Amphilophus trimaculatum -Article n°1 : Distribution

Amphilophus trimaculatum – GÜNTHER, 1867

Le « cichlidé à trois taches », ou “Amphilophus trimaculatum“, également connu sous le nom de « Trimac » ou « cichlidé aux yeux rouges », est une espèce de cichlidé du Mexique et d’Amérique centrale, de la sous-famille des Cichlasomatinae. 

Comme les autres cichlidés géants, Amphilophus trimaculatum (ex-Cichlasoma trimaculatum) est un très beau poisson avec une forte personnalité, en plus d’être très agressif et résistant aux maladies, mais il peut très bien vivre avec d’autres cichlidés géants. 

Il convient de rappeler que cette espèce croisée avec Amphilophus citrinellus produit le « Flowerhorn », un hybride !

Que ce soient chez les véritables Amphilophus trimaculatus ou chez ces monstruosités hybrides, le mâle adulte mature a toujours une bosse sur la tête, trait caractéristique de l’espèce, mais pas la femelle.

Ce sont des poissons rarement présents dans les aquariums car ces cichlidés ont besoin de beaucoup d’espace et établissent un très vaste territoire et surtout, ils sont parmi les cichlidés les plus agressifs qui existent. 

Bien que le tristement célèbre hybride, « Flowerhorn » soit à la base d’une renommée mondiale, il existe moins de littérature disponible sur Amphilophus trimaculatus qu’il serait normal d’attendre et, d’autre part, le véritable Amphilophus trimaculatus n’a pas le succès commercial que l’on pourrait attendre, pire, il est même difficile de s’en procurer dans le monde aquariophile !

Amphilophus trimaculatus a été décrit par GÜNTHER en 1867.

Comme les autres cichlidés géants, le trimaculatus ( ex-Cichlasoma trimaculatum ) est un très beau poisson avec une forte personnalité, en plus d’être très agressif et résistant aux maladies, il peut très bien vivre avec d’autres cichlidés géants.

REPARTITION

ORIGINE

Mexique, Guatemala, El Salvador, Honduras.

Amphilophus trimaculatum est originaire des zones côtières d’eau douce de basse altitude du versant Pacifique de l’Amérique centrale et se trouve du sud du Mexique au Panama. 

Au Mexique, ils s’étendent de la Laguna de Coyuca, au nord-ouest d’Acapulco, du Chiapas, de Guerrero et d’O Répartition géographique :

• Rio Chiapas ;
• Lago de Guija ;
• Rio Tuzumates ;
• Lago de Metapan ;
• Rio Lempa ;
• Lago de Ilopango (Salvador);
• Rio Grande de San Miguel ;
• Lago de Olomega ;
• Rio Copan ;
• Versant pacifique du Guerrero (Mexique) au Guatemala.

 

ZONE DE DISTRIBUTION

La zone principale de distribution d’Amphilophus trimaculatus est :

  • Mexique ;
  • Guatemala ;
  • Salvador ;

Dans ces régions d’Amérique, Amphilophus trimaculatum se rencontre dans les bassins hydrographiques du versant Pacifique de l’Amérique centrale, depuis la Laguna Coyuca, au Mexique, jusqu’au Río Lempa, au Salvador (LOISELLE, 1980 ; CONKEL, 1993).

Souvent, Amphilophus trimaculatus est rencontré en train d’évoluer parmi les racines et les mauvaises herbes. 

Amphilophus trimaculatum, aime évoluer dans ces étendues à écoulement lent de l’eau, mais aussi dans les vallées inférieures des rivières du versant Pacifique de l’Amérique centrale, du Mexique au Panama, généralement là où se trouve un substrat boueux ou sableux. 

Malheureusement, Amphilophus trimaculatum a aussi été trouvé, avec le statut d’espèce introduite, en Floride et au Nevada, mais ces populations ont disparu, elles demeurent encore à Singapour. 

