Amatitlania nanoluteus – 1ère partie

Amatitlania nanoluteus, ALLGAYER, 1994

Les cichlidés (Cichlidae) bénéficient d’un intérêt sans cesse croissant parmi les aquariophiles du monde entier en raison de leur coloration, de leur facilité de reproduction, de leur comportement et de leur diversité écologique.

Les cichlidés se trouvent principalement en Afrique et à Madagascar, en Amérique du Sud et centrale, à Cuba, en Inde, au Sri Lanka et en Asie mineure.

La plupart des espèces vivent dans les eaux douces des lacs, des ruisseaux et des rivières.

Chaque année, de nouvelles espèces ou variétés apparaissent dans nos aquariums.

Évidemment, c’est une évolution très positive qui encourage les amateurs de cichlidés à s’intéresser davantage à ce groupe de poissons.

Les espèces les plus populaires se trouvent dans les eaux sud-américaines (par exemple du genre Apistogramma, Geophagus, Pterophyllum, Satanoperca, Symphysodon).

Cette biodiversité permet à l’aquariophile de choisir une espèce en fonction de ses possibilités en termes de bassin et d’avancement en pisciculture.

Les taxons d’Amérique centrale sont moins connus et tout aussi intéressants.

Les cichlidés habitant cette région sont caractérisés par une grande variété en termes de coloration et de taille à motifs intéressants (par exemple, le plus grand cichlidé de cette région est Parachromis dovii, il atteint plus de 70 centimètres de longueur).

Ces poissons proviennent de nombreux biotopes différents, allant des lacs volcaniques de cratère aux rivières et ruisseaux à débit rapide, en passant par les environnements saumâtres.

Les espèces les plus populaires se trouvent dans les eaux sud-américaines (par exemple du genre Apistogramma, Geophagus, Pterophyllum, Satanoperca, Symphysodon…).

Les taxons d’Amérique centrale sont moins connus et tout aussi intéressants.

Les cichlidés habitant cette région sont caractérisés par une grande variété en termes de coloration et de taille à motifs intéressants (par exemple, le plus grand cichlidé de cette région est Parachromis dovii, atteignant plus de 70 cm de longueur).

Ces poissons proviennent de nombreux biotopes différents, allant des lacs volcaniques de cratère aux rivières et ruisseaux à débit rapide, en passant par les environnements saumâtres.

Amatitlania nanoluteus est un petit cichlidé, un cichlidé nain qui convient également aux petits aquariums en raison de sa petite taille.

Amatitlania nanoluteus

Amatitlania nanoluteus est un petit cichlidé, un cichlidé nain qui convient également aux petits aquariums en raison de sa petite taille.

Amatitlania nanoluteus

Avec sa belle couleur jaune doré, c’est un vrai bijou.

REPARTITION

DISTRIBUTION GEOGRAPHIQUE

C’est un petit perciforme appartenant à la famille des Cichlidae dont la provenance se situe à l’origine des zones côtières d’Amérique centrale.

Amatitlania  nanoluteus  » le cichlidé nain jaune » vit :

  • dans le bassin hydrographique du fleuve Guaramo (comme le Rio Guabo[1]) et ses petits affluents, tel que le Rio Peje Bobo.

Rio Peje Bobo

  • sur le versant atlantique de l’Ouest du Panama, dans la province côtière de Bocas del Toro. le Rio Guabo et ses petits affluents, le Rio Peje Bobo.

Rio Guabo

La localité type de cette espèce  est « Boca del Toro », le Río Guarumo, (Position : 9° 55′ à 9° 52’N, 82° 13’W), Chiriqui Grande District, au Panama.

Boca del Toro

 

Río Guarumo

Il faut savoir que cette espèce est endémique du bassin du fleuve Guarúmo et qu’Amatitlania nanoluteus se produit uniquement au Panama.

