Wajpamheros nourissati – Article n°2 : Dimorphisme, alimentation, aquarium et comportement

Wajpamheros nourissati – ALLGAYER, 1989

Les cichlidés sont considérés comme parmi les plus diversifiés au monde.

Cette famille de poissons magnifiques est composée de 251 genres et 1727 espèces valides qui sont répartis dans divers milieux aquatiques en Afrique, au Moyen-Orient, en Inde du Sud, en Amérique centrale et du Sud (FRICKE & AL. 2021), c’est un groupe « modèle » au sein de la biologie.

C’est une famille de poissons qui évolue et on considère que leur diversification est favorisée par la répartition des ressources, notamment de l’habitat et de la nourriture ce qui explique certainement une partie des problèmes taxonomiques et systématiques pour certains groupes de cichlidés mésoaméricains, dus à des changements fréquents dans leur classification dus à la grande variation morphologique et au faible signal phylogénétique des caractères diagnostiques.

Parmi les espèces qui ont connu le plus de changements taxonomiques et de classification figure le clade Theraps-Paraneetroplus, apparu il y a environ 7,3 millions d’années (MILLER & AL. 2009 ; RTOAN & AL. 2016).

Ce groupe de poissons est composé de 25 espèces, appartenant à 10 genres, dont la répartition couvre les bassins hydrologiques de Papaloapan, Coatzacoalcos, Grijalva et Usumacinta, atteignant même la partie nord du Belize.

Chez les cichlidés mésoaméricains, certaines caractéristiques morphologiques sont considérées comme convergentes, car les espèces qui ne partagent pas le même ancêtre présentent des formes corporelles et des structures trophiques similaires.

La similitude morphologique de certaines espèces du clade Theraps-Paraneetroplus a permis une classification écomorphologique, où la morphologie peut être liée au type d’habitat où elles se trouvent comme lotique (espèces à corps allongé et pédoncule caudal) et lentique (poissons) avec un corps grand et une nageoire caudale courte).

Au sein de ce clade Theraps-Paraneetroplus, une espèce se distingue particulièrement, en effet, sur la base des caractéristiques associées à l’habitat et à l’alimentation, Wajpamheros nourissati est sans contestation possible l’espèce la plus différente et atypique de toutes.

En outre, il faut aussi savoir que dans le milieu aquariophile, Wajpamheros nourissati est un poissons peu présent dans les aquariums…

A découvrir, donc !

DIMORPHISME SEXUEL

La différence entre les mâles Wajpamheros nourissati et les femelles est facile à voir.

Les mâles Wajpamheros nourissati les plus costauds mesurent, exceptionnellement jusqu’à 30 centimètres de longueur, sont plus intensément colorés et peuvent développer une bosse visible sur le front en vieillissant.

Leurs nageoires dorsale et anale sont également nettement plus longues par rapport à celles des femelles.

Les mâles peuvent développer des bosses nucales en vieillissant : Certains mâles peuvent avoir une légère boule de graisse sur le front et peuvent développer une formation de bosse nucale qui n’est jamais aussi marquée que chez d’autres espèces de cichlidés américains.

De leur côté, les femelles présentent une tache sombre sur la nageoire dorsale qui est absente chez les mâles.

Les femelles Wajpamheros nourissati sont aussi plus minces, en revanche, quand elles ont atteint l’âge adulte, elles ne dépassent pas une longueur totale d’environ 20 centimètres et présentent des traits de coloration qui, selon leur humeur, se manifestent par l’apparition d’une tache floue noir-bleu dans la zone des rayons durs de la nageoire dorsale.

Les femelles ont une tache sombre sur leur nageoire dorsale qui fait clairement défaut chez les mâles.

Une autre caractéristique remarquables des femelles Wajpamheros nourissati est le la quantité inférieure de reflets bleu argenté sur le tiers arrière de la corps.

Pour différencier les deux sexes chez ces poissons, avant qu’ils ne soient adultes, il reste aussi la méthode de la « retournette » qui demande un peu d’expérience et de pratique pour l’éleveur, ne serait-ce que, déjà, pour attraper ces poissons qui dans ces conditions se montrent vifs pour s’échapper !

COMPORTEMENT

Les Wajpamheros nourissati sont généralement d’humeur neutre, cette espèce a un comportement calme voire presque placide, le caractère de ces cichlidés change seulement quand certaines conditions de maintenance de propres à cette espèce n’ont pas été respectées !

