paraná – Paraguay.
Ils se trouvent principalement dans les zones avec des eaux lentes, mais certaines espèces ont également été enregistrées à partir de rapides.

Ils font partie d’un groupe populairement connu sous le nom de « Eartheaters » car ils se nourrissent en ramassant des bouchées de sable pour tamiser des aliments tels que des invertébrés, des matières végétales et des détritus (la seule exception est l’alimentation en milieu aquatique de Satanoperca acuticeps).
C’est une espèce endémique du bassin amazonien (Rio Guaporé) et du haut Paraguay qui pratique la couvaison buccale retardée.
Les Satanoperca se nourrissent souvent en petits groupes et un individu peut agir et se défendre de façon organisée avec un gardien, qui chargera sans hésiter un piranha approchant avec sa bouche ouverte et ses nageoires dressées.
Dans la nature, certains poissons sont plus communs que d’autres.
Ainsi, par exemple, entre autres Satanoperca, Satanoperca daemon est très commun dans la plupart des ruisseaux sous la rivière Apure au Venezuela.
Les habitants les appellent « Horse Face » ou « Aspira Terra ».
Satanoperca pappaterra est communément connu sous le nom de « Pantanal eartheater » et localement connu sous le nom de « cará » ou « acará ».
Dans le bassin amazonien, cette espèce coexiste avec quatre autres espèces du même genre :
- Satanoperca acuticeps (HECKEL, 1840),
- Satanoperca daemon (HECKEL, 1840),
- Satanoperca jurupari (HECKEL, 1840),
- Satanoperca lilith (KULLANDER & FERREIRA, 1988)
Enfin, il faut le reconnaitre, ce Satanoperca papaterra est tout simplement magnifique.

Ils sont l’exemple vivant de la façon dont la morphologie et le comportement des poissons s’adaptent pour exploiter des niches biologiques particulières et coloniser avec succès des zones spécifiques de cours d’eau; dans leur cas, le fond des cours d’eau.
Cribroheros rostratus – 2éme partie
Cribroheros rostratus – GILL, 1877

Cribroheros rostratus est une espèce endémique de l’Amérique centrale, qui ne se rencontre nulle part ailleurs.
Ce magnifique cichlidé originaire d’Amérique centrale est assez peu connu et présent dans nos aquariums pourtant il offre mille facettes intéressantes.

En effet, son comportement et son allure sont assez similaires aux « eartheaters » que sont les Géophagus d’Amérique du sud : il conjugue les spécificités des cichlidés d’Amérique centrale et de ceux d’Amérique du sud et peut vire dans un grand bac accompagné de gros cichlidés tels que des Parachromis dovii !

Cribroheros rostratus – 1ére partie
Cribroheros rostratus – GILL, 1877

Cribroheros rostratus est une espèce endémique de l’Amérique centrale, qui ne se rencontre nulle part ailleurs.
Ce magnifique cichlidé originaire d’Amérique centrale est assez peu connu et tout aussi peu présent dans nos aquariums pourtant il offre mille facettes intéressantes.

En effet, son comportement et son allure sont assez similaires aux « eartheaters » que sont les Géophagus d’Amérique du sud : il conjugue les spécificités des cichlidés d’Amérique centrale et de ceux d’Amérique du sud et peut vire dans un grand bac accompagné de gros cichlidés tels que des Parachromis dovii !
Cleithracara maronii – 2éme partie
Cleithracara maronii – STEINDACHNER, 1881

L’Acara maronii ou plus exactement Cleithracara maronii est un petit cichlidé d’eau douce d’Amérique du Sud, natif du bassin inférieur du fleuve Orénoque au Venezuela et dans les bassins fluviaux des Guyanes.
Le nom scientifique de genre provient d’ailleurs du grec « Kleithron » signifiant « serrure ».

Cleithracara maronii fait partie des quelques rares Cichlidés français puisqu’on le trouve en Guyane.
Malgré une coloration relativement terne, il a longtemps fait partie des espèces les plus maintenues en aquarium.
Aujourd’hui, malgré le constat de voir qu’il est un peu oublié, on trouve néanmoins de jolies souches qui souvent ont fait leur réapparition dans les milieux spécialisés grâce à des prélèvements faits par des passionnés, directement dans les lieux où il est présent.

