Amphilophus trimaculatum – Article n°3 : Noms & Description & Dimorphisme sexuel

Amphilophus trimaculatum – GÜNTHER, 1867

 

Le « cichlidé à trois taches », ou “Amphilophus trimaculatum“, également connu sous le nom de « Trimac » ou « cichlidé aux yeux rouges », est une espèce de cichlidé du Mexique et d’Amérique centrale, de la sous-famille des Cichlasomatinae. 

Comme les autres cichlidés géants, Amphilophus trimaculatum (ex-Cichlasoma trimaculatum) est un très beau poisson avec une forte personnalité, en plus d’être très agressif et résistant aux maladies, mais il peut très bien vivre avec d’autres cichlidés géants. 

Il convient de rappeler que cette espèce croisée avec Amphilophus citrinellus produit le « Flowerhorn », un hybride !

Que ce soient chez les véritables Amphilophus trimaculatus ou chez ces monstruosités hybrides, le mâle adulte mature a toujours une bosse sur la tête, trait caractéristique de l’espèce, mais pas la femelle.

Ce sont des poissons rarement présents dans les aquariums car ces cichlidés ont besoin de beaucoup d’espace et établissent un très vaste territoire et surtout, ils sont parmi les cichlidés les plus agressifs qui existent. 

Bien que le tristement célèbre hybride, « Flowerhorn » soit à la base d’une renommée mondiale, il existe moins de littérature disponible sur Amphilophus trimaculatus qu’il serait normal d’attendre et, d’autre part, le véritable Amphilophus trimaculatus n’a pas le succès commercial que l’on pourrait attendre, pire, il est même difficile de s’en procurer dans le monde aquariophile !

Amphilophus trimaculatus a été décrit par GÜNTHER en 1867.

Comme les autres cichlidés géants, le trimaculatus ( ex-Cichlasoma trimaculatum ) est un très beau poisson avec une forte personnalité, en plus d’être très agressif et résistant aux maladies, il peut très bien vivre avec d’autres cichlidés géants.

NOMS

NOM COMMUNS

Amphilophus trimaculatum est également connu sous les noms de :

  • Cichlidé à trois taches ;
  • Trimac ;
  • Cichlidé aux yeux rouges ;
  • Cichlasoma trimaculé ;

SYNONYMES

Illustration du type de Cichlasoma gordonsmithi comme le montre la figure 44 à la page 527 de Fowler, Henry W. 1936. “Poissons d’eau douce obtenus au Guatemala par M. Rodolphe MEYER DE SCHAUENSEE en 1935”. Actes de l’Académie des sciences naturelles de Philadelphie. v.87; pp. 515-531. Photo de Henry W FOWLER. Envoyé par Juan Miguel ARTIGAS AZAS.

  • Heros trimaculatus – GÜNTHER, 1867
  • Amphilophus trimaculatum – GÜNTHER, 1867
  • Astronotus trimaculatus – GÜNTHER, 1867
  • Cichlasoma trimaculatus – GÜNTHER, 1867
  • Cichlosoma trimaculatum – GÜNTHER, 1867
  • Parapetenia trimaculata – GÜNTHER, 1867
  • Cichlasoma mojarra MEEK, 1904
  • Theraps mojarra – MEEK, 1904
  • Cichlasoma centrale – MEEK, 1906
  • Cichlosoma centrale – MEEK, 1906
  • Parapetenia centrale – MEEK, 1906
  • Cichlasoma tenue – MEEK, 1906
  • Cichlasoma gordonsmithi – FOWLER, 1936
  • Cichlasoma cajali – ÁLVAREZ & GUTIERREZ, 1953

ETHYMOLOGIE

« Amphilophus » est un composé de « Amphi » qui signifie « des deux côtés » et de « Lophus » qui signifie « épaississement ».

Ce nom composé fait référence aux lèvres épaisses de l’espèce type de ce genre qu’est « Amphilophus labiatus ».   

« Trimaculatum » est composé du mot « Tri » signifiant « trois » et du mot « maculatum » qui est la traduction latine de « taches ».  

Ce nom composé caractérise donc « le poisson aux trois taches ».

 

DESCRIPTION

DESCRIPTION DE GÜNTHER

Trois exemplaires adultes, de 8 à 11 pouces de long, et un de 24 pouces, ont été collectés par M. SALVIN à « Chiapam » et « Huamuchal ».

HÉROS TRIMACULATUS est allié à Cichlasoma salvini (Trichromis salvini).

