Rocio spinosissima – Article n°1 (Répartition & Taxonomie)

Rocio spinosissima – VAILLANT & PELLEGRIN, 1902

Comme la plupart des cichlidés, les Rocio spinosissima sont injustement réputés pour leur nature agressive, mais quand ils rejoignent un aquarium adapté à leurs besoins, ils ne sont pas aussi hostiles que certaines des espèces les plus agressives.

Ces cichlidés de petite à moyenne taille sont désignés sous quelques noms communs tels que « Spiny cichlid », « Spinner cichlid » ou encore « Spinos cichlid », traduction française de « cichlidé épineux » mais ce sont les mêmes poissons dont le nom latin  a été longtemps « Archocentrus spinosissimus », aujourd’hui Rocio spinosissima qui présentent une gamme de coloration variant du gris au noir avec des marques violettes.

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REPARTITION

DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE

Rocio est un genre de cichlidés d’Amérique centrale que l’on trouve exclusivement dans les rivières et les lacs du côté des Caraïbes, de la ville mexicaine de Veracruz au Honduras au sud.

Le genre Rocio a une vaste aire de répartition dans les bassins versants atlantiques de l’Amérique centrale couvrant toute la province ichtyologique d’Usumacinta entre la rivière Actopán au nord de Veracruz et le bassin inférieur d’Ulua (Honduras) et comprenant la majeure partie de la péninsule du Yucatán.

Rocio spinosissima est un cichlidé qui vit dans une région au climat tropical, c’est-à-dire avec des températures comprises entre 26°C et 28°C de température.

On trouve ce poisson sur le versant atlantique de l’Amérique centrale, plus particulièrement dans le bassin du lac Izabal, mais aussi dans les rivières qui s’y jettent en amont et en aval :

  • Rio Polochic ;
  • Rio Cahabon ;
  • Rio Dulce.

Lac Izabal

Le Lac Izabal (« Lago de Izabal », également connu comme « Golfo Dulce »), est le plus grand lac du Guatemala.

Le Lac Izabal est situé à une trentaine de kilomètres de la mer des Caraïbes dans laquelle il se jette au travers du Rio Dulce.

Le Lac Izabal a donné son nom au département d’Izabal.

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Le lac Izabal a une superficie de 589,6 km2, et sa profondeur maximale est de 18 mètres.

 

Rio Dulce

Situé dans le nord-est du Guatemala, le Rio Dulce est un petit paradis entouré de forêts tropicales.

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Ce cours d’eau nait dans le lac Izabal, traverse le lac Golfo Dulce et se jette dans la chaude mer des Caraïbes.

Ce lieu d’une incroyable beauté, la porte d’entrée de la côte caribéenne, en effet le canyon du Rio Dulce possède des paysages époustouflants !

 

Rio Polochic

La rivière Polochic est une rivière du Guatemala, qui prend sa source dans le département d’Alta Verapaz dans les montagnes de la municipalité de Tactic, Alta Verapaz et se jette dans Izabal, plus précisément dans le lac Izabal.

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Le Rio Polochic est le principal affluent du Lac Izabal.

Il occupe une superficie de 2 811 kilomètres et appartient au bassin du versant caraïbe.

C’est le quatrième plus grand fleuve du pays, avec une longueur de 193,65 kilomètres et son débit est de 69,3 mètres cubes par seconde (HAEUSSLER, 1983).

 

Rio Cahabon

Le Río Cahabón (rivière Cahabón) est une rivière de 196 kilomètres de longueur située dans l’est du Guatemala.

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De ses sources dans la chaîne de la Sierra de las Minas à Baja Verapaz, il tourne vers le nord puis vers l’est dans Alta Verapaz, traversant Santa Cruz Verapaz, Tactic, Cobán, San Pedro Carchá, Semuc Champey et Santa María Cahabón en dessous duquel il rejoint le plus petit Polochic.

MILIEU NATUREL & HABITAT & BIOTOPE

On les trouve dans les plaines inondables marécageuses des rivières et des lacs aux eaux chaudes et sombres.

Les habitats des cichlidés sont des zones densément envahies par la végétation.

Rocio spinosissima habite les eaux calmes ou à faible débit dans les zones riveraines peu profondes, les marécages et les plaines inondables.

Rocio spinosissima préfère les eaux stagnantes ou à écoulement lent, peu profondes avec un fond vaseux, des plantes aquatiques, des algues et des feuilles mortes, les endroits dont le fond du cours d’eau est recouvert de bois, de pierres et d’une végétation très souvent éparse.

Dans ces cours d’eau, Rocio spinosissima peut y trouver sa nourriture car il se nourrit d’algues, de détritus, de petits crustacés, de larves d’insectes et d’invertébrés aquatiques et de poissons.

