Krobia guianensis – Article n°5 : Reproduction & conservation

Krobia guianensis – REGAN, 1905 Le genre ” Krobia “ a été instauré par KULLANDER & NIJSSEN (1989) pour recueillir deux espèces de cichlidés issus des bassins versants atlantiques des Guyanes, précédemment classées dans ” Aequidens ” (EIGENMANN & BRAY), à savoir : Krobia guianensis (REGAN) du bassin d’Essequibo en Guyane ; Krobia itanyi (PUYO) du bassin du Maroni au Suriname et en Guyane française. KULLANDER & NIJSSEN (1989) avaient également signalé deux autres espèces non décrites de Guyane française, et au fil du temps, d’autres espèces avaient également été signalées dans le bassin hydrographique inférieur de l’Amazone. C’est en 1989 que le genre de cichlidés sud-américain ” Krobia ” (KULLANDER & NIJSSEN) devient enfin officiellement et taxonomiquement un membre de la tribu des ” Cichlasomatini ” (SMITH & Al. 2008; LOPEZ-FERNANDEZ & Al. 2010). Krobia guianensis. Ce genre a été érigé pour inclure une espèce du genre Acara (HECKEL, 1840), à savoir ” Acara guianensis ” (REGAN, 1905) et une espèce du genre Aequidens (EIGENMANN & BRAY 1894), à savoir, ” Aequidens itanyi ” (PUYO, 1943), toutes deux provenaient de rivières drainant le bouclier guyanais (KULLANDER & NIJSSEN 1989; KULLANDER 2012). En 2012, KULLANDER a décrit une nouvelle espèce « Krobia xinguensis » issue du bassin du fleuve Xingu, un affluent sud du fleuve Amazone dans le Bouclier brésilien, et, en dernier lieu, ce sont  STEELE & AL. qui, en 2013, ont décrit finalement « Krobia petiteella » en provenance du bassin du fleuve Berbice dans le nord-est de la Guyane. On sait aujourd’hui encore que d’autres espèces sont non décrites et existent non seulement en Guyane française, mais aussi au Brésil, dans le Rio Jari et dans le Rio paru ainsi que dans plusieurs affluents atlantiques dans l’Etat d’Amapá (Rio Amapa Grande, Rio Caçiporé, Rio Araguari)… Krobia guianensis, (more…)

Krobia guianensis – Article n°4 : Dimorphisme, comportement, eau, alimentation et aquarium

Krobia guianensis – REGAN, 1905 Le genre ” Krobia “ a été instauré par KULLANDER & NIJSSEN (1989) pour recueillir deux espèces de cichlidés issus des bassins versants atlantiques des Guyanes, précédemment classées dans ” Aequidens ” (EIGENMANN & BRAY), à savoir : Krobia guianensis (REGAN) du bassin d’Essequibo en Guyane ; Krobia itanyi (PUYO) du bassin du Maroni au Suriname et en Guyane française. KULLANDER & NIJSSEN (1989) avaient également signalé deux autres espèces non décrites de Guyane française, et au fil du temps, d’autres espèces avaient également été signalées dans le bassin hydrographique inférieur de l’Amazone. C’est en 1989 que le genre de cichlidés sud-américain ” Krobia ” (KULLANDER & NIJSSEN) devient enfin officiellement et taxonomiquement un membre de la tribu des ” Cichlasomatini ” (SMITH & Al. 2008; LOPEZ-FERNANDEZ & Al. 2010). Krobia guianensis. Ce genre a été érigé pour inclure une espèce du genre Acara (HECKEL, 1840), à savoir ” Acara guianensis ” (REGAN, 1905) et une espèce du genre Aequidens (EIGENMANN & BRAY 1894), à savoir, ” Aequidens itanyi ” (PUYO, 1943), toutes deux provenaient de rivières drainant le bouclier guyanais (KULLANDER & NIJSSEN 1989; KULLANDER 2012). En 2012, KULLANDER a décrit une nouvelle espèce « Krobia xinguensis » issue du bassin du fleuve Xingu, un affluent sud du fleuve Amazone dans le Bouclier brésilien, et, en dernier lieu, ce sont  STEELE & AL. qui, en 2013, ont décrit finalement « Krobia petiteella » en provenance du bassin du fleuve Berbice dans le nord-est de la Guyane. On sait aujourd’hui encore que d’autres espèces sont non décrites et existent non seulement en Guyane française, mais aussi au Brésil, dans le Rio Jari et dans le Rio paru ainsi que dans plusieurs affluents atlantiques dans l’Etat d’Amapá (Rio Amapa Grande, Rio Caçiporé, Rio Araguari)… Krobia guianensis, (more…)