Comme les lignes suivantes le montreront, la diffusion d’Amphilophus trimaculatus est bien plus complexe qu’elle ne le semble et souvent amplifiée par les actions humaines.

MILLER (1916-2003) avait délimité la zone d’occurrence de Cichlasoma trimaculatus. 

A son époque, il était clair qu’il s’agit exclusivement de la rive Pacifique, du Mexique (Acapulco) au Salvador (Rio Lempa) en passant par le Guatemala 

En ce qui concernait « Cichlasoma tenue » (Amphilophus trimaculatus) MILLER avait maintenu son statut et sa présence dans la région du Rio Papalopan, sur la côte atlantique du Mexique (Dans FIELDIANA : ZOOLOGY, VOLUME 69, MILLER écrit une évaluation des contributions de Seth E. MEEK à l’ichtyologie mexicaine). 

Rio Papalopan

Dans cette élaboration, MILLER clarifiait, entre autres, les faits ou la confusion concernant la localisation de Cichlasoma tenue et soulignait que Cichlasoma trimaculatum tétait une espèce originaire du côté Pacifique et non du côté Atlantique. 

Jusque-là, l’état de la science était le suivant :

Les rapports suivants dans les différents livres sont les expériences des aquariophiles. 

Du point de vue scientifique, il n’existait aucun rapport récent concernant la zone d’occurrence, seuls quelques aquariophiles allemands curieux se rendaient en Amérique centrale pour chercher des cichlidés, les attraper et les ramener chez eux. 

En ce qui concerne la littérature allemande, en 1973, on pouvait noter également la mention d’Amphilophus trimaculatus. 

En fait, la première apparition d‘Amphilophus trimaculatus dans la littérature se fait lors de la publication du livre de Wolfgang STEACK, « CICHLIDS » (Distribution, Behavior, Species) de 1973. 

STAECK ne répertorie que le côté sud du continent américain comme étant la zone d’origine de Cichlasoma trimaculatum, STAECK est un peu plus précis dans son prochain livre de 1982 et donne comme zones, le Mexique et Guatemala. 

Dans son manuel d’études sur les cichlidés, STAECK suit les informations de MILLER. 

En 1985, les travaux sont entrepris avec « American Cichlids II GroBe Cichlids » de Hors LINKE. 

Ici aussi on retrouve Amphilophus trimaculatus sous le nom de « Cichlasoma » (Parapetenia) trimaculatum » dont l’habitat naturel est également limité au versant du Pacifique, du Mexique au Salvador. 

Pendant l’année 1985, Uwe WERNER et Rainer STAWIKOWSKI publient le désormais classique livre actuel « Les Cichlidés du Nouveau Monde — Amérique Centrale ». 

Dans cet ouvrage, les deux auteurs approfondissent en détail l’histoire, la description et la présence de cette espèce. 

Ils comparent Cichlasoma trimaculatum, présent du côté du Pacifique, avec son homologue, Cichlasoma salvini…et, finalement, Uwe WERNER et Rainer STAWIKOWSKI considèrent Cichlasoma salvini comme l’homologue atlantique de Cichlasoma trimaculatum. 

Les synonymes d’Amphilophus trimaculatus sont largement évoqués et discutés par la communauté scientifique, dont il ressort qu’une occurrence d’Amphilophus trimaculatus serait présente du côté Pacifique du continent.

Le prochain auteur que je voudrais nommer est Hans J.  MAYLAND.

Dans ses livres de 1984 à 1995, il décrit la zone d’occurrence d’Amphilophus trimaculatus du côté du Pacifique.

Cela dure un certain temps, puis tout est basculé !

Uwe WERNER et Rainer STAWIKOWSKI sortent en 1998 le « successeur » du livre « Les Cichlidés du Nouveau Monde — Amérique Centrale » initialement publié en 1985.

Ce n’est pas une nouvelle édition, c’est carrément un autre ouvrage standard et indispensable pour l’identification des cichlidés d’Amérique centrale. : « Les cichlidés d’Amérique Volume 1 ». 