 

Drainage basins of lower Mesoamerica. 1, Rio San Juan; 2, Rio Tortuguero; 3, Rio Parismina; 4, Rio Matina; 5, Rio Sixaola; 6, Rio San San; 7, Rio Changuinola; 8, International Cuenca no. 91; 9, Rio Uyama; 10, Quebrada Cilico Creek and Quebrada Marin; 11, Rio Robalo; 12, Quebrada La Gloria; 13, Rio Guarumo; 14, Quebrada La Margarita; 15, Rio Guariviara; 16, Rio Cricamola; 17, Rio Canaveral; 18, International Cuenca no. 95; 19, Rio Calovebora; 20, International Cuenca no. 99; 21, Rio Veraguas; 22, International Cuenca no. 103; 23, Rio Cocle del Norte; 24, International Cuenca no. 107; 25, Rio Miguel de la Borda; 26, Rio Indio; 27, International Cuenca no. 113; 28, Rio Chagres; 29, Rio Piedras; 30, Rio Cuanche; 31, Rio Cascajal; 32, Rio Claro; 33, Rio Pina Pina; 34, Rio Frio; 35, Rio Cuango; 36, Rio Mandinga; 37, International Cuenca no. 121; 38, Rio Azucar; 39, Rio Playon Chico; 40, Rio Cuadi; 41, Rio Acla; 42, Rios of the Nicoya Peninsula; 43, Rio Tempisque; 44, Rio Bebedero; 45, Rio Barranca; 46, Rio Tarcoles; 47, Rio Pirris; 48, Rio Terraba; 49, Rio Coto; 50, Rio Palo Blanco; 51, Rio Chiriqui Viejo; 52, Rio Escarrea; 53, Rio Chico; 54, Rio Platanal; 55, Rio Chiriqui; 56, Rio Estero Salado; 57, Rio San Juan; 58, Rio San Felix; 59, Rio Santiago; 60, Rio Tabasara; 61, Rio Bubi; 62, Rio San Pablo; 63, Rio Cate; 64, Quebrada Seca; 65, Rio Santa Maria; 66, Rio San Pedro; 67, Rio Ponuga; 68, Rio Tebario; 69, Rio Pavo; 70, Rio Playita; 71, Rio Tonosi; 72, Rio Cana; 73, Rio Oria; 74, International Cuenca no. 126; 75, Rio Guarare; 76, Rio Honda; 77, Rio La Villa; 78, Rio Parita; 79, Rio Cocle del Sur; 80, Rio Chorrera; 81, Rio Estancia; 82, Rio Anton; 83, Rio Farallon; 84, Rio Chame; 85, Rio Sajalices; 86, Rio Capira; 87, Rio Caimito; 88, Rio Grande; 89, Rio Juan Diaz; 90, Rio Cabra; 91, Rio Pacora; 92, Rio Bayano; 93, International Cuenca no. 150; 94, Rio Lara; 95, Rio Tuira; 96, Rio Iglesia; 97, International Cuenca no. 160; 98, Rio Samba; 99, International Cuenca no. 164.

Amatitlania nanoluteus – Río Guarumo

Le territoire de Panama est né il y a 15 millions d’années d’un phénomène de subduction qui a créé un groupe d’îles.

Ces îles représentent aujourd’hui les péninsules d’Azuero et  de Burica.

La spécificité de ce territoire s’il est comparé à ses voisins est qu’il est issu de la collision des plaques des Caraïbes, de Nazca et celle de l’Amérique du Sud alors que les pays de l’isthme se sont créés par le contact de celle des Caraïbes et de celle de Cocos.

Entouré par la mer des Caraïbes, l’océan Pacifique, la Colombie (225 km de frontière) et le Costa Rica (330 km), le Panama est un pays d’Amérique centrale, situé à 9° nord et 80° ouest et s’étendant sur 78 640 km2.

Le canal de Panama permet aux bateaux de passer de l’océan Atlantique à l’océan Pacifique et inversement, sans devoir contourner le continent américain par le sud de l’Argentine.

MILIEU NATUREL

Une rivière d’approvisionnement d’un plus grand système est souvent plus étroite et ne fournit qu’un petit pourcentage de l’eau de surface totale de ce système.