Krobia guianensis – Article n°3 : Description

Krobia guianensis – REGAN, 1905 Le genre ” Krobia “ a été instauré par KULLANDER & NIJSSEN (1989) pour recueillir deux espèces de cichlidés issus des bassins versants atlantiques des Guyanes, précédemment classées dans ” Aequidens ” (EIGENMANN & BRAY), à savoir : Krobia guianensis (REGAN) du bassin d’Essequibo en Guyane ; Krobia itanyi (PUYO) du bassin du Maroni au Suriname et en Guyane française. KULLANDER & NIJSSEN (1989) avaient également signalé deux autres espèces non décrites de Guyane française, et au fil du temps, d’autres espèces avaient également été signalées dans le bassin hydrographique inférieur de l’Amazone. C’est en 1989 que le genre de cichlidés sud-américain ” Krobia ” (KULLANDER & NIJSSEN) devient enfin officiellement et taxonomiquement un membre de la tribu des ” Cichlasomatini ” (SMITH & Al. 2008; LOPEZ-FERNANDEZ & Al. 2010). Krobia guianensis. Ce genre a été érigé pour inclure une espèce du genre Acara (HECKEL, 1840), à savoir ” Acara guianensis ” (REGAN, 1905) et une espèce du genre Aequidens (EIGENMANN & BRAY 1894), à savoir, ” Aequidens itanyi ” (PUYO, 1943), toutes deux provenaient de rivières drainant le bouclier guyanais (KULLANDER & NIJSSEN 1989; KULLANDER 2012). En 2012, KULLANDER a décrit une nouvelle espèce « Krobia xinguensis » issue du bassin du fleuve Xingu, un affluent sud du fleuve Amazone dans le Bouclier brésilien, et, en dernier lieu, ce sont  STEELE & AL. qui, en 2013, ont décrit finalement « Krobia petiteella » en provenance du bassin du fleuve Berbice dans le nord-est de la Guyane. On sait aujourd’hui encore que d’autres espèces sont non décrites et existent non seulement en Guyane française, mais aussi au Brésil, dans le Rio Jari et dans le Rio paru ainsi que dans plusieurs affluents atlantiques dans l’Etat d’Amapá (Rio Amapa Grande, Rio Caçiporé, Rio Araguari)… Krobia guianensis, (more…)

Krobia guianensis – Article n°2 : Taxonomie & Noms

Krobia guianensis – REGAN, 1905 Le genre ” Krobia “ a été instauré par KULLANDER & NIJSSEN (1989) pour recueillir deux espèces de cichlidés issus des bassins versants atlantiques des Guyanes, précédemment classées dans ” Aequidens ” (EIGENMANN & BRAY), à savoir : Krobia guianensis (REGAN) du bassin d’Essequibo en Guyane ; Krobia itanyi (PUYO) du bassin du Maroni au Suriname et en Guyane française. KULLANDER & NIJSSEN (1989) avaient également signalé deux autres espèces non décrites de Guyane française, et au fil du temps, d’autres espèces avaient également été signalées dans le bassin hydrographique inférieur de l’Amazone. C’est en 1989 que le genre de cichlidés sud-américain ” Krobia ” (KULLANDER & NIJSSEN) devient enfin officiellement et taxonomiquement un membre de la tribu des ” Cichlasomatini ” (SMITH & Al. 2008; LOPEZ-FERNANDEZ & Al. 2010). Krobia guianensis. Ce genre a été érigé pour inclure une espèce du genre Acara (HECKEL, 1840), à savoir ” Acara guianensis ” (REGAN, 1905) et une espèce du genre Aequidens (EIGENMANN & BRAY 1894), à savoir, ” Aequidens itanyi ” (PUYO, 1943), toutes deux provenaient de rivières drainant le bouclier guyanais (KULLANDER & NIJSSEN 1989; KULLANDER 2012). En 2012, KULLANDER a décrit une nouvelle espèce « Krobia xinguensis » issue du bassin du fleuve Xingu, un affluent sud du fleuve Amazone dans le Bouclier brésilien, et, en dernier lieu, ce sont  STEELE & AL. qui, en 2013, ont décrit finalement « Krobia petiteella » en provenance du bassin du fleuve Berbice dans le nord-est de la Guyane. On sait aujourd’hui encore que d’autres espèces sont non décrites et existent non seulement en Guyane française, mais aussi au Brésil, dans le Rio Jari et dans le Rio paru ainsi que dans plusieurs affluents atlantiques dans l’Etat d’Amapá (Rio Amapa Grande, Rio Caçiporé, Rio Araguari)… Krobia guianensis, (more…)

Krobia guianensis – Article n°1 : Répartition & Biotope

Krobia guianensis – REGAN, 1905

Le genre ” Krobia “ a été instauré par KULLANDER & NIJSSEN (1989) pour recueillir deux espèces de cichlidés issus des bassins versants atlantiques des Guyanes, précédemment classées dans ” Aequidens ” (EIGENMANN & BRAY), à savoir :

  • Krobia guianensis (REGAN) du bassin d’Essequibo en Guyane ;
  • Krobia itanyi (PUYO) du bassin du Maroni au Suriname et en Guyane française.

KULLANDER & NIJSSEN (1989) avaient également signalé deux autres espèces non décrites de Guyane française, et au fil du temps, d’autres espèces avaient également été signalées dans le bassin hydrographique inférieur de l’Amazone.

C’est en 1989 que le genre de cichlidés sud-américain ” Krobia ” (KULLANDER & NIJSSEN) devient enfin officiellement et taxonomiquement un membre de la tribu des ” Cichlasomatini ” (SMITH & Al. 2008; LOPEZ-FERNANDEZ & Al. 2010).