Cleithracara maronii – 1ère partie
Cleithracara maronii – STEINDACHNER, 1881

L’Acara maronii ou plus exactement Cleithracara maronii est un petit cichlidé d’eau douce d’Amérique du Sud, natif du bassin inférieur du fleuve Orénoque au Venezuela et dans les bassins fluviaux des Guyanes.
Le nom scientifique de genre provient d’ailleurs du grec « Kleithron » signifiant « serrure ».

Cleithracara maronii fait partie des quelques rares Cichlidés français puisqu’on le trouve en Guyane.
Malgré une coloration relativement terne, il a longtemps fait partie des espèces les plus maintenues en aquarium.
Aujourd’hui, malgré le constat de voir qu’il est un peu oublié, on trouve néanmoins de jolies souches qui souvent ont fait leur réapparition dans les milieux spécialisés grâce à des prélèvements faits par des passionnés, directement dans les lieux où il est présent.
Nannacara anomala – 2éme partie
NANNACARA ANOMALA – REGAN, 1905
Voici un poisson qui mérite sa place dans tout bac consacré à l’Amérique du Sud et autant le dire de suite, on est en présence d’un magnifique petit cichlidé sud-américain avec des écailles aux couleurs changeantes.
Mais qui croirait en les voyant séparément que mâle et femelle forment un couple, tant leur forme et couleurs sont différentes.
Si ce petit cichlidé est un véritable petit joyau grâce à ses couleurs, son comportement est aussi exceptionnel et atypique.

Malheureusement, comme beaucoup de cichlidés américains, Nannacara anomala n’est pas très connu dans le monde de l’aquariophilie.
Cette relative rareté injustifiée s’explique uniquement par ce qu’il est peu présent dans les bacs des animaleries traditionnelles.
On ne peut que conseiller de se rapprocher d’un bon site spécialisé dans la vente de cichlidés, car il possède toutes les caractéristiques pour être le choix idéal pour faire ses premières armes avec ce genre de poisson.
Il possède tous les critères justifiant sa maintenance : Il est donc beau, sa maintenance est facile et il est assez territorial pour avoir un comportement intéressant mais sans excès rendant une cohabitation possible avec de nombreuses espèces paisibles.

Nannacara anomala mérite véritablement d’être présenté au sein d’un bac d’ensemble amazonien qui en sera son écrin !
Ce poisson mérite vraiment qu’on s’y attache, son observation étant une des plus captivante qui soit tant son comportement est intéressant.

Nannacara anomala – 1ère partie
NANNACARA ANOMALA – REGAN, 1905
Voici un poisson qui mérite sa place dans tout bac consacré à l’Amérique du Sud et autant le dire de suite, on est en présence d’un magnifique petit cichlidé sud-américain avec des écailles aux couleurs changeantes.
Mais qui croirait en les voyant séparément que mâle et femelle forment un couple, tant leur forme et couleurs sont différentes.
Si ce petit cichlidé est un véritable petit joyau grâce à ses couleurs, son comportement est aussi exceptionnel et atypique.

Malheureusement, comme beaucoup de cichlidés américains, Nannacara anomala n’est pas très connu dans le monde de l’aquariophilie.
Cette relative rareté injustifiée s’explique uniquement par ce qu’il est peu présent dans les bacs des animaleries traditionnelles.
On ne peut que conseiller de se rapprocher d’un bon site spécialisé dans la vente de cichlidés, car il possède toutes les caractéristiques pour être le choix idéal pour faire ses premières armes avec ce genre de poisson.
Il possède tous les critères justifiant sa maintenance : Il est donc beau, sa maintenance est facile et il est assez territorial pour avoir un comportement intéressant mais sans excès rendant une cohabitation possible avec de nombreuses espèces paisibles.