Là, ils écrivent sur l’existence d’Amphilophus trimaculatus dans le bassin supérieur de Coatzacoalcos.

Plus précisément dans ce dernier livre, ils mentionnent la présence d’Amphilophus trimaculatus dans le Rio Malatengo, donc au Mexique. 

Rio Malatengo

Bien entendu, la question se pose immédiatement de savoir si cette espèce y a été relâchée ou s’il s’agit d’une zone d’occurrence naturelle. 

Une nouvelle preuve de l’existence d’Amphilophus trimaculatus du côté atlantique suit en 2010 quand Willem HEIJNS met sur le marché son DVD Mexico.

Dans cette vidéo, Willem HEIJNS y filme Amphilophus trimaculatus en pleine évolution dans le Rio Grande, dans le cours supérieur du Rio Coatzacoalcos. 

Cela prouverait qu’Amphilophus trimaculatus est également présent du côté atlantique de l’Amérique centrale et au moins jusqu’à présent dans la région supérieure de Coatzacoalcos. 

On ne sait pas encore s’il s’agit de son aire de répartition naturelle car il demeure l’hypothèse d’une espèce introduire et/ou abandonnée par l’homme !

Ce n’est pas la seule hypothèse plausible, d’autres sont possibles et liées à la géographie des lieux, car le bassin versant est très rapproché dans l’isthme et le haut Coatzacoalcos abrite également des animaux tels que Vieja spec. Coatzacoalcos. 

Vieja spec. Coatzacoalcos.

Ces cichlidés sont étroitement liés à Vieja zonata ou Vieja guttulata, sauf si c’est Vieja guttulata.

Vieja guttulata.

Tous résident du côté du Pacifique ! 

Le doute subsiste sur le fait qu’Amphilophus trimaculatus soit présent du côté du Pacifique. 

Lors des séjours éffectués par divers scientifiques dans la région de Coatzacoalcos en 2009, aucun « Trimac » ou  « Vieja spec.  Coatzacoalcos » (Rio Junapan, Atlantique) n’été aperçu. !

PROPAGATION

L’ensemble de l’aire de répartition d’Amphilophus trimaculatum s’étend sur les zones côtières du Mexique, du Guatemala, du Salvador et du Honduras du côté de l’océan Pacifique. 

De la Laguna Coyuca dans l’état de Guerro (Mexique) au nord-ouest, jusqu’au bassin du Rio Goascorán, fleuve frontière entre le Salvador et le Honduras.

À l’échelle mondiale, il existe vingt-trois espèces du genre Amphilophus, cette espèce étant la seule à se trouver dans les eaux mexicaines.

Il existe également des populations d’Amphilophus trimaculatumintroduites et devenues sauvages aux États-Unis, en Asie et à Singapour. 

Comme effet secondaire de la sélection « Flowerhorn », des millions d’hybrides se retrouvent chaque année dans les eaux intérieures de l’Asie du Sud-Est. 

Ils constituent une menace sérieuse pour la flore et la faune indigènes. 

Dans le lac Matano à Sulawesi, par exemple, les Flowerhorns sauvages provoquent un désastre écologique. 

Les animaux se sont multipliés de manière explosive en 10 ans.  Ce qui est frappant chez ces animaux, c’est qu’ils ont perdu toutes leurs caractéristiques hybrides en quelques années seulement. 

RAPPEL : Ces hybrides peuvent donc difficilement être distingués de l’Heros trimaculatum sauvage et ces prédateurs que sont les Flowerhorns perdent progressivement le dernier morceau de couleur rouge situé au niveau des nageoires après quelques générations qui se sont reproduites. 

Cela indique non seulement l’ampleur des problèmes environnementaux liés à la production de Flowerhorns, mais également la difficulté de distinguer Amphilophus trimaculatum des « Flowerhorns de qualité inférieure » sur la base de la morphologie.