Krobia guianensis.

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Wajpamheros nourissati – Article n°3 : Reproduction & conservation

Wajpamheros nourissati – ALLGAYER, 1989

Les cichlidés sont considérés comme parmi les plus diversifiés au monde.

Cette famille de poissons magnifiques est composée de 251 genres et 1727 espèces valides qui sont répartis dans divers milieux aquatiques en Afrique, au Moyen-Orient, en Inde du Sud, en Amérique centrale et du Sud (FRICKE & AL. 2021), c’est un groupe « modèle » au sein de la biologie.

C’est une famille de poissons qui évolue et on considère que leur diversification est favorisée par la répartition des ressources, notamment de l’habitat et de la nourriture ce qui explique certainement une partie des problèmes taxonomiques et systématiques pour certains groupes de cichlidés mésoaméricains, dus à des changements fréquents dans leur classification dus à la grande variation morphologique et au faible signal phylogénétique des caractères diagnostiques.

Parmi les espèces qui ont connu le plus de changements taxonomiques et de classification figure le clade Theraps-Paraneetroplus, apparu il y a environ 7,3 millions d’années (MILLER & AL. 2009 ; RTOAN & AL. 2016).

Ce groupe de poissons est composé de 25 espèces, appartenant à 10 genres, dont la répartition couvre les bassins hydrologiques de Papaloapan, Coatzacoalcos, Grijalva et Usumacinta, atteignant même la partie nord du Belize.

Chez les cichlidés mésoaméricains, certaines caractéristiques morphologiques sont considérées comme convergentes, car les espèces qui ne partagent pas le même ancêtre présentent des formes corporelles et des structures trophiques similaires.

La similitude morphologique de certaines espèces du clade Theraps-Paraneetroplus a permis une classification écomorphologique, où la morphologie peut être liée au type d’habitat où elles se trouvent comme lotique (espèces à corps allongé et pédoncule caudal) et lentique (poissons) avec un corps grand et une nageoire caudale courte).

Au sein de ce clade Theraps-Paraneetroplus, une espèce se distingue particulièrement, en effet, sur la base des caractéristiques associées à l’habitat et à l’alimentation, Wajpamheros nourissati est sans contestation possible l’espèce la plus différente et atypique de toutes.

En outre, il faut aussi savoir que dans le milieu aquariophile, Wajpamheros nourissati est un poissons peu présent dans les aquariums…

A découvrir, donc !

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Wajpamheros nourissati – Article n°2 : Dimorphisme, alimentation, aquarium et comportement

Wajpamheros nourissati – ALLGAYER, 1989

Les cichlidés sont considérés comme parmi les plus diversifiés au monde.

Cette famille de poissons magnifiques est composée de 251 genres et 1727 espèces valides qui sont répartis dans divers milieux aquatiques en Afrique, au Moyen-Orient, en Inde du Sud, en Amérique centrale et du Sud (FRICKE & AL. 2021), c’est un groupe « modèle » au sein de la biologie.

C’est une famille de poissons qui évolue et on considère que leur diversification est favorisée par la répartition des ressources, notamment de l’habitat et de la nourriture ce qui explique certainement une partie des problèmes taxonomiques et systématiques pour certains groupes de cichlidés mésoaméricains, dus à des changements fréquents dans leur classification dus à la grande variation morphologique et au faible signal phylogénétique des caractères diagnostiques.

Parmi les espèces qui ont connu le plus de changements taxonomiques et de classification figure le clade Theraps-Paraneetroplus, apparu il y a environ 7,3 millions d’années (MILLER & AL. 2009 ; RTOAN & AL. 2016).

Ce groupe de poissons est composé de 25 espèces, appartenant à 10 genres, dont la répartition couvre les bassins hydrologiques de Papaloapan, Coatzacoalcos, Grijalva et Usumacinta, atteignant même la partie nord du Belize.

Chez les cichlidés mésoaméricains, certaines caractéristiques morphologiques sont considérées comme convergentes, car les espèces qui ne partagent pas le même ancêtre présentent des formes corporelles et des structures trophiques similaires.

La similitude morphologique de certaines espèces du clade Theraps-Paraneetroplus a permis une classification écomorphologique, où la morphologie peut être liée au type d’habitat où elles se trouvent comme lotique (espèces à corps allongé et pédoncule caudal) et lentique (poissons) avec un corps grand et une nageoire caudale courte).

Au sein de ce clade Theraps-Paraneetroplus, une espèce se distingue particulièrement, en effet, sur la base des caractéristiques associées à l’habitat et à l’alimentation, Wajpamheros nourissati est sans contestation possible l’espèce la plus différente et atypique de toutes.

En outre, il faut aussi savoir que dans le milieu aquariophile, Wajpamheros nourissati est un poissons peu présent dans les aquariums…

A découvrir, donc !

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Wajpamheros nourissati – Article n°1 : Répartition, Noms et Description

Wajpamheros nourissati – ALLGAYER, 1989

Les cichlidés sont considérés comme parmi les plus diversifiés au monde.