L’une de ces conditions particulière consiste tout simplement à offrir aux Wajpamheros nourissati un aquarium spacieux.

Wajpamheros nourissati aime bien vivre en présence d’autres Wajpamheros nourissati : un groupe de 6-8 individus est une bonne base de maintenance et pour l’élevage/reproduction de cette espèce.

Cependant, il faut éviter la maintenance d’un couple seul ou d’un trio qui serait source de disputes !

En effet, au sein d’un groupe constitué de 7-8 Wajpamheros nourissati, il sera intéressant de voir s’installer un classement hiérarchique entre ces poissons, c’est pourquoi tous les animaux ne présentent pas leurs plus belles couleurs : Les animaux dominants montrent leurs belles couleurs, mais ce n’est pas le cas des animaux subordonnés qui restent plus ternes face aux dominants.

Il faudra aussi surveiller l’attitude et la coloration de ces poissons surtout s’ils se retrouvent en présence de compagnons d’aquarium inadaptés pour eux, en tous les cas incompatibles avec leur caractère et comportement.

CARACTERE

Les Wajpamheros nourissati sont des cichlidés au tempérament et caractères plutôt calmes qui se comportent de façon assez neutre dans leur comportement en présence avec d’autres espèces : ce sont des poissons non agressifs et ne posant pas de problème relationnels avec les autres espèces.

Il n’y a vraiment qu’en période de reproduction que le comportement de cette espèce peut devenir légèrement territorial et agressif à l’égard des autres poissons qui pourraient s’en prendre au couvain et/ou futurs alevins.

Lorsque la maturité sexuelle arrive, l’agressivité intraspécifique augmente.

COHABITATION

Moyennant quelques précautions à prendre sur le choix des partenaires de bac de ces cichlidés, qui ne devront pas être des espèces trop agressives et intrusives, la cohabitation des Wajpamheros nourissati est relativement facile.

Wajpamheros nourissati vs Vieja.

De l’avis de certains éleveur, cette espèce serait assez territoriale et apprécie peu la présence d’intrus à proximité, en particulier quand il s’agit d’animaux au comportement similaire au sien.

Cependant, il faut savoir que la majeure partie de son temps, Wajpamheros nourissati ne se préoccupe guère des animaux non territoriaux qui évoluent dans le même environnement que lui…ce qui ne l’empêchera pas pour autant de répondre, si besoin manifeste, aux agressions !

Avec un bac bien agencé, la cohabitation avec d’autres espèces, y compris de cichlidés est une chose parfaitement possible.

ENVIRONNEMENT

Dans un contexte d’aquarium communautaire, il convient de maintenir cette espèce dans un volume minimum de 500 litres.

Wajpamheros nourissati peut montrer des signes d’agressivité.

En général, cette espèce ne doit pas être mélangée avec des espèces territoriales de grande taille ou d’autres espèces trop agressives, afin d’éviter un éventuel stress ou même des blessures.

Cependant, Wajpamheros nourissati peut coexister avec d’autres espèces au tempérament pacifique et avec certains voisins légèrement territoriaux, pour autant que le volume de l’aquarium le permette.

Il est important d’éviter que deux espèces territoriales partagent la même zone de vie dans un aquarium de volume insuffisant.

Comme énoncé précédemment, Wajpamheros nourissati est une espèce qui vit naturellement dans le courant.

Ainsi, la mise en place d’une filtration surdimensionnée (10 à 20 fois le volume du bac) afin de garantir un courant important et surtout une forte oxygénation est une bonne option.

Un système venturi (pompe à air + diffuseur) améliorera le taux d’oxygène dissous en période estivale.

DIFFICULTÉS DE MAINTENANCE

Wajpamheros nourissati est un terrassier dans un aquarium !

Comme souvent  chez les cichlidés, Wajpamheros nourissati a la particularité de creuser son territoire dans le sable…avec toutes conséquences bien connues que cela peut avoir, et par conséquent toutes les précautions que l’éleveur de ces poissons devra prendre pour assurer la maintenance de ces poissons dans un aquarium esthétique et sécurisé.

De ce fait, il est très fortement susceptible de déraciner les plantes, par conséquent, cette fâcheuse tendance limite le choix des décors avec des plantes qu’il modifiera irrémédiablement.

EAU

Wajpamheros nourissati est une espèce qui vit naturellement à une température comprise entre 26°C et 30°C.