Nannacara anomala mérite véritablement d’être présenté au sein d’un bac d’ensemble amazonien qui en sera son écrin !
Ce poisson mérite vraiment qu’on s’y attache, son observation étant une des plus captivante qui soit tant son comportement est intéressant.
Uaru amphiacanthoides – 3éme partie
Citation
Uaru amphiacanthoides – HECKEL, 1840
Uaru amphiacanthoides, ou « Discus du pauvre » selon le surnom qui lui a longtemps été donné est un cichlidés d’Amérique du sud, faisant partie du groupe des grands cichlidés amazoniens.
Si on le surnomme ainsi, c’est qu’il a les mêmes besoins que le Discus notamment en qualité d’eau, d’environnement, de température qui devra être assez élevée dans le bac.
Tout au long des années 1960 et 1970, lorsque seuls les Discus sauvages étaient disponibles et généralement vendus pour des sommes d’argent exorbitantes, Le Uaru (prononcez « wouarou ») ou « triangle cichlid » était souvent appelé le « Discus du pauvre ».
En effet, ils étaient facilement disponibles comme juvéniles et subadultes à des prix plusieurs fois inférieurs aux prix des Discus sauvages, et, en outre, leur morphologie et leurs habitudes rappelaient celles des Discus.
Aujourd’hui, avec la prolifération des écloseries de Discus et le l’énorme quantité d’individus élevés en captivité à des prix raisonnables, il semblerait que le Discus, pourrait, à son tour être nommé plus correctement « Uaru du pauvre ».
Uaru amphiacanthoides est pourtant un poisson peu répandu et présent chez les aquariophiles, il est très intelligent mais nécessite une certaine expérience aquariophile pour sa maintenance et sa reproduction.
L’Uaru est un poisson de belle taille pouvant atteindre les 25 centimètres.
Il peut être maintenu en couple ou en groupe, dans un aquarium de taille relativement conséquente !
Il a beau être grand, et impressionnant, c’est un doux géant, avec une forte tendance à être herbivore, sans pour autant interdire sa maintenance dans un bac planté.
La reproduction d’Uaru amphiacanthoides n’est pas aisée, pas seulement en raison du fait que l’on des difficultés à distinguer mâle et femelle.
C’est un poisson très intelligent, interactif qui ravit sans exception tous ses propriétaires.
Uaru amphiacanthoides n’est pas le poisson à confier à un débutant, il peut être un poisson difficile à garder et il est préférable de le garder par quelqu’un avec une certaine expérience.
Les Uaru amphiacanthoides peuvent être des poissons capricieux et ne tolèrent pas les grandes fluctuations de leurs conditions d’eau et de la chimie de celle-ci.
A savoir qu’ils réagissent parfois violement au stress.
Dans tous les cas, leur propriétaire devra être en mesure de réagir de manière appropriée et rapide aux changements des conditions de l’eau et de maintenir un calendrier de nettoyage strict et fréquent.
Ces poissons ne sont pas particulièrement agressifs ce qui leur permet d’être maintenus dans un aquarium communautaire avec d’autres cichlidés d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud. En revanche, il faudra éviter de leur adjoindre des partenaires de trop petites tailles
Il faudra aussi prendre la précaution de les conserver groupes d’au moins deux cichlidés Uaru et ne maintenir d’individu seul car il déprimerait puis décéderait.
L’Uaru, est bien connu, le voir évoluer dans un aquarium reconstituant son biotope d’origine est un spectacle rare dans le monde de l’aquariophilie.
Ce résultat n’est pas seulement dû à sa belle apparence ou à sa nature paisible, c’est un poisson imposant et majestueux !
Maintenir des Uaru est très exigeant et malheureusement pas adapté aux débutants, en outre, il ne faudra pas oublier que Uaru a également besoin d’un grand aquarium.