Cette famille de poissons magnifiques est composée de 251 genres et 1727 espèces valides qui sont répartis dans divers milieux aquatiques en Afrique, au Moyen-Orient, en Inde du Sud, en Amérique centrale et du Sud (FRICKE & AL. 2021), c’est un groupe « modèle » au sein de la biologie.

C’est une famille de poissons qui évolue et on considère que leur diversification est favorisée par la répartition des ressources, notamment de l’habitat et de la nourriture ce qui explique certainement une partie des problèmes taxonomiques et systématiques pour certains groupes de cichlidés mésoaméricains, dus à des changements fréquents dans leur classification dus à la grande variation morphologique et au faible signal phylogénétique des caractères diagnostiques.

Parmi les espèces qui ont connu le plus de changements taxonomiques et de classification figure le clade Theraps-Paraneetroplus, apparu il y a environ 7,3 millions d’années (MILLER & AL. 2009 ; RTOAN & AL. 2016).

Ce groupe de poissons est composé de 25 espèces, appartenant à 10 genres, dont la répartition couvre les bassins hydrologiques de Papaloapan, Coatzacoalcos, Grijalva et Usumacinta, atteignant même la partie nord du Belize.

Chez les cichlidés mésoaméricains, certaines caractéristiques morphologiques sont considérées comme convergentes, car les espèces qui ne partagent pas le même ancêtre présentent des formes corporelles et des structures trophiques similaires.

La similitude morphologique de certaines espèces du clade Theraps-Paraneetroplus a permis une classification écomorphologique, où la morphologie peut être liée au type d’habitat où elles se trouvent comme lotique (espèces à corps allongé et pédoncule caudal) et lentique (poissons) avec un corps grand et une nageoire caudale courte).

Au sein de ce clade Theraps-Paraneetroplus, une espèce se distingue particulièrement, en effet, sur la base des caractéristiques associées à l’habitat et à l’alimentation, Wajpamheros nourissati est sans contestation possible l’espèce la plus différente et atypique de toutes.

En outre, il faut aussi savoir que dans le milieu aquariophile, Wajpamheros nourissati est un poissons peu présent dans les aquariums…

A découvrir, donc !

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Les Astronotus – Article n°13 – Conservation

ASTRONOTUS OCELLATUS – AGASSIZ, 1831

Le cichlidé, vedette de cet article, est bien connu de tous les aquariophiles car il rappelle beaucoup de souvenirs à ceux qui l’ont élevé au moins une fois dans leur vie aquariophile…

Faire un article ou plutôt une série d’articles sur un cichlidé aussi connu dans le monde de l’aquariophilie est une forme de défi, une gageure car tant d’amateurs et de professionnels ont déjà écrit à son sujet.

En effet, Astronotus ocellatus est un grand classique de l’aquariophilie et c’est tout aussi vrai qu’il n’existe que peu de cichlidophiles qui n’aient jamais maintenu ce cichlidé qui ne laisse indifférent sur aucun point car il répond à de nombreux critères qui font de lui un incontournable.

En outre, Astronotus ocellatus est certainement le cichlidé américain qui plaira sûrement à tous les aquariophiles qui adhèrent au principe selon lequel « tout ce qui est grand est beau ».

Astronotus ocellatus de la famille des Cichlidae est l’un des poissons d’ornement d’eau douce les plus populaires et les plus beaux au monde.

Quel aquariophile ne connaît pas ces géants du genre Astronotus, qui, grâce à leurs yeux en soucoupe et malgré leur taille de 30-40 centimètres, ont réussi à s’assurer une place permanente dans l’aquarium et ont même reçu le titre, rare chez les poissons, « d’animal de compagnie » !

Il est très intéressant pour les aquariophiles en raison de sa couleur unique, de son comportement de combat, de ses mouvements et de sa parade…

Quand on parle d’Astronotus ocellatus, on évoque un poisson qui est présent dans le monde de l’aquariophilie depuis plus de 90 ans d’expérience ce qui en fait l’une des espèces d’aquarium le plus classiques.

Astronotus ocellatus a été scientifiquement décrit dès 1829, et c’est à des fins d’aquariophilie qu’il a été introduit en Europe, exactement cent ans plus tard.

Grace à son apparence impressionnante, à sa douceur relative et à sa facilité d’élevage et d’élevage, il est rapidement devenu très populaire parmi le nombre croissant d’amateurs aquariophiles.

Il n’est donc pas étonnant que ces cichlidés aient pris une part importante et permanente dans les aquariums, et l’intérêt pour ces poissons a également augmenté des lors que les premières variétés d’élevage, chargées de couleurs et avec une apparence beaucoup plus attrayante que les spécimens originaux ont été mise sur le marché.

Jusqu’à présent, bon nombre de leurs variétés de couleurs ont été obtenues, en plus, très probablement, elles ont été utilisées pour obtenir plusieurs “espèces” élevées artificiellement, telles que les fameux mais horribles et difformes “FLowerhorns“.

A l’origine, Astronotus ocellatus est un cichlidé originaire d’Amérique du sud, on le trouve dans les eaux de l’Amazone, du Paraná, du Rio Paraguay et du Rio Negro.