Une telle rivière d’approvisionnement prend généralement sa source dans les montagnes grâce aux précipitations dans cette zone ou à une source.

Ainsi, presque tous les fleuves de cette partie du Panama sont situés à partir de la «Cordillera Central» ou de la «Cordillera de Talamanca».

Cordillera de Talamanca

Ces deux montagnes contiguës courent comme une épine dorsale à travers le pays.

Les fleuves coulent toujours en direction de l’océan Atlantique ou en direction de l’océan Pacifique.

L’eau de ces rivières d’approvisionnement est claire, incolore et alimentée en minéraux mais aussi en contaminants collectés et accumulés au cours de son trajet.

Dans les zones montagneuses, l’eau qui y coule est dur et la rivière est souvent peu profonde.

La structure pierreuse du sol garantit que l’eau absorbe une grande quantité de minéraux.

Le débit et la chute de l’eau assurent une forte absorption d’oxygène.

Lorsque cette eau arrive sur un terrain plus plat, le débit diminue et un certain nombre de minéraux et de contaminants absorbés, tels que les feuilles et les branches, se déposent.

Dans ces zones, il existe également souvent une structure de sol différente dans les zones les plus plates, à savoir une structure plus argileuse, de sorte que la végétation différente peut également être trouvée.

Plusieurs rivières convergent souvent à cet endroit, ce qui augmentera la largeur de la rivière.

Amatitlania  nanoluteus vit en eau douce à faibles courants.

Dans son habitat, certaines formes de Myriophyllum se développent.

L’eau de pluie s’infiltre pour former des lacs et des cours d’eau souterrains.

L’eau a une température comprise entre 24 et 27°C.

HABITAT

Amatitlania nanoluteus habite des cours d’eau et des rivières de basse altitude à débit modéré à rapide, bien oxygéné, dont le pH varie entre 5,4 et 8,0 et une température de 22 à 31°C (71,6 à 87,8°F), tandis que la conductivité mesurée dans ce type d’habitat était de 600 µS.

Les substrats peuvent être composés de boue ouverte ou de sable, ou parsemés de rochers de tailles variables selon la localité, alors que les plantes aquatiques n’ont pas été observées.

Amatitlania  nanoluteus évolue généralement à proximité du fond des rivières et des ruisseaux.

Il se vit de manière sympatrique avec le cichlidé « bagnard », « Amatitlania nigrofasciata », mais aussi avec d’autres poissons, tels que :

  • Amphilophus bussingi ;
  • Tomocichla sp ;
  • Agonostomus monticola ;
  • Astyanax fasciatus ;
  • Awaous tajasica ;
  • Arcos nudus ;
  • Sicydium sp.

Amatitlania  nanoluteus est, rappelons-le, un endémique du Panama, qui habite les habitats typiques d’Amérique centrale des ruisseaux et des rivières avec des fonds sableux, des roches et des feuilles : il s’adapte facilement à un certain nombre de milieux aquatiques différents.

TAXONOMIE

HISTORIQUE

Amatitlania est un genre de poissons cichlidés d’Amérique centrale principalement présent au Panama, parfois au Salvador et au Guatemala.

Comme cela a été évoqué, le genre est étroitement lié à Archocentrus et Cryptoheros, et contient d’autres cichlidés qui étaient auparavant placés dans ces genres.

Découvert pour la première fois par les « Killifishers » allemands, WASSMANN, ETZEL & BIRKHAN en 1992.

Robert ALLGAYER

Amatitlania nanoluteus a été redécouvert par ALLGAYER en 1994 qui l’a décrit.

Jean Claude NOURRISAT

Il a ensuite été introduit dans le monde aquariophile par Jean-Claude NOURISSAT, un passionné des cichlidés, à la suite de sa pêche dans le réseau fluvial du côté atlantique du Panama.

Jean-Claude NOURISSAT,Les spécimens types d’Amatitlania nanoluteus ont été prélevés dans les rivières Guarumo, Peje Bobo et Guabo Ri.