  • Le pli de la lèvre inférieure est continu au milieu ;
  • Les écailles de la joue sont en séries par rangées de cinq ;
  • La mâchoire inférieure est proéminente ;
  • L’os précorbital est aussi large que l’orbite, avec le bord antéro-inférieur concave. (Le premier et habituellement le plus grand des os suborbitaire. Il se trouve le long du bord antéro-ventral de l’œil et est quelquefois appelé os lacrymal. C’est l’os ou région en avant et en dessous de l’œil) ;
  • La longueur de la douzième épine dorsale est légèrement inférieure au tiers de celle de la tête ;
  • La couleur est olive verdâtre foncé, avec trois taches noires ;
  • La première tâche est située au-dessus de l’origine de la ligne latérale, la deuxième au milieu du côté et la troisième au- dessus de l’extrémité de la ligne latérale ;
  • Les nageoires sont noires.
  • La hauteur du corps est contenue deux fois dans la longueur totale (sans compter la nageoire caudale) ;
  • La longueur de la tête est comprise entre deux fois et deux tiers ;
  • La tête presque aussi haute que longue est plutôt pointue, beaucoup plus longue que l’œil, avec la fente buccale très oblique et la mâchoire inférieure proéminente;
  • Le maxillaire s’étend presque jusqu’à la verticale à partir de la marge avant de l’orbite ;
  • Le pré-orbitaire est aussi large que l’orbite, avec le bord antéroinférieur concave ;
  • La largeur (diamètre) de l’orbite correspond au cinquième de la longueur de la tête, et à seulement les deux tiers de celui de l’espace interorbitale ;
  • L’œil est situé immédiatement au-dessous de la concavité du profil supérieur de la tête et est très légèrement plus près de la déchirure du museau que du bord operculaire ;
  • Les opercules sont recouverts d’écailles ;
  • Le sous-opercule a deux séries d’écailles ;
  • Les nageoires verticales sont écailleuses à la base ;
  • Les épines dorsales de force et de longueur modérées, la douzième étant plutôt inférieure au tiers de la longueur de la tête ;
  • Les pointes de la nageoire dorsale molle et de la anale s’étendent au-delà du milieu de la nageoire caudale ;
  • La nageoire est très arrondie ;
  • La distance entre la nageoire caudale et la nageoire dorsale est considérablement inférieure à la profondeur de la partie libre de la queue ;
  • Les nageoires pectorales sont beaucoup plus courtes que la tête et s’étendent uniquement jusqu’à la deuxième épine anale ;
  • Les nageoires ventrales possèdent un rayon externe ;
  • La distance entre l’anus et la racine des nageoires ventrales est près de la moitié de la longueur de la tête ;
  • La coloration d’un jeune spécimen est exactement la même que celle de l’adulte.

CLE DES ESPECES

Sans objet.

MORPHOLOGIE DES AMPHILOPHUS TRIMACALATUS

Le corps des Amphilophus trimaculatus est massif et bombé : Le cichlidé à trois points est un grand cichlidé au corps lourd. 

TAILLE

Un mâle Amphilophus trimaculatus peut atteindre la taille maximale de 16 pouces soit 40 centimètres.

La taille moyenne d’un mâle adulte est plutôt de 35 centimètres.

De leur côté, les femelles sont généralement plus petites et leur taille ne dépasse pas les 25 centimètres.

COLORATION

La couleur de base est vert olive et gris. 

On note aussi la présence d’une base de teinte verte ou jaune avec des taches distinctes sur ses côtés. 

Amphilophus trimaculatus possède aussi une tache rouge vif autour des nageoires pectorales et derrière les branchies. 

L’iris de l’œil est également rouge. 

Et surtout, il y a ces fameuses trois taches brunes visibles sur le côté…qui justifient parfaitement son nom !

Pour un aquariophile voulant maintenir des Amphilophus trimaculatus de forme naturelle, les couleurs, si attractives qu’elles puissent être, sont en fait une véritable source d’interrogations voire même de problèmes dans le choix.

Il faut être attentif au choix de l’Amphilophus avant acquisition : En effet, ces dernières années, es producteurs industriels de cichlidés ont orienté leur production sur la sélection des espèces et de leurs couleurs.

Souvent ces dernières années, leur choix se sont portés sur les nuances de rouges.

C’est ainsi qu’est née par exemple lune espèce de sélection d’Amphilophus trimaculatus nommée dans le jargon des initiés « Pyro-Trimac » : C’est une variété à destination d’aquarium, à ne pas confondre avec un hybride dont la qualité principale issue de la sélection faite est de posséder une  proportion accrue de rouge par rapport aux espèces naturelles et sauvage.