Actuellement et bien malheureusement par bien des aspects, les Astronotus ocellatus sont présents et répandus dans de nombreuses régions du monde, par exemple, en Extrême-Orient, ils font partie des poissons d’aquarium préférés et sont conservés à la fois dans les aquariums domestiques et dans les bacs d’entreprise et publiques.

Leur charme est évident, ces cichlidés ne peuvent pas laisser indifférents un mateur en quête d’acheter un bel animal, même parmi la grande variété de poissons dans une animalerie moderne.

Les Astronotus ocellatus adultes attirent l’attention par leur taille et la fluidité de leurs mouvements, ils sont majestueux !

Leur regard ne laisse pas non plus insensible, en effet, il y a peu de poissons d’aquarium avec des yeux aussi expressifs et d’un regard ou un instant passé à les observer dans leur bac de vente, sans surprise, le désir d’acheter ce superbe cichlidé surgit instantanément.

Pourtant, s’il faut retenir quelque chose de la maintenance de ce cichlidé, c’est la patience !

Un achat inconsidéré risque de se solder par la mort de ces merveilleux poissons.

 Cet article, si long soit-il, aidera les futurs propriétaires d’Astronotus ocellatus à éviter les erreurs les plus courantes qui sont faites lors de l’acquisition de ces animaux, il les guidera dans l’entretien et l’élevage de ces dignes animaux d’aquarium.

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Les Astronotus – Article n°12 – Reproduction (2/2)

ASTRONOTUS OCELLATUS – AGASSIZ, 1831

Le cichlidé, vedette de cet article, est bien connu de tous les aquariophiles car il rappelle beaucoup de souvenirs à ceux qui l’ont élevé au moins une fois dans leur vie aquariophile…

Faire un article ou plutôt une série d’articles sur un cichlidé aussi connu dans le monde de l’aquariophilie est une forme de défi, une gageure car tant d’amateurs et de professionnels ont déjà écrit à son sujet.

En effet, Astronotus ocellatus est un grand classique de l’aquariophilie et c’est tout aussi vrai qu’il n’existe que peu de cichlidophiles qui n’aient jamais maintenu ce cichlidé qui ne laisse indifférent sur aucun point car il répond à de nombreux critères qui font de lui un incontournable.

En outre, Astronotus ocellatus est certainement le cichlidé américain qui plaira sûrement à tous les aquariophiles qui adhèrent au principe selon lequel « tout ce qui est grand est beau ».

Astronotus ocellatus de la famille des Cichlidae est l’un des poissons d’ornement d’eau douce les plus populaires et les plus beaux au monde.

Quel aquariophile ne connaît pas ces géants du genre Astronotus, qui, grâce à leurs yeux en soucoupe et malgré leur taille de 30-40 centimètres, ont réussi à s’assurer une place permanente dans l’aquarium et ont même reçu le titre, rare chez les poissons, « d’animal de compagnie » !

Il est très intéressant pour les aquariophiles en raison de sa couleur unique, de son comportement de combat, de ses mouvements et de sa parade…

Quand on parle d’Astronotus ocellatus, on évoque un poisson qui est présent dans le monde de l’aquariophilie depuis plus de 90 ans d’expérience ce qui en fait l’une des espèces d’aquarium le plus classiques.

Astronotus ocellatus a été scientifiquement décrit dès 1829, et c’est à des fins d’aquariophilie qu’il a été introduit en Europe, exactement cent ans plus tard.

Grace à son apparence impressionnante, à sa douceur relative et à sa facilité d’élevage et d’élevage, il est rapidement devenu très populaire parmi le nombre croissant d’amateurs aquariophiles.

Il n’est donc pas étonnant que ces cichlidés aient pris une part importante et permanente dans les aquariums, et l’intérêt pour ces poissons a également augmenté des lors que les premières variétés d’élevage, chargées de couleurs et avec une apparence beaucoup plus attrayante que les spécimens originaux ont été mise sur le marché.

Jusqu’à présent, bon nombre de leurs variétés de couleurs ont été obtenues, en plus, très probablement, elles ont été utilisées pour obtenir plusieurs “espèces” élevées artificiellement, telles que les fameux mais horribles et difformes “FLowerhorns“.

A l’origine, Astronotus ocellatus est un cichlidé originaire d’Amérique du sud, on le trouve dans les eaux de l’Amazone, du Paraná, du Rio Paraguay et du Rio Negro.

Actuellement et bien malheureusement par bien des aspects, les Astronotus ocellatus sont présents et répandus dans de nombreuses régions du monde, par exemple, en Extrême-Orient, ils font partie des poissons d’aquarium préférés et sont conservés à la fois dans les aquariums domestiques et dans les bacs d’entreprise et publiques.

Leur charme est évident, ces cichlidés ne peuvent pas laisser indifférents un mateur en quête d’acheter un bel animal, même parmi la grande variété de poissons dans une animalerie moderne.

Les Astronotus ocellatus adultes attirent l’attention par leur taille et la fluidité de leurs mouvements, ils sont majestueux !