Le genre a été fixé par Juan SCHMITTER-SOTO en 2007 sur la base d’une étude du complexe Archocentrus.

Juan SCHMITTER-SOTO

Cependant, une étude menée en 2008 par Oldrich RICAN a suggéré, à son tour que toutes les espèces de Cryptoheros et Amatitlania devraient être déplacées dans le genre Hypsophrys.

Oldrich RICAN

Selon NCBI (21 janvier 2020), le genre Hypsophrys comprend actuellement :

  • Hypsophrys nematopus ;
  • Hypsophrys nicaraguensis ;
  • Hypsophrys unimaculatus.

Ces affirmations mettent en évidence, une fois encore que la taxonomie est toujours aussi controversée…cela n’est pas terminé !

Selon la dernière révision de DRAGOVA et Al (2016), ce cichlidé nain a été classé définitivement comme Amatitlania  nanoluteus.

CLASSIFICATION

  • Ordre : Perciformes
  • Sous-ordre : Cichlasomatinae
  • Famille : Cichlidae
  • Genre : Amatitlania
  • Espèce : nanoluteus

Cette espèce est également appelée « Le nain jaune » sûrement dû à la couleur jaunâtre que prend ce poisson lorsqu’il se reproduit.

Paratypes : MNHN 1993-0261–0263 (3, 52–62 mm SL).

RAPPEL SUR LES …..

Il existe actuellement 9 espèces d’Amatitlania reconnues dans ce genre :

  • Amatitlania nanoluteus  – ALLGAYER, 1994 ;
  • Amatitlania septemfasciata – REGAN, 1908 ;
  • Amatitlania kanna – SCHMITTER-SOTO, 2007 ;
  • Amatitlania myrnae – LOISELLE, 1997 ;
  • Amatitlania sajica – BUSSING, 1974 ;
  • Amatitlania coatepeque – SCHMITTER-SOTO, 2007 ;
  • Amatitlania nigrofasciata – GUNTHER, 1867 (Cichlidé condamné/bagnard) ;
  • Amatitlania siquia – SCHMITTER-SOTO, 2007 (Cichlidé hondurien à point rouge);
  • Amatitlania altoflava – ALLGAYER, 2001.

NOMS

NOM COMMUNS

  • Guabo cichlid ;
  • Yellow Convict Cichlid

SYNONYMES

  • Archocentrus nanoluteus – ALLGAYER, 1994
  • Cichlasoma nanoluteum – ALLGAYER, 1994
  • Cryptoheros nanoluteus – ALLGAYER, 1994

ETHYMOLOGIE

Amatitlania  nanoluteus  a été décrite pour la première fois en 1994 par ALLGAYER.

« Cryptoheros » est un dérivé de « Crypto » qui signifie « caché » ou « sournois ».

« Heros » est le genre commun donné aux cichlidés sud-américains.

Ce poisson, Amatitlania nanoluteus, est également connu sous son synonyme « Archocentrus nanoluteus ».

Le nom du genre est nommé d’après le type d’emplacement de ce genre.

En effet :

  • « Amatitlán » signifie un lieu d’abondance d’Amate[2] dans la région «Nahuatl[3]».

papier d’Amate avec motif aztèque Maya.

L’amate est un type de papier fabriqué à partir de l’écorce du Ficus petiolaris ou du Ficus indica.

  • « Nano » signifie « petit » en latin.
  • « Luteus » signifie jaune.