Uaru amphiacanthoides – 2éme partie
Citation
Uaru amphiacanthoides – HECKEL, 1840
Uaru amphiacanthoides, ou « Discus du pauvre » selon le surnom qui lui a longtemps été donné est un cichlidés d’Amérique du sud, faisant partie du groupe des grands cichlidés amazoniens.
Si on le surnomme ainsi, c’est qu’il a les mêmes besoins que le Discus notamment en qualité d’eau, d’environnement, de température qui devra être assez élevée dans le bac.
Tout au long des années 1960 et 1970, lorsque seuls les Discus sauvages étaient disponibles et généralement vendus pour des sommes d’argent exorbitantes, Le Uaru (prononcez « wouarou ») ou « triangle cichlid » était souvent appelé le « Discus du pauvre ».
En effet, ils étaient facilement disponibles comme juvéniles et subadultes à des prix plusieurs fois inférieurs aux prix des Discus sauvages, et, en outre, leur morphologie et leurs habitudes rappelaient celles des Discus.
Aujourd’hui, avec la prolifération des écloseries de Discus et le l’énorme quantité d’individus élevés en captivité à des prix raisonnables, il semblerait que le Discus, pourrait, à son tour être nommé plus correctement « Uaru du pauvre ».
Uaru amphiacanthoides est pourtant un poisson peu répandu et présent chez les aquariophiles, il est très intelligent mais nécessite une certaine expérience aquariophile pour sa maintenance et sa reproduction.
L’Uaru est un poisson de belle taille pouvant atteindre les 25 centimètres.
Il peut être maintenu en couple ou en groupe, dans un aquarium de taille relativement conséquente !
Il a beau être grand, et impressionnant, c’est un doux géant, avec une forte tendance à être herbivore, sans pour autant interdire sa maintenance dans un bac planté.
La reproduction d’Uaru amphiacanthoides n’est pas aisée, pas seulement en raison du fait que l’on des difficultés à distinguer mâle et femelle.
C’est un poisson très intelligent, interactif qui ravit sans exception tous ses propriétaires.
Uaru amphiacanthoides n’est pas le poisson à confier à un débutant, il peut être un poisson difficile à garder et il est préférable de le garder par quelqu’un avec une certaine expérience.
Les Uaru amphiacanthoides peuvent être des poissons capricieux et ne tolèrent pas les grandes fluctuations de leurs conditions d’eau et de la chimie de celle-ci.
A savoir qu’ils réagissent parfois violement au stress.
Dans tous les cas, leur propriétaire devra être en mesure de réagir de manière appropriée et rapide aux changements des conditions de l’eau et de maintenir un calendrier de nettoyage strict et fréquent.
Ces poissons ne sont pas particulièrement agressifs ce qui leur permet d’être maintenus dans un aquarium communautaire avec d’autres cichlidés d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud. En revanche, il faudra éviter de leur adjoindre des partenaires de trop petites tailles
Il faudra aussi prendre la précaution de les conserver groupes d’au moins deux cichlidés Uaru et ne maintenir d’individu seul car il déprimerait puis décéderait.
L’Uaru, est bien connu, le voir évoluer dans un aquarium reconstituant son biotope d’origine est un spectacle rare dans le monde de l’aquariophilie.
Ce résultat n’est pas seulement dû à sa belle apparence ou à sa nature paisible, c’est un poisson imposant et majestueux !
Maintenir des Uaru est très exigeant et malheureusement pas adapté aux débutants, en outre, il ne faudra pas oublier que Uaru a également besoin d’un grand aquarium.