Leur regard ne laisse pas non plus insensible, en effet, il y a peu de poissons d’aquarium avec des yeux aussi expressifs et d’un regard ou un instant passé à les observer dans leur bac de vente, sans surprise, le désir d’acheter ce superbe cichlidé surgit instantanément.

Pourtant, s’il faut retenir quelque chose de la maintenance de ce cichlidé, c’est la patience !

Un achat inconsidéré risque de se solder par la mort de ces merveilleux poissons.

 Cet article, si long soit-il, aidera les futurs propriétaires d’Astronotus ocellatus à éviter les erreurs les plus courantes qui sont faites lors de l’acquisition de ces animaux, il les guidera dans l’entretien et l’élevage de ces dignes animaux d’aquarium.

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Les Astronotus – Article n°12 – Reproduction (1/2)

ASTRONOTUS OCELLATUS – AGASSIZ, 1831

Le cichlidé, vedette de cet article, est bien connu de tous les aquariophiles car il rappelle beaucoup de souvenirs à ceux qui l’ont élevé au moins une fois dans leur vie aquariophile…

Faire un article ou plutôt une série d’articles sur un cichlidé aussi connu dans le monde de l’aquariophilie est une forme de défi, une gageure car tant d’amateurs et de professionnels ont déjà écrit à son sujet.

En effet, Astronotus ocellatus est un grand classique de l’aquariophilie et c’est tout aussi vrai qu’il n’existe que peu de cichlidophiles qui n’aient jamais maintenu ce cichlidé qui ne laisse indifférent sur aucun point car il répond à de nombreux critères qui font de lui un incontournable.

En outre, Astronotus ocellatus est certainement le cichlidé américain qui plaira sûrement à tous les aquariophiles qui adhèrent au principe selon lequel « tout ce qui est grand est beau ».

Astronotus ocellatus de la famille des Cichlidae est l’un des poissons d’ornement d’eau douce les plus populaires et les plus beaux au monde.

Quel aquariophile ne connaît pas ces géants du genre Astronotus, qui, grâce à leurs yeux en soucoupe et malgré leur taille de 30-40 centimètres, ont réussi à s’assurer une place permanente dans l’aquarium et ont même reçu le titre, rare chez les poissons, « d’animal de compagnie » !

Il est très intéressant pour les aquariophiles en raison de sa couleur unique, de son comportement de combat, de ses mouvements et de sa parade…

Quand on parle d’Astronotus ocellatus, on évoque un poisson qui est présent dans le monde de l’aquariophilie depuis plus de 90 ans d’expérience ce qui en fait l’une des espèces d’aquarium le plus classiques.

Astronotus ocellatus a été scientifiquement décrit dès 1829, et c’est à des fins d’aquariophilie qu’il a été introduit en Europe, exactement cent ans plus tard.

Grace à son apparence impressionnante, à sa douceur relative et à sa facilité d’élevage et d’élevage, il est rapidement devenu très populaire parmi le nombre croissant d’amateurs aquariophiles.

Il n’est donc pas étonnant que ces cichlidés aient pris une part importante et permanente dans les aquariums, et l’intérêt pour ces poissons a également augmenté des lors que les premières variétés d’élevage, chargées de couleurs et avec une apparence beaucoup plus attrayante que les spécimens originaux ont été mise sur le marché.

Jusqu’à présent, bon nombre de leurs variétés de couleurs ont été obtenues, en plus, très probablement, elles ont été utilisées pour obtenir plusieurs “espèces” élevées artificiellement, telles que les fameux mais horribles et difformes “FLowerhorns“.

A l’origine, Astronotus ocellatus est un cichlidé originaire d’Amérique du sud, on le trouve dans les eaux de l’Amazone, du Paraná, du Rio Paraguay et du Rio Negro.

Actuellement et bien malheureusement par bien des aspects, les Astronotus ocellatus sont présents et répandus dans de nombreuses régions du monde, par exemple, en Extrême-Orient, ils font partie des poissons d’aquarium préférés et sont conservés à la fois dans les aquariums domestiques et dans les bacs d’entreprise et publiques.

Leur charme est évident, ces cichlidés ne peuvent pas laisser indifférents un mateur en quête d’acheter un bel animal, même parmi la grande variété de poissons dans une animalerie moderne.

Les Astronotus ocellatus adultes attirent l’attention par leur taille et la fluidité de leurs mouvements, ils sont majestueux !

Leur regard ne laisse pas non plus insensible, en effet, il y a peu de poissons d’aquarium avec des yeux aussi expressifs et d’un regard ou un instant passé à les observer dans leur bac de vente, sans surprise, le désir d’acheter ce superbe cichlidé surgit instantanément.

Pourtant, s’il faut retenir quelque chose de la maintenance de ce cichlidé, c’est la patience !

Un achat inconsidéré risque de se solder par la mort de ces merveilleux poissons.

 Cet article, si long soit-il, aidera les futurs propriétaires d’Astronotus ocellatus à éviter les erreurs les plus courantes qui sont faites lors de l’acquisition de ces animaux, il les guidera dans l’entretien et l’élevage de ces dignes animaux d’aquarium.