Pour une bonne maintenance, la température du bac des Wajpamheros nourissati ne devrait jamais dépasser les 33°C sur de longues périodes.

  • pH : 7,0 – 7,5
  • Dureté : 10 -30°

La teneur en nitrates devrait rester inférieure à 50milligrammes/litre.

Pour garder une eau propre et non polluée, il faudra aussi assurer un renouvellement mensuel de 20% à 30% du volume d’eau.

ZONE DE VIE

Wajpamheros nourissati aime vivre près du fond des cours d’eau dans lesquels il évolue.

Son comportement sera similaire en aquarium, c’est pourquoi il faut privilégier pour cette espèce un aquarium d’au moins 2 mètres de longueur et de plus de 60 centimètres de largeur.

La hauteur d’eau sera normale.

La qualité de l’eau pour la maintenance de cette espèce doit etre irréprochable !

 

ALIMENTATION

EN MILIEU NATUREL

Comme cela a été évoqué précédemment, Wajpamheros nourissati, en fouillant le substrat, a montré qu’il était un tamiseur de sable et un prédateur opportuniste qui se nourrissait de toutes les petites proies qui se trouvaient à portée de sa bouche.

Wajpamheros nourissati trouve l’essentiel de sa nourriture sur et dans le substrat. C’est pourquoi le menu comprend des amphipodes de ruisseaux, des mysis, des moules, etc…mais pour autant, les aliments d’origine végétale ne sont pas ignorés !

En effet, Wajpamheros nourissati, comme Theraps irregularis, Chuco intermedium, Rheoheros lentiginosus et Paraneetroplus bulleri, fait partie de ces espèces qui se nourrissent de périphyton.

EN AQUARIUM

Dans l’aquarium aussi, ce poisson passe beaucoup de temps à filtrer le substrat.

Les Wajpamheros nourissati semblent aimer fouiller le substrat pour trouver des objets plus petits.

Il est donc possible de nourrir ces poissons avec une grande une variété d’aliments préparés tels que des bâtonnets Tetra Cichlid, des granulés Xtreme Big Fella, des granulés Dainichi Veggie Deluxe et New Life Spectrum

Suivant leur taille, les Wajpamheros nourissati accepteront aussi bien les gros granulés que les petits  pellets.

Les Wajpamheros nourissati peuvent facilement contracter des infections à cause d’une alimentation inappropriée.

Les crevettes (vivantes ou mortes) sont une bonne nourriture pour cette espèce qui accepte occasionnellement aussi les larves de moustique comme appoint de nourriture.

Les Wajpamheros nourissati  s’adaptent bien au différents types de nourriture sèche tels que des bâtonnets et des granulés…

Les nourritures coulantes peuvent être donnés à ces poissons qui aiment vivre près du fond de l’eau.

REGIME

Cette espèce de cichlidé est facile à maintenir car elle est parfaitement capable de manger toutes sortes d’aliments issus du commerce aquariophile ou adapté à l’aquariophilie mais il faut quand même faire attention aux aliments riches en protéines et aux trop grandes quantités de nourriture animale qui ne doivent pas constituer la part essentielle de l’alimentation de ces cichlidés.

Tous les types d’aliments peuvent être utilisés pour leur alimentation, mais il faut quand même être prudent, puisque ces poissons, surtout les sujets jeunes, sont un peu sensibles aux infections intestinales.

En prenant en compte ces informations, le régime alimentaire des Wajpamheros nourissati peut comprendre des crevettes et des larves de moustiques noires et blanches.

Différents types d’aliments secs tels que des barres et des pellets peuvent être donnés, de préférence ceux qui coulent rapidement.

Cette espèce peut être nourrie avec des aliments secs (paillettes, granulés), de la nourriture fraîche et de la nourriture congelée.

Pour éviter les carences, il est recommandé de varier les types de nourriture.

Wajpamheros nourissati est donc bien un omnivore.

Comme pour beaucoup de cichlidés, il faudra privilégier un rythme de distribution des repas de 3-4 fois par jour avec des quantités modérés car ces poissons tout le temps à l’affut de la moindre nourriture.

Comme pour la plupart des espèces, il est préférable de donner quelques petites portions chaque jour plutôt qu’un unique repas trop copieux.

Il convient de ne pas trop nourrir les Wajpamheros nourissati pour éviter de polluer l’eau.

AQUARIUM

Les Wajpamheros nourissati ne sont pas difficiles à entretenir, mais il faut bien savoir qu’ils réclament un bac de grande dimension !