Uaru amphiacanthoides -1ére partie
Citation
Uaru amphiacanthoides – HECKEL, 1840
Uaru amphiacanthoides, ou « Discus du pauvre » selon le surnom qui lui a longtemps été donné est un cichlidés d’Amérique du sud, faisant partie du groupe des grands cichlidés amazoniens.
Si on le surnomme ainsi, c’est qu’il a les mêmes besoins que le Discus notamment en qualité d’eau, d’environnement, de température qui devra être assez élevée dans le bac.
Tout au long des années 1960 et 1970, lorsque seuls les Discus sauvages étaient disponibles et généralement vendus pour des sommes d’argent exorbitantes, Le Uaru (prononcez « wouarou ») ou « triangle cichlid » était souvent appelé le « Discus du pauvre ».
En effet, ils étaient facilement disponibles comme juvéniles et subadultes à des prix plusieurs fois inférieurs aux prix des Discus sauvages, et, en outre, leur morphologie et leurs habitudes rappelaient celles des Discus.
Aujourd’hui, avec la prolifération des écloseries de Discus et le l’énorme quantité d’individus élevés en captivité à des prix raisonnables, il semblerait que le Discus, pourrait, à son tour être nommé plus correctement « Uaru du pauvre ».
Uaru amphiacanthoides est pourtant un poisson peu répandu et présent chez les aquariophiles, il est très intelligent mais nécessite une certaine expérience aquariophile pour sa maintenance et sa reproduction.
L’Uaru est un poisson de belle taille pouvant atteindre les 25 centimètres.
Il peut être maintenu en couple ou en groupe, dans un aquarium de taille relativement conséquente !
Il a beau être grand, et impressionnant, c’est un doux géant, avec une forte tendance à être herbivore, sans pour autant interdire sa maintenance dans un bac planté.
La reproduction d’Uaru amphiacanthoides n’est pas aisée, pas seulement en raison du fait que l’on des difficultés à distinguer mâle et femelle.
C’est un poisson très intelligent, interactif qui ravit sans exception tous ses propriétaires.
Uaru amphiacanthoides n’est pas le poisson à confier à un débutant, il peut être un poisson difficile à garder et il est préférable de le garder par quelqu’un avec une certaine expérience.
Les Uaru amphiacanthoides peuvent être des poissons capricieux et ne tolèrent pas les grandes fluctuations de leurs conditions d’eau et de la chimie de celle-ci.
A savoir qu’ils réagissent parfois violement au stress.
Dans tous les cas, leur propriétaire devra être en mesure de réagir de manière appropriée et rapide aux changements des conditions de l’eau et de maintenir un calendrier de nettoyage strict et fréquent.
Ces poissons ne sont pas particulièrement agressifs ce qui leur permet d’être maintenus dans un aquarium communautaire avec d’autres cichlidés d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud. En revanche, il faudra éviter de leur adjoindre des partenaires de trop petites tailles
Il faudra aussi prendre la précaution de les conserver groupes d’au moins deux cichlidés Uaru et ne maintenir d’individu seul car il déprimerait puis décéderait.
L’Uaru, est bien connu, le voir évoluer dans un aquarium reconstituant son biotope d’origine est un spectacle rare dans le monde de l’aquariophilie.
Ce résultat n’est pas seulement dû à sa belle apparence ou à sa nature paisible, c’est un poisson imposant et majestueux !
Maintenir des Uaru est très exigeant et malheureusement pas adapté aux débutants, en outre, il ne faudra pas oublier que Uaru a également besoin d’un grand aquarium.
Guianacara geayi
GUIANACARA GEAYI – PELLEGRIN, 1902
Les Cichlidés du genre Guianacara sont des poissons originaires des rivières d’eau douce du nord-est de l’Amérique du Sud, notamment dans les Guyanes pour désigner l’aire de répartition principale.

Le genre Guianacara a été séparé du genre Acarichthys en 2010.
Le genre Guianacara appartient à la famille des Cichlidae (cichlidés).
Ils sont originaires du nord-est de l’Amérique du Sud.
Les espèces de Guianacara sont de taille petite à moyenne, mesurant jusqu’à 20 centimètres de long, mais restant généralement plus petites.
C’est un cichlidé à croissance moyenne, trouvé dans les eaux douces et acides de la Guyane et du Suriname, surnommé le « cichlidé Bandit » ou « Geayi Cichlid » et qui doit son nom à la bande distincte couvrant les deux yeux.
Dans l’aquarium, ce sont des poissons actifs et intéressants qui tamisent souvent le sable à travers leurs branchies comme un terrassier et réorganisent le décor comme des plantes ou de la litière de feuilles.
Ils sont quelque peu agressifs malgré leur taille adulte relativement petite et se maintiendront généralement avec des cichlidés modérés à agressifs similaires ou plus grands.
Les bandits cichlidés s’entendront généralement en groupes de cinq ou plus tant que suffisamment d’espace pour les territoires et la structure sous forme de bois flotté, de grottes et de plantes est fourni.
Ce sont des poissons d’aquarium robustes et divertissants qui s’adapteront à la plupart des conditions de maintenance qui leur seront offertes des l’instant qu’elle sont correctes et restent dans une fourchette de valeur fixées.
Enfin, c’est un cichlidé sud-américain français !