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Les Astronotus – Article n°11 – L’Aquarium

ASTRONOTUS OCELLATUS – AGASSIZ, 1831

Le cichlidé, vedette de cet article, est bien connu de tous les aquariophiles car il rappelle beaucoup de souvenirs à ceux qui l’ont élevé au moins une fois dans leur vie aquariophile…

Faire un article ou plutôt une série d’articles sur un cichlidé aussi connu dans le monde de l’aquariophilie est une forme de défi, une gageure car tant d’amateurs et de professionnels ont déjà écrit à son sujet.

En effet, Astronotus ocellatus est un grand classique de l’aquariophilie et c’est tout aussi vrai qu’il n’existe que peu de cichlidophiles qui n’aient jamais maintenu ce cichlidé qui ne laisse indifférent sur aucun point car il répond à de nombreux critères qui font de lui un incontournable.

En outre, Astronotus ocellatus est certainement le cichlidé américain qui plaira sûrement à tous les aquariophiles qui adhèrent au principe selon lequel « tout ce qui est grand est beau ».

Astronotus ocellatus de la famille des Cichlidae est l’un des poissons d’ornement d’eau douce les plus populaires et les plus beaux au monde.

Quel aquariophile ne connaît pas ces géants du genre Astronotus, qui, grâce à leurs yeux en soucoupe et malgré leur taille de 30-40 centimètres, ont réussi à s’assurer une place permanente dans l’aquarium et ont même reçu le titre, rare chez les poissons, « d’animal de compagnie » !

Il est très intéressant pour les aquariophiles en raison de sa couleur unique, de son comportement de combat, de ses mouvements et de sa parade…

Quand on parle d’Astronotus ocellatus, on évoque un poisson qui est présent dans le monde de l’aquariophilie depuis plus de 90 ans d’expérience ce qui en fait l’une des espèces d’aquarium le plus classiques.

Astronotus ocellatus a été scientifiquement décrit dès 1829, et c’est à des fins d’aquariophilie qu’il a été introduit en Europe, exactement cent ans plus tard.

Grace à son apparence impressionnante, à sa douceur relative et à sa facilité d’élevage et d’élevage, il est rapidement devenu très populaire parmi le nombre croissant d’amateurs aquariophiles.

Il n’est donc pas étonnant que ces cichlidés aient pris une part importante et permanente dans les aquariums, et l’intérêt pour ces poissons a également augmenté des lors que les premières variétés d’élevage, chargées de couleurs et avec une apparence beaucoup plus attrayante que les spécimens originaux ont été mise sur le marché.

Jusqu’à présent, bon nombre de leurs variétés de couleurs ont été obtenues, en plus, très probablement, elles ont été utilisées pour obtenir plusieurs “espèces” élevées artificiellement, telles que les fameux mais horribles et difformes “FLowerhorns“.

A l’origine, Astronotus ocellatus est un cichlidé originaire d’Amérique du sud, on le trouve dans les eaux de l’Amazone, du Paraná, du Rio Paraguay et du Rio Negro.

Actuellement et bien malheureusement par bien des aspects, les Astronotus ocellatus sont présents et répandus dans de nombreuses régions du monde, par exemple, en Extrême-Orient, ils font partie des poissons d’aquarium préférés et sont conservés à la fois dans les aquariums domestiques et dans les bacs d’entreprise et publiques.

Leur charme est évident, ces cichlidés ne peuvent pas laisser indifférents un mateur en quête d’acheter un bel animal, même parmi la grande variété de poissons dans une animalerie moderne.

Les Astronotus ocellatus adultes attirent l’attention par leur taille et la fluidité de leurs mouvements, ils sont majestueux !

Leur regard ne laisse pas non plus insensible, en effet, il y a peu de poissons d’aquarium avec des yeux aussi expressifs et d’un regard ou un instant passé à les observer dans leur bac de vente, sans surprise, le désir d’acheter ce superbe cichlidé surgit instantanément.

Pourtant, s’il faut retenir quelque chose de la maintenance de ce cichlidé, c’est la patience !

Un achat inconsidéré risque de se solder par la mort de ces merveilleux poissons.

 Cet article, si long soit-il, aidera les futurs propriétaires d’Astronotus ocellatus à éviter les erreurs les plus courantes qui sont faites lors de l’acquisition de ces animaux, il les guidera dans l’entretien et l’élevage de ces dignes animaux d’aquarium.

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Les Astronotus – Article n°10 – Alimentation

ASTRONOTUS OCELLATUS – AGASSIZ, 1831

Le cichlidé, vedette de cet article, est bien connu de tous les aquariophiles car il rappelle beaucoup de souvenirs à ceux qui l’ont élevé au moins une fois dans leur vie aquariophile…

Faire un article ou plutôt une série d’articles sur un cichlidé aussi connu dans le monde de l’aquariophilie est une forme de défi, une gageure car tant d’amateurs et de professionnels ont déjà écrit à son sujet.

En effet, Astronotus ocellatus est un grand classique de l’aquariophilie et c’est tout aussi vrai qu’il n’existe que peu de cichlidophiles qui n’aient jamais maintenu ce cichlidé qui ne laisse indifférent sur aucun point car il répond à de nombreux critères qui font de lui un incontournable.