En raison de leur timidité, les jeunes animaux doivent être gardés en groupe ou avec des bancs de poissons paisibles.

De plus, les animaux se sentent beaucoup plus à l’aise dans des conditions d’éclairage modérées, avec suffisamment de cachettes et moins de courant.

Il est possible de les garder avec un bac de plus de 2 mètres de longueur, avec un filtre, par exemple, un grand filtre de bassin externe.

Le bac de ces poissons aura pour principal substrat réalisé à base de sable aux bords pas trop anguleux ni tranchants.

Les températures du bac devront etre comprises dans une fourchette de 24 à 27°C, sachant que 26°C est la température moyenne.

La température de l’eau ne doit pas être inférieure trop longtemps à ces valeurs, surtout pour les jeunes animaux !

La base du décor se fera à partir de roches (galets) et comprendra en supplément quelques pots pour les rocailles en terre cuite qui serviront de grottes ou de cachettes en certaines occasions.

En fin de compte, une bonne filtration doit également être assurée, car ce sont des poissons qui peuvent réagir de manière assez sensible aux mauvaises valeurs de l’eau.

Lors de renouvellement d’eau, il faudra faire attention à remettre  de l’eau à la même température et éviter éventuellement de provoquer le stress en introduisant des poissons supplémentaires (Salmonidés, Poecilia spp. etc…).

La température de l’eau ne doit pas être inférieure à 26°C, surtout quand il s’agit de la maintenance des jeunes animaux dont une température trop faible ralentirait le métabolisme de croissance.

DECOR & AQUARIUM BIOTOPE

Un bon décor pour ces cichlidés est fait avec du sable au fond et divers rochers, qui sont placés de manière à créer des grottes et des cachettes.

PLANTES

Les plantes sont optionnelles dans les bacs réservés aux Wajpamheros nourissati.

Ce poisson a la particularité de creuser son territoire dans le sable.

De ce fait, il est susceptible de déraciner les plantes et de modifier en permanence son environnement.

ECLAIRAGE

Il faut également tenir compte de l’éclairage.

Celui-ci ne doit pas être trop lumineux, un éclairage tamisé est préférable.

La préférence est donnée à un éclairage pas trop fort ni brillant, n’éclairant pas la totalité, c’est-à-dire offrant des zones d’ombre en combinaison avec un décor de sable et divers rochers placés de manière à créer des grottes.

FILTRATION & OXYGENATION

Une bonne filtration et un bon régime de changement d’eau doivent également être assurés, car ce sont des poissons qui peuvent réagir de manière assez sensible aux mauvaises valeurs de l’eau.

Un bon filtrage doit également être assuré car ce sont des poissons assez sensibles qui peuvent réagir à de mauvaises valeurs d’eau.

Comme énoncé précédemment, Wajpamheros nourissati est une espèce qui vit naturellement dans le courant. Ainsi, nous conseillons la mise en place d’une filtration surdimensionnée (10 à 20 fois le volume du bac) afin de garantir un courant important et surtout une forte oxygénation.

Un système venturi améliorera le taux d’oxygène dissous en période estivale.

La teneur en nitrates devrait rester inférieure à 50 milligrammes/litre.

Pour garder une eau propre et non polluée, prévoyez un renouvellement mensuel de 20% à 30% du volume d’eau.

 

REFERENCES

ŘICAN, O., L. PIALEK, K. DRAGOVA é J. NOVAK , 2016. Diversité et évolution des poissons cichlidés d’Amérique centrale (Teleostei : Cichlidae) avec classification révisée. Vertèbre. Zool. 66(1):1-102. (Réf. 114771 )

 

ALLGAYER Robert ; 1989 ; “Révision et re description du genre Theraps Günther 1862. Description de deux espèces nouvelles du Mexique (Pisces, Perciformes, Cichlidae)”; Revue Française des Cichlidophiles ; pp. 4-30 (crc00144) 

 

STAWIKOWSKI, R. & U. WERNER. 1998. Die Buntbarsche Amerikas Groupe 1, Eugen Ulmer Verlag, page 489

 

ARTIGAS AZAS, Juan Miguel; 2005 ; « Amphilophus nourissati, le Mangeterre aux grandes lèvres du Mexique » ; Magazine d’actualités sur les cichlidés ; v.14; Non. 1; pp. 6-12 (crc00941).