MOYENS D’INTRODUCTION

Ces intrus sont probablement l’oeuvre d’un relâchement indélicat éffectué par un propriétaire d’aquarium (COURTENAY & STAUFFER, 1990).!

STATUT

Les populations de Floride ont été découvertes pour la première fois au milieu des années 1970 (SHAFLAND, 1976) ; Ces popualtions d’Amphilophus trimaculatumont été éradiquées par le personnel de la « Florida Game and Fresh Water Fish Commission » en 1975 (COURTENAY & STAUFFER, 1990). 

L’état de la population du comté de Hillsborough est incertain, mais elles n’existent probablement plus car aucune collecte supplémentaire n’a été signalée. 

La seule information publiée sur les introductions d’Amphilophus trimaculatum du Nevada était un compte rendu abrégé donné par ROBINS & AL.  (1991).

IMPACT DE L’INTRODUCTION

Les impacts de cette espèce sont actuellement inconnus, car aucune étude n’a été réalisée pour déterminer comment elle a affecté les écosystèmes de l’aire de répartition envahie. 

L’absence de données n’équivaut pas à une absence d’effets : Cela signifie toutefois que des recherches sont nécessaires pour évaluer les effets avant de pouvoir tirer des conclusions.

MILIEU NATUREL & BIOTOPE

HABITAT

Amphilophus trimaculatum est un habitant typique des zones côtières de l’océan Pacifique.

Par ailleurs, des rapports différents font état du fait selon lesquels Amphilophus trimaculatum pourrait également être trouvé dans les cours supérieurs des rivières de l’Atlantique.  

Willem HEIJNS avait déjà filmé Amphilophus trimaculatum dans une rivière d’approvisionnement de Coatzacoalcos, donc côté Atlantique.  

Alors la question légitime qui se pose est de savoir comment ces poissons du Pacifique se sont-ils retrouvés naturellement dans les rivières qui se jettent dans l’océan Atlantique ?

Est-ce un fait naturel ou est-ce dû à l’activité humaine ? 

Force est de constater que la distance entre l’Atlantique et le Pacifique n’est que petite entre ces deux océans à ce niveau de « l’Isthme », surtout quand il s’agit des sommets séparant chacun de ces lieux.

Ceux-ci peuvent se rapprocher sur quelques kilomètres, même s’il peut toujours y avoir un sommet de montagne complet entre eux.  

Cependant, cela peut s’expliquer par les mouvements tectoniques qui ont pu provoquer ce qu’on appelle une « décapitation de la rivière », qui est un phénomène qui fait couler la rivière dans l’autre sens.  

Un tel processus ne serait pas étrange en soi dans une région sismiquement active comme l’est l’Amérique centrale.  

Pour l’instant, cependant, la plupart des experts s’accordent pour attribuer la présence d’Amphilophus trimaculatum dans les rivières de l’Atlantique à des causes anthropiques[1].  

Cette hypothèse est étayée par le simple fait, qu’Amphilophus trimaculatus a une préférence pour les eaux calmes, type lacs et lagons ou les rivières à faible débit et, par conséquent, avec cette nature, il ne cherchera de lui-même les cours supérieurs où les flux sont plus rapides.

On retiendra donc les éléments suivants :

  • Type d’habitat : Eau douce
  • Habitats lacustres : Eau peu profonde
  • Migrateur : Non
  • Migrateur local : Non
  • Migrateur de longue distance : Non

Paramètres de l’habitat,

  • PH : 6,4-7,0
  • GH : 4-5
  • KH : 4-6
  • Température : 26-30 Celsius. (CONKEL,1997).

La question des hybrides d’Amphilophus trimaculatum : Les Flowerhorns !

En tant qu’effet secondaire de la sélection des Amphilophus, des millions d’hybrides de type « Flowerhorn » se retrouvent chaque année dans les backwaters de l’Asie du Sud-Est et dans d’autres continents.  

Par leur existence et leur présence, ces hybrides constituent une menace sérieuse pour la flore et la faune indigènes.  