Les Rocio spinosissima préfèrent le fond sablo-caillouteux des rivières et des lacs calmes.

 

TAXONOMIE

HISTORIQUE

Les particularités

PELLEGRIN (1904) considérait que l’espèce « présente tout à fait l’aspect d’Herotilapia multispinosa […] elle n’est pas éloignée de Amatitlania nigrofasciatum […] et de Cryptoheros centrarchus … »

« Cichlasoma spinosissimum » variété immaculata – PELLEGRIN (1904), qui est sympatrique avec « Archocentrus spinosissimus » (et avec « Cryptoheros spilurus ») se rencontre dans le Río Polochic.

Ce cichlidé a été longtemps considéré comme une espèce valide par REGAN (1905) et MILLER (1966), principalement parce que cette espèce n’a pas de taches sur les nageoires et a jusqu’à 19 épines de la nageoire dorsale, relativement peu d’ épines au niveau de la nageoire anale (9) et jusqu’à 29 écailles au niveau de la ligne latérale.

Rocio octofasciata a déjà été inclus dans les sections Parapetenia (REGAN, 1905), sur la base de la dentition, ou Archocentrus (REGAN, 1906), sur la base de son nombre élevé d’épines anales.

Comme dans le cas d’Herotilapia, cette espèce n’avait jamais été identifiée comme apparentée à Archocentrus.

Cette espèce présente de nombreuses caractéristiques morphologiques uniques et méritait un statut générique bien distinct.

PELLEGRIN lui-même (1904) pensait, malgré les différences observées, qu’il n’était pas possible de séparer catégoriquement cette forme afin d’en faire une espèce spécifique : Il la considérait plutôt comme une « variété », et même pas comme une sous-espèce.

ALLGAYER (2001) a noté qu’il pourrait s’agir de la femelle d’Archocentrus spinosissimus, la réduction ou l’absence de mouchetures étant un “fait aussi observé en captivité“.

ALLGAYER (2001)  avait souvent examiné des spécimens quelque peu décolorés qui en fait s’étaient être des spécimens de « Cryptoheros spilurus » !

Ainsi, Cichlasoma immaculatum (C’est le nom qui avait été utilisé pour ce taxon et par REGAN (1908) et MILLER (1966).

Dans la littérature, à propos de Rocio spinosissima, un autre nom apparaît souvent « immaculatum » parfois « immaculata » ou « immaculatus », ce qui signifie dans tous les cas : “sans taches“.

C’est aussi le synonyme de « Cryptoheros spilurus », comme cela a été discuté dans le récit de la description de cette espèce.

Finalement, c’est Juan J. SCMITTER-SOTO en 2007 qui publie une révision systématique du genre Archocentrus, avec la description de deux nouveaux genres et six nouvelles espèces, (pp. 1-78 dans Zootaxa  1603 aux pages 30 -31).

C’est un poisson qui, en premier lieu, avait été décrit par PELLEGRIN en 1904 et qui, comparativement à Rocio spinosissima, se distingue par une totale absence de points.

Ce poisson était sympatrique avec Rocio spinosissima et Cryptoheros spilurus et vivait dans le Rio Polochic.

Couple de Cryptoheros spilurus (Cryptoheros spilurus, anciennement Archocentrus spirulus)

Pourtant, PELLEGRIN ne pensait pas que ce poisson devait être classé comme une espèce de cichlidé différente, pas même comme une sous-espèce différente.

PELLEGRIN a décrit le poisson comme étant « Cichlasoma spinosissimus var. immaculé ».

Mais REGAN pensait autrement.

REGAN pensait que les différences étaient suffisamment importantes pour le statut de l’espèce et a conclu qu’il ne s’agissait pas d’un phénomène naturel unique car la morphologie déviante était partagée par deux spécimens.

REGAN a donc finalement donné le statut d’espèce à ce poisson et l’a nommé « Cichlasoma immaculatum » (Cryptoheros spilurus) dans sa révision des espèces, portant sur Cichlasoma, en 1905.

ALLGAYER a noté en 2001 que Cichlasoma immaculatum pourrait être un spécimen femelle de Rocio spinosissima et que la réduction ou l’absence de mouchetures chez les spécimen d’élevage en aquarium était chose courante.

Enfin, SCMITTER-SOTO a examiné scientifiquement les spécimens types et est arrivé à la conclusion qu’il s’agissait effectivement bien de Cryptoheros spilurus.

En conclusion, Cichlasoma immaculatum était donc bien un synonyme junior de Cryptoheros spilurus.et aujourd’hui, de Rocio spinosissima !