 

FROESE, R. ET D. PAULY. ÉDITEURS. (2023). Base de poisson. Wajpamheros nourissati (ALLGAYER, 1989). Consulté via : Comité de rédaction de Marine Species Traits (2023).

Marine Species Traits sur :

https://www.marinespecies.org/traits/aphia.php?p=taxdetails&id=1524101  (2023-12-10)

 

Caractéristiques des espèces marines. Wajpamheros nourissati (ALLGAYER, 1989).

https://www.marinespecies.org/traits./aphia.php?p=taxdetails&id=1524101

 

ARAI, R. Y H. KOBAYASI, 1973. A chromosome study on thirteen species of Japanese gobiid fishes. Jap. J. Ichthyol. 20(1):1-6.

 

MCDOWALL, R.M., 1988. Diadromy in fishes: migrations between freshwater and marine environments. Croom Helm, Londres.

RIEDE, K., 2004. Global register of migratory species – from global to regional scales. Final Report of the R&D-Projekt 808 05 081. Federal Agency for Nature Conservation, Bonn, Alemania. 329 p.

 

VASILEV, V.P., 1980. Chromosome numbers in fish-like vertebrates and fish. J. Ichthyol. 20(3): 1-38.

 

WU, H.L., K.-T. SHAO Y C.F. LAI (eds.), 1999. Latin-Chinese dictionary of fishes names. The Sueichan Press, Taiwán.

 

YAMAZAKI, Y., S. HARAMOTO Y T. FUKASAWA, 2006. Habitat uses of freshwater fishes on the scale of reach system provided in small streams. Environ. Biol. Fish. 75:333-341.

 

ŘICAN, O., PIALEK, L., DRAGOVA, K. & NOVAK, J. (2016): Diversity and evolution of the Middle American cichlid fishes (Teleostei: Cichlidae) with revised classification. Vertebrate Zoology, 66 (1): 1-102.

 

CHRISTOPHER SCHARPF & KENNETH J. LAZARA (22 September 2018). “Order CICHLIFORMES: Family CICHLIDAE: Subfamily CICHLINAE (d-w)”. The ETYFish Project Fish Name Etymology Database. Christopher Scharpf and Kenneth J. Lazara. Retrieved 12 November 2018.

 

FROESE, RAINER & PAULY, DANIEL, eds. (2020). Species of Wajpamheros in FishBase. July 2020 version.

 

FROESE, R. & D. PAULY (éditeurs). (2023). Base de poisson. Publication électronique sur le World Wide Web. (02/2023). , disponible en ligne sur https://www.fishbase.org  [détails]  

 

Source écologique : LOOBY, A. ; ERBE, C. ; BRAVO, S. ; COX, K. ; DAVIES, HL; DI IORIO, L. ; JEZEQUE, Y. ; JUANES, F. ; MARTIN, CW; MOONEY, TA; RADFORD, C. ; REYNOLDS, LK ; RIZ, AN ; RIERA, A. ; ROUNTREE, R. ; SPRIE, B. ; STANLEY, J. ; VELA, S. ; PARSONS, MJG Caractère de comportement sonifère sous-marin inscrit au Registre mondial des espèces marines. (En préparation).  [détails]  

 

AUTRES LIENS

https://www.b-aqua.com/pages/fiche.aspx?id=310

https://www.nvcweb.nl/visbeschrijvingen/midden-amerika/wajpamheros-nourissati-allgayer-1989

https://akwa-mania.mud.pl/ryby-i-rosliny/atlas-ryb/ryby-w-2/wajpamheros-nourissati/

https://www.nvcweb.nl

https://alchetron.com/Wajpamheros-nourissati

https://aquainfo.nl/artikel/wajpamheros-nourissati/

https://youtu.be/wh4SXO2KGuA

https://youtu.be/m8OOqzuZBSs

https://www.dcg-allgaeu.com/Arten-Berichte-Mittelamerika/Wajpamheros-nourissati

http://philippe-burnel.fr/Photos/Astatheros_nourissati.html

[1] L’épithète démersal s’applique à un poisson vivant près du fond sans pour autant y vivre de façon permanente.

Le terme a été construit au XIXe siècle à partir du latin demersus, participe passé du verbe « demergere » qui signifie plonger.

[2] Un organisme épibenthique vit à la surface du substrat en zone benthique, mais il n’est pas un organisme fouisseur, car il serait alors qualifié d’endobenthique.

En milieu océanique, la totalité des actiniaires sont des êtres vivants de la zone épibenthique.

Laisser un commentaire