REFERENCES

LITTERATURE

ALLGAYER, Robert. 1994. « Description d’une nouvelle espèce du genre Archocentrus Gill & Bransford 1877 (Poissons: Cichlidae) du Panama ». Revue Française des Cichlidophiles. pp. 6-24

ALLGAYER, Robert. 2001. « Description d’un Nouveau Genre, Cryptoheros, Amérique Centrale et une Nouvelle Espèce du Panama (Poissons: Cichlidae) ». Lan Cichlidé. v.1/2001 pp 13-20

Reis, RE, SO KULLANDER et CJ FERRARIS, Jr. (eds) , 2003, Check list of the freshwater fishes of South and Central America. CLOFFSCA, EDIPUCRS, Porto Alegre.: I-xi + 1-729

ŘICAN, OLDRICH et L. PIALEK, K. DRAGOVA et J. NOVAK. 2016. «Diversité et évolution des poissons cichlidés d’Amérique centrale (Teleostei: Cichlidae) avec classification révisée». Zoologie des vertébrés. v. 66 (n. 1), pp. 1 – 102

ŘICAN, O., L. PIALEK, K. DRAGOVA et J. NOVAK, 2016. Diversité et évolution des poissons cichlidés d’Amérique centrale (Teleostei: Cichlidae) avec classification révisée. Verteb. Zool. – Département de zoologie, Faculté des sciences, Université de Bohême du Sud

KULLANDER, SO, 2003. Cichlidés (cichlidés). P. 605-654. Dans RE REIS, SO KULLANDER et CJ FERRARIS, Jr. (éd.) Liste de contrôle des poissons d’eau douce d’Amérique du Sud et d’Amérique centrale. Porto Alegre: EDIPUCRS, Brésil.

DRAGOVA et Al, 2016: Diversité et évolution des cichlidés d’Amérique centrale (Teleostei: Cichlidae) ■ avec classification révisée. Verteb. Zool. 66 (l): l-102 SCHMITTER-SOTO, 2007: Une révision systématique du genre Archocentrus (Perciformes: Cichlidae), avec la description de deux nouveaux genres et de six nouvelles espèces. Zootaxa 1603: 1-78.

 

VIDEO

https://youtu.be/Y2iOcBVbSG0https://youtu.be/1YgQD92ThLAhttps://youtu.be/WbBV8BAgX4Mhttps://youtu.be/7kIIsYoHUHkhttps://youtu.be/0Lb4bTqWgJshttps://www.facebook.com/video.php?v=1729954857229732&fref=nfhttps://youtu.be/dwGm_JyU8uchttps://youtu.be/hwn1EvROnuIhttps://youtu.be/R30-9Hq-fmYhttps://youtu.be/4bXKVDvFPDUhttps://youtu.be/zploddETvx0https://youtu.be/RIOWdo_9PqYhttps://youtu.be/8Bjd2LgKwlE

https://youtu.be/Y2iOcBVbSG0

https://youtu.be/1YgQD92ThLA

AUTRES LIENS

Aspect: Le cichlidé à tête jaune mesure environ 10 centimètres de long et fait donc partie des cichlidés de taille moyenne.

Les femelles restent généralement un peu plus petites que les mâles et la progéniture est généralement plus petite que la capture sauvage.

Un garçon manqué que j’ai vu dans une animalerie était au moins 15 centimètres beaucoup plus long que mon homme le plus grand et aussi beaucoup plus grand.

La couleur de base est un jaune légèrement délavé avec plusieurs taches noires sur le corps.

Les nageoires peuvent cependant être chassées le long d’un tronçon brillant. Je n’ai jamais vu de blessures.

Mes cichlidés à tête jaune sont associés à une femelle cichlidé Saj (Amatitlania sa- jica), à quelques cichlidés papillon boliviens (Mikrogeophagus altispinosus), à des chiots de Pérouse (Limia perugia) et à un petit groupe de tétras gicleurs (Copella arnoldi).

Les cichlidés à tête jaune sont pacifiquement désintéressés des tétras et des cadavres, les autres cichlidés sont brièvement effrayés, ce qui se passe sans dommage.

J’ai également été incapable d’observer la chasse active des jeunes oiseaux.

les câpres pourraient avoir de mauvaises expériences avec ces cichlidés.

Je garde les animaux dans l’eau du robinet de Düsseldorf plutôt dure sans aucun signe de problème, il n’est donc pas nécessaire de marteler les valeurs de l’eau par amour.

En attendant, je garde le groupe dans un aquarium 3751 d’une taille de 150x50x50 centimètres.