Chez l’Amphilophus trimaculatum sauvage, le rouge est également présent, mais moins prononcé.

En plus des yeux rouges et de cette zone rouge sous placée derrière les branchies, de nombreuses variantes d’Amphilophus trimaculatus ont des nageoires rouges, notamment la nageoire dorsale.

Mais il existe aussi des variantes presque vertes (Rio Coatan) ou complètement jaunes (Rio Tehuantepec).

Rio Coatan

Rio Tehuantepec

Les trois taches sont légèrement cerclées et on pourrait donc les appeler « ocelles » ou « yeux de paon » comme c’est souvent le cas pour d’autres espèces de cichlidés.

Une fois adultes, les Amphilophus trimaculatus sont des poissons aux couleurs intensément foncées, surtout dans la moitié inférieure de leur corps et en particulier pendant la saison de reproduction.

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Les tâches

Les trois taches, qui devraient caractériser l’Amphilophus trimaculatum à la fois par leur présence et par leur nombre de trois (en théorie), ne sont :

  1. pas toujours visibles et chose contradictoire ;
  2. généralement elles sont même plus nombreuses !

Une caractéristique peut-être plus frappante et des plus remarquable est la position du premier spot : Celui-ci repose sur l’épaule et n’est donc pas dans l’alignement du reste. 

Normalement, ces types de taches se trouvent aux intersections des bandes transversales avec la bande médio-latérale.  

Il semble donc que le poisson ait commencé une deuxième bande latérale comme on le voit également chez Trichromis salvini…les similitudes avec Trichromis salvini ne s’arrêtent pas là.  

Que penser, par exemple, du profil du front incliné, du corps comprimé, du bas du bec, du drapeau tricolore, des bandes croisées sur le nez et enfin du grand tempérament ?

Ce n’est donc pas sans raison que GÜNTHER avait commencé sa première description de « Heros trimaculatum »  par la remarque « Allié à Heros salvini ».  

Mais même si ce n’est pas la première fois que l’arbre phylogénétique est révisé, Amphilophus trimaculatum est classé parmi les Amphilophines et Trichromis salvini sous les Herichtyines.

La couleur rouge est également présente chez l’Amphilophus trimaculatum sauvage, mais elle est moins prononcée  que chez Trichromis salvini.  

Outre les yeux rouges et une zone rouge sous et derrière les branchies, de nombreuses variétés d’Amphilophus trimaculatus ont des nageoires rouges, notamment la nageoire dorsale.  

 Mais il existe aussi des variétés presque verte, notamment les espèces issues du Rio Coatan et d’autres, venant du Rio Tehuantepec qui sont complètement jaunes.

Cette dernière couleur est intensément foncée, surtout dans la moitié inférieure du corps pendant la saison de reproduction.  

Les « trois » (ou plus) taches sont légèrement bordées d’un liseré de couleur et on pourrait donc les appeler « ocelles » ou « yeux de paon ».

Ainsi que l’aire de répartition est vaste d’Amphilophus trimaculatus, les variations morphologiques le sont tout autant !  

Ces dernières années, les éleveurs ont procédé à de nombreuses sélections basées sur des nuances de rouge.  

Par exemple, la pseudo espèce Pyro-Trimac a été créée, c’est une variété d’aquarium (à ne pas confondre avec un hybride) avec une proportion accrue de rouge.  

Il y a aussi les « Pyro Trimac smithi » ou « Pyro-Mac » dont on dit qu’ils tirent leur rouge intense de l’élevage en lignée, mais c’est un sujet très débattu quant à savoir s’il s’agit encore de Amphilophus trimaculatus…

Ces poissons ressemblent plus à des Flowerhorns qu’à un Amphilophus trimaculatus 100% pure souche.

Pour toutes ces raisons, il est de plus en plus difficile de trouver de l’Amphilophus trimaculatus de souche certaine ou au moins non trafiqué !

SIGNES DISTINCTIFS

Les trois taches brunes visibles sur le côté qui justifient parfaitement son nom.

DIFFERENCIATION

Cette espèce possède une robe vert-métallique, elle se caractérise par les trois taches noires (nom d’espèce), l’une au-dessus de l’opercule, la seconde au centre du corps entre les lignes latérales, la dernière sur le pédoncule caudal.

Parfois une ou deux taches très estompées apparaissent entre la seconde et dernière tâche.

L’œil noir est cerclé de rouge-vif.

La partie ventrale devient rose en période de reproduction.