 

RAPPEL SUR LES …

Liste d’espèces

Selon ITIS (16 février 2021) :

  • Archocentrus altoflavus – ALLGAYER, 2001 ;
  • Archocentrus centrarchus – GILL IN GILL & BRANSFORD, 1877 ;
  • Archocentrus myrnae – LOISELLE, 1997 ;
  • Archocentrus nanoluteus – ALLGAYER, 1994 ;
  • Archocentrus nigrofasciatus – GÜNTHER, 1867 ;
  • Archocentrus panamensis – MEEK & HILDEBRAND, 1913 ;
  • Archocentrus sajica – BUSSING, 1974 ;
  • Archocentrus septemfasciatus – REGAN, 1908 ;
  • Archocentrus spilurus – GÜNTHER, 1862 ;
  • Archocentrus spinosissimus – VAILLANT & PELLEGRIN, 1902

 

Archocentrus – GILL IN GILL & BRANSFORD, 1877

  • Archocentrus centrarchus
    • Archocentrus centrarchus – GILL, 1877 ;
    • Heros centrarchus – GILL, 1877 ;
    • Cichlasoma centrarchus – BUSSING, 1987 ;
    • Archocentrus centrarchus – KULLANDER & HARTEL, 1997 ;
  • Archocentrus myrnae – LOISELLE, 1997 ;
  • Archocentrus nanoluteus – ALLGAYER, 1994 ;
  • Archocentrus nigrofasciatus
    • Heros nigrofasciatus – GUNTHER, 1867 ;
    • Cichlasoma nigrofasciatum – LEE & AL., 1980 ;  
    • Archocentrus nigrofasciatus – KULLANDER & HARTEL, 1997 ;
  • Archocentrus sajica
    • Cichlasoma sajica – BUSSING, 1974 ;
  • Archocentrus septemfasciatus
    • Cichlosoma septemfasciatum – REGAN, 1908 ;
    • Cichlasoma septemfasciatum – BUSSING, 1987 ;
    • Archocentrus septemfasciatus – LOISELLE, 1997 ;
  • Archocentrus spilurus – FOWLER
    • Heros spilurus – GUNTHER, 1862 ;
    • Cichlasoma cutteri – FOWLER, 1932 ;
    • Cichlasoma spilurum – CONKEL, 1993 ;
  • Archocentrus spinosissimus – FOWLER
    • Cichlasoma immaculatum ;
    • Cichlasoma steindachneri – JORDAN & SNYDER, 1899 ;
    • Cichlasoma spinosissimum – VAILLANT & PELLEGRIN, 1902 ;
    • Heros spinosissimus – VAILLANT & PELLEGRIN, 1902 ;
    • Cichlasoma spinosissimum var. immaculata – PELLEGRIN, 1904 ;
    • Cichlasoma spinosissimum – CONKEL, 1993.

 

Le Genre Rocio

Rocio est un genre de cichlidés que l’on ne trouve qu’en Amérique centrale.

Ce genre est endémique de l’Amérique centrale.

Le genre Rocio fait partie de la famille des Cichlidés et appartient à l’ordre des Perciformes.

Ce genre est endémique de l’Amérique centrale et vit exclusivement dans les rivières et les lacs du côté des Caraïbes, de la ville mexicaine de Veracruz au nord au Honduras au sud.

Des variantes géographiques influent sur les caractéristiques méristiques et la coloration.

Toutes ses espèces sont territoriales en période de reproduction, et ce comportement de territorialisme se développe particulièrement en espaces clos tels que le sont les aquariums.

Rocio octofasciata a longtemps été classé parmi le genre Cichlasoma.

Le corps des jeunes poissons est approximativement ovale, semblable à celui d’Archocentrus centrarchus.

À mesure qu’il grandit, il s’étire et ressemble à celui des espèces de Parachromis.

La mâchoire inférieure dépasse légèrement.

Les lèvres ne deviennent pas plus étroites vers le milieu de la bouche.

Dans la mâchoire supérieure, les dents de devant sont beaucoup plus grandes que les dents sur les côtés de la mâchoire et conçues comme des crocs ou coniques.

Les dents ont à pointe unique ou ont un deuxième point pour celles qui sont placées du côté de la langue.

Dans la mâchoire inférieure, les dents de devant sont plus petites que leurs voisines.

Les nageoires pelviennes commencent derrière le début de la nageoire dorsale.

La nageoire caudale est en forme de pelle ou arrondie.

La papille génitale est ovale et plus longue que large.

Les côtés du corps sont ornés de huit rayures horizontales plutôt indistinctes.

Les rayures ne s’étendent pas sur la nageoire dorsale et anale.

La première bande horizontale est en forme de Y, mais elle est à peine visible.

La quatrième bande, parfois la troisième, est épaissie au milieu.

Il y a une tache oculaire sur le pédicule au-dessus de la ligne de touche.

Les synapomorphies du genre sont l’expression des râteaux branchiaux sur le premier arc branchial et les caractéristiques de deux os du crâne (méséthmoïde et supraoccipitale).