Pour un couple, j’estimerais pas moins d’un aquarium 1121, sauf peut-être à des fins de reproduction.

Mais l’attitude dans le groupe est plus excitante, car il y a toujours des batailles sur les classements.

Dans mon groupe, ces combats sont inoffensifs, il est menacé de nageoires ouvertes et de joues gonflées puis d’une alimentation courte, le cichlidé à tête jaune est plus de la variété simple, à condition qu’il ait la bonne taille.

Une grande variété d’aliments en flocons et granulés est consommée ainsi que des aliments congelés et vivants, bien que moins d’aliments soient consommés avec des composants végétaux.

 GLOSSAIRE

[1] Le Rio Guabo est un large fleuve qui prend sa source dans la «Cordillère de Talamanca» et se jette dans l’océan Atlantique.

C’est une rivière à débit peu rapide qui, à certains endroits, a élargi des zones où l’eau est presque complètement immobile.

La jungle luxuriante continue jusqu’au lit de la rivière, rendant la vue très belle.

Les berges descendent très progressivement et vous pouvez le voir à nouveau sous l’eau. La rivière n’est donc pas vraiment profonde, seulement environ 60 à 80 cm.

Dans certains endroits, il y a des forêts avec des herbes sur le lit, qui sont susceptibles d’être submergées à des niveaux d’eau élevés.

Le sol et le lit sont constitués de sable fin mélangé à du gravier fin. Ceci est parfois alterné avec des cailloux et des morceaux de bois tombés dans l’eau.

Des bancs de sable ont été créés à plusieurs endroits, où vous pouvez rencontrer le Cryptoheros nanoluteus.

En général, c’est un poisson assez timide que l’on ne peut pas approcher facilement, mais heureusement il se démarque d’autant plus par sa couleur jaune vif.

L’eau peu profonde est suffisamment claire pour cela, car vous pouvez voir sous l’eau jusqu’à 6 mètres sans encombre.

[2] Le papier d’Amate (de l’espagnol « papel amate », lui-même du nahuatl « amatl ») désigne une sorte de papier fabriqué à partir de fibres végétales, en usage dans les cultures mésoaméricaines.

Par extension il désigne aussi les livres ou codices fabriqués à partir de ce papier. Les Mayas utilisaient un mot qui leur était propre, « huun », qui, à l’instar du mot nahuatl, peut désigner le papier ou le livre1.

[3] Le nahuatl (/ˈnaːwatɬ/ Écouter), dont le nom dérive probablement du mot « nāhuatlahtōlli », ou mexicain5 est une macro-langue (groupe de langues apparentées) de la famille uto-aztèque.

Les différentes variétés de nahuatl sont parlées dans plusieurs pays d’Amérique du Nord et d’Amérique centrale, principalement dans certains États du centre et du sud du Mexique : Puebla, Veracruz, Hidalgo et Guerrero.

On recense actuellement plus de 2 millions de locuteurs nahuatl, dont la majorité sont des Nahuas mexicains.

C’est la langue indigène la plus parlée au Mexique.

[4] Un lectotype est un spécimen sélectionné plus tard pour servir de spécimen de type unique pour des espèces décrites à l’origine à partir d’un ensemble de syntypes.

En zoologie, un lectotype est une sorte de type portant le nom. Lorsqu’une espèce a été décrite à l’origine sur la base d’un nom portant plusieurs spécimens, l’un d’entre eux peut être désigné comme lectotype.

Le fait d’avoir un seul nom portant un bi-nom réduit le risque de confusion, d’autant plus qu’il n’est pas rare qu’une série de syntypes contiennent des spécimens de plus d’une espèce.

[5] Symphisial : Qualifie un assemblage de parties ou de structures, telles que deux surfaces osseuses reliées par une couche intermédiaire de cartilage fibreux

[6] Pédoncule : Pièce allongée ou tige reliant un petit organe terminal à l’ensemble du corps, comme les pédoncules des yeux des crabes, le sporange de la moisissure blanche du pain, etc.

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