Hybridation

Le niveau d’hybridation et le nombre d’espèces impliquées dans la formation des Flowerhorns ne sont pas clairs, mais le fait qu’Amphilophus trimaculatus en fasse partie est certain et on pense qu’Amphilophus citrinellus, Amphilophus labiatus et Vieja melanurus sont également impliqués dans ce génotype.

Bien que ce poisson soit à la base d’un hybride tristement célèbre, le « Flowerhorn », il existe moins de littérature sur l’Amphilophus trimaculatum que ce que l’on pourrait attendre de ce succès commercial. 

Le Flowerhorn est une création venue d’Asie, où il est plus ou moins d’usage culturel de produire toutes sortes de morphologies exorbitantes. 

Le Flowerhorn est un hybride avec une bosse frontale disproportionnée et un motif de couleur aussi voyant que possible. 

Le niveau d’hybridation et le nombre d’espèces impliquées dans le développement de Flowerhorns ne sont pas clairs, mais Amphilophus trimaculatum est certain et on pense qu’Amphilophus citrinellus, Amphilophus labiatus et Vieja melanurus sont également impliqués dans ce génotype.

DUREE DE VIE

Il n’existe pas d’informations précises à ce sujet.

Les spécimens vivants en milieu naturel pourraient avoir une durée de vie comprise entre 4-7 ans, tandis que ceux maintenus en aquarium auraient une plus grande longévité, allant de 8 à 10 ans au maximum.

 

DIMORPHISME SEXUEL

Le mâle Amphilophus trimaculatum est beaucoup plus grand que la femelle et peut atteindre 35-40 centimètres de longueur, il a des nageoires plus longues et plus pointues et une grande tache rouge derrière ses branchies. 

Les mâles sont de couleurs vives et ont des nageoires plus foncées et pointues avec la nageoire dorsale.

La femelle est plus petite, environ 25 centimètres, et peut avoir une tache rouge moins marquée que celle du mâle. 

Le mâle peut également développer une bosse nucale à maturité. 

Le mâle a des nageoires plus longues et plus pointues et surtout cette grande tache rouge, si remarquable et toujours placée derrière ses branchies. 

Mâle

Femelle

Les femelles sont de couleur similaire mais les couleurs sont plus ternes avec de légères taches sur leurs nageoires dorsales avec une tache noire au milieu de la nageoire dorsale qui manque chez les mâles. 

 

 

Juvéniles

Les juvéniles sont de couleur très terne mais en grandissant progressivement, ils subissent une transformation spectaculaire et deviennent de couleurs vives à l’âge adulte. 

A retenir :

Il est difficile de sexer les Trimac Cichlid avant qu’ils ne soient matures. 

Au fur et à mesure de leur croissance, les mâles deviendront plus grands et plus colorés. 

Les mâles matures développent souvent des bosses nuchales.

Le mâle Amphilophus trimaculatus est beaucoup plus grand que la femelle et peut atteindre 35-40 centimètres de longueur, il a des nageoires plus longues et plus pointues et une grande tache rouge derrière ses branchies. 

Les mâles sont de couleurs vives et ont des nageoires plus foncées et pointues avec la nageoire dorsale.

La femelle est plus petite, environ 25 centimètres, et peut avoir une tache rouge moins marquée que celle du mâle. 

Le mâle peut également développer une bosse nucale à maturité. 

Le mâle a des nageoires plus longues et plus pointues et surtout cette grande tache rouge, si remarquable et toujours placée derrière ses branchies. 

Les femelles sont de couleur similaire mais les couleurs sont plus ternes avec de légères taches sur leurs nageoires dorsales avec une tache noire au milieu de la nageoire dorsale qui manque chez les mâles. 

Les juvéniles sont de couleur très terne mais subissent une transformation spectaculaire et deviennent de couleurs vives à l’âge adulte. 

 

REFERENCES

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BUCHHAUSER, P. 2022. Mittelamerikanische Cichlidenbiotope. Teil 21: Rio Zanatepec, Mexiko. DCG-Informationen (Mitgliedszeitschrift der Deutschen Cichliden Gesellschaft e.V.), 53 (11): 291-294. Zitatseite [:292*, Farbfoto, Biotop].

Anthropique : Relatif à l’activité humaine. Qualifie tout élément provoqué directement ou indirectement par l’action de l’homme : érosion des sols, pollution par les pesticides des sols, relief des digues, … . Ce mot vient du grec « anthropos » qui signifie « homme ».

 

[2] Fontinalis est un genre de mousses aquatiques submergées appartenant à la sous-classe des Bryidae. Ces mousses sont également appelées mousse de fontaine, mousse de ruisseau et mousse d’eau.

        

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