Par exemple, dans le lac Matano à Sulawesi, les Flowerhorns sauvages provoquent un désastre écologique.  

Il faut savoir que ces animaux se sont multipliés de manière explosive en 10 ans.  

Ce qui est frappant chez ces animaux, c’est qu’ils ont perdu toutes leurs caractéristiques hybrides en quelques années.  

L’abondance et la répartition des Flowerhorns dans le lac Matano ont été enregistrées au cours d’enquêtes focales effectuées de juin à août 2010 et ont abouti  au relevé de 134 sites d’échantillonnage répartis également autour des rives du lac.

A noter que ces Flowerhorns malaisiens, du lac Matano, ressemblent de plus en plus aux véritables Amphilophus trimaculatum !

Dans le lac Matano, des cornes florales ont été trouvées depuis le rivage jusqu’à une profondeur supérieure à 13 mètres.

Les territoires des adultes étaient principalement associés à des substrats durs tels que des roches ou du gravier grossier, qu’ils défendaient de manière agressive.

Tous les stades de reproduction ont été observés, y compris les couvées d’œufs déposées à la surface des pierres à l’intérieur des territoires, les nuages de juvéniles de différentes tailles gardés par les poissons parents et les bancs d’individus immatures trouvés principalement dans les habitats lacustres peu profonds.

Les analyses du contenu stomacal de 15 individus

montrent que les cornes fleuries du lac Matano se nourrissent de la faune endémique, notamment des crevettes atyides, un le crabe gécarcinucidé et les gastéropodes hydrobioïdes.

Un cichlidé flowerhorn se nourrissant des œufs du gobie endémique Glossogobius matanensis dans le lac Matano. La couvée était composée de nombreux petits œufs jaunâtres (flèche jaune) déposés sur un rocher env. 0,8 m de profondeur, gardé par le gobie mâle (flèche noire).

Un estomac de Flowerhorn a été observé, il contenait des restes de poisson(s), très probablement un poisson du genre Telmatherina.

L’enregistrement d’un crabe gécarcinucidé[1] est basé sur une seule patte, d’environ 20 millimètres de longueur, trouvé dans l’estomac d’un Flowerhorn, ce qui suggère que le poisson n’a ingéré qu’une partie d’un plus gros spécimen de crabe.

Le cas actuel de l’invasion des cichlidés Flowerhorn démontre la vitesse à laquelle une espèce envahissante avec succès peut s’établir à travers un lac, et les données actuelles mettent en évidence la menace qu’elle présente pour la faune indigène.

Les tentatives de contrôle de la population par une récolte ciblée ne semblent malheureusement ni réalistes ni prometteuses compte tenu de la fécondité élevée du cornet fleuri dans cet environnement aquatique très sensible (ZIPKIN & AL. 2009).

[1] La famille de crabes brachyoures Gecarcinucidae est parfois synonyme de Parathelphusinae.

Cette famille regroupe les vrais crabes d’eau douce.

Ses 355 espèces sont réparties dans toute l’Asie, la Wallacée et l’Australasie.

On les trouve principalement en Asie du Sud et du Sud-Est, mais également ailleurs en Asie et en Australie.

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BUCHHAUSER, P. 2022. Mittelamerikanische Cichlidenbiotope. Teil 21: Rio Zanatepec, Mexiko. DCG-Informationen (Mitgliedszeitschrift der Deutschen Cichliden Gesellschaft e.V.), 53 (11): 291-294. Zitatseite [:292*, Farbfoto, Biotop].

Anthropique : Relatif à l’activité humaine. Qualifie tout élément provoqué directement ou indirectement par l’action de l’homme : érosion des sols, pollution par les pesticides des sols, relief des digues, … . Ce mot vient du grec « anthropos » qui signifie « homme ».

 

[2] Fontinalis est un genre de mousses aquatiques submergées appartenant à la sous-classe des Bryidae. Ces mousses sont également appelées mousse de fontaine, mousse de ruisseau et mousse d’eau.

        

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