Le genre Rocio appartient à la sous-famille Cichlasomatinae et la tribu Heroini.

L’espèce type du genre, qui n’a été introduite qu’en 2007 par l’ichtyologiste mexicain Juan Jacobo SCMITTER-SOTO, est le cichlidé à bandes noires (Rocio octofasciata), bien connu en aquariophilie et considéré comme étant un cichlidé très agressif.

Rocio octofasciata

Le genre a reçu son de l’auteur, suite à la première description, en s’inspirant du propre nom de sa femme « Rocío ».

Ce genre a également été introduit en 2007 par l’ichtyologiste SCMITTER-SOTO et il l’a nommé Rocío.

Le choix de ce nom avait quelque chose d’ambigu car « Rocio » est aussi le mot espagnol pour la « rosée du matin ».

On suppose que ce nom a été au sens figuré en raison des magnifiques taches que cette espèce possède sur les joues et les flancs et qu’ainsi SCMITTER-SOTO avait voulu faire honneur à sa femme Rocio.

L’espèce type du genre Rocio est le « Rocio octofasciata », c’est un cichlidé à l’allure robuste et bien connu du monde de l’aquariophilie et des cichlidophiles en particulier.

L’espèce « Rocio gemmata », qui était auparavant considérée comme valide, a entre-temps été déclarée synonyme de Rocio octofasciata.

Rocio gemmata

Ainsi, il existe actuellement 4 espèces valides dans ce genre.

Le genre a été établi par SCMITTER-SOTO, 2007.

L’espèce type est Rocio octofasciata décrite par REGAN en 1903.

La tribu d’appartenance est celles des « Therapsini ».

Plusieurs espèces ont été transférées dans le genre « Rocio », auparavant, elles étaient identifiées dans les genres « Cichlasoma » et « Heros ».

Finalement elles ont été renommées et pour les espèces possédant plusieurs synonymes, regroupées sous un unique nom, pour devenir des « Rocio » :

  • Les « Cichlasoma octofasciatum» ou « Cichlasoma octofasciatus » ou « Cichlasoma biocellatum » ou « Cichlasoma hedricki », et « Cichlasoma spinososissimus » sont respectivement devenues des « Rocio octofasciata » et « Rocio spinosissima » ;
  • Les « Heros octofasciatus» et « Heros spinosissimus » sont respectivement devenues des « Rocio octofasciata » et « Rocio spinosissima ».

Le genre Rocio comporte en et pour tout, quatre espèces :

  • Rocio gemmata – CONTRERAS-BALDERAS & SCMITTER-SOTO, 2007
  • Rocio ocotal – CONTRERAS-BALDERAS & SCMITTER-SOTO, 2007
  • Rocio octofasciata – REGAN, 1903
  • Rocio spinosissima – VAILLANT & PELLEGRIN, 1902

…dont la seule l’espèce Rocio octofasciata est bien connue des aquariophiles.

Couple de Rocio ocotal

REFERENCES

VAILLANT L. & PELLEGRIN J. 1902. Cichlides nouveaux de l’Amérique Centrale. Bulletin du Musée National d’Histoire Naturelle. 8; pp 85-86.

ŘICAN, O.; PIALEK, L.; DRAGOVA, K. & NOVAK, J. (2016). “Diversity and evolution of the Middle American cichlid fishes (Teleostei: Cichlidae) with revised classification” (PDF). Vertebrate Zoology. 66 (1): 1–102. Retrieved 2019-01-25.

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ARTIGAS AZAS, JUAN MIGUEL (2018). “Rocio gemmata » CONTRERAS-BALDERAS & SCMITTER-SOTO, 2007: a subjective junior synonym of Rocio. octofasciata”. Cichlid News. 27: 22–27.

 SCMITTER-SOTO, Juan J. (2021). “Validity of Rocio gemmata (Teleostei: Cichlidae)”. Zootaxa. 4991 (1): 195–200. doi:10.11646/zootaxa.4991.1.13.

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VIDEO

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GLOSSAIRE

[1] La larve de chironome, connue sous le nom vernaculaire de ver de vase ou ver de vase rouge, est une larve d’insectes diptères qui ressemblent à des moustiques et qui appartiennent au genre Chironomus, dont le plus connu est le Chironome plumeux (Chironomus plumosus). À ce stade l’animal est filtreur et suspensivore.

[2] Il s’agit d’une sorte de « Bible » maya dont le contenu, remontant à la période précolombienne, relate l’origine du monde et plus particulièrement du peuple quiché, l’une des nombreuses ethnies mayas, dont le centre de rayonnement se situait dans la partie occidentale du Guatemala actuel. Le livre inclut une généalogie royale de la période postclassique accordant une place prééminente à la lignée Kaweq.

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