En outre, Astronotus ocellatus est certainement le cichlidé américain qui plaira sûrement à tous les aquariophiles qui adhèrent au principe selon lequel « tout ce qui est grand est beau ».

Astronotus ocellatus de la famille des Cichlidae est l’un des poissons d’ornement d’eau douce les plus populaires et les plus beaux au monde.

Quel aquariophile ne connaît pas ces géants du genre Astronotus, qui, grâce à leurs yeux en soucoupe et malgré leur taille de 30-40 centimètres, ont réussi à s’assurer une place permanente dans l’aquarium et ont même reçu le titre, rare chez les poissons, « d’animal de compagnie » !

Il est très intéressant pour les aquariophiles en raison de sa couleur unique, de son comportement de combat, de ses mouvements et de sa parade…

Quand on parle d’Astronotus ocellatus, on évoque un poisson qui est présent dans le monde de l’aquariophilie depuis plus de 90 ans d’expérience ce qui en fait l’une des espèces d’aquarium le plus classiques.

Astronotus ocellatus a été scientifiquement décrit dès 1829, et c’est à des fins d’aquariophilie qu’il a été introduit en Europe, exactement cent ans plus tard.

Grace à son apparence impressionnante, à sa douceur relative et à sa facilité d’élevage et d’élevage, il est rapidement devenu très populaire parmi le nombre croissant d’amateurs aquariophiles.

Il n’est donc pas étonnant que ces cichlidés aient pris une part importante et permanente dans les aquariums, et l’intérêt pour ces poissons a également augmenté des lors que les premières variétés d’élevage, chargées de couleurs et avec une apparence beaucoup plus attrayante que les spécimens originaux ont été mise sur le marché.

Jusqu’à présent, bon nombre de leurs variétés de couleurs ont été obtenues, en plus, très probablement, elles ont été utilisées pour obtenir plusieurs “espèces” élevées artificiellement, telles que les fameux mais horribles et difformes “FLowerhorns“.

A l’origine, Astronotus ocellatus est un cichlidé originaire d’Amérique du sud, on le trouve dans les eaux de l’Amazone, du Paraná, du Rio Paraguay et du Rio Negro.

Actuellement et bien malheureusement par bien des aspects, les Astronotus ocellatus sont présents et répandus dans de nombreuses régions du monde, par exemple, en Extrême-Orient, ils font partie des poissons d’aquarium préférés et sont conservés à la fois dans les aquariums domestiques et dans les bacs d’entreprise et publiques.

Leur charme est évident, ces cichlidés ne peuvent pas laisser indifférents un mateur en quête d’acheter un bel animal, même parmi la grande variété de poissons dans une animalerie moderne.

Les Astronotus ocellatus adultes attirent l’attention par leur taille et la fluidité de leurs mouvements, ils sont majestueux !

Leur regard ne laisse pas non plus insensible, en effet, il y a peu de poissons d’aquarium avec des yeux aussi expressifs et d’un regard ou un instant passé à les observer dans leur bac de vente, sans surprise, le désir d’acheter ce superbe cichlidé surgit instantanément.

Pourtant, s’il faut retenir quelque chose de la maintenance de ce cichlidé, c’est la patience !

Un achat inconsidéré risque de se solder par la mort de ces merveilleux poissons.

 Cet article, si long soit-il, aidera les futurs propriétaires d’Astronotus ocellatus à éviter les erreurs les plus courantes qui sont faites lors de l’acquisition de ces animaux, il les guidera dans l’entretien et l’élevage de ces dignes animaux d’aquarium.

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Clés d’identification des cichlidés d’amérique Centrale

CLES DES ESPECES 1a – Présence de cinq pores mandibulaires                                      Genre Thorichthys 1b – Présence de quatre pores mandibulaires                                                                 2 2a – Dents tricuspides                                                                         Genre Herotilapia 2b – Dents non tricuspides                                                                                               3 3a – Dents spatulées sur la majeure partie de la bouche                                                4 3b – Dents coniques ou bicuspides sur la majeure partie de la bouche                          5 4a – Corps rond avec petite tache sombre au centre de la base du pédoncule caudal                                                                                                             Genre Cincelichthys 4b – Grande tache sombre sur (more…)

Les Astronotus – Article n°9 – L’eau

ASTRONOTUS OCELLATUS – AGASSIZ, 1831

Le cichlidé, vedette de cet article, est bien connu de tous les aquariophiles car il rappelle beaucoup de souvenirs à ceux qui l’ont élevé au moins une fois dans leur vie aquariophile…

Faire un article ou plutôt une série d’articles sur un cichlidé aussi connu dans le monde de l’aquariophilie est une forme de défi, une gageure car tant d’amateurs et de professionnels ont déjà écrit à son sujet.

En effet, Astronotus ocellatus est un grand classique de l’aquariophilie et c’est tout aussi vrai qu’il n’existe que peu de cichlidophiles qui n’aient jamais maintenu ce cichlidé qui ne laisse indifférent sur aucun point car il répond à de nombreux critères qui font de lui un incontournable.

En outre, Astronotus ocellatus est certainement le cichlidé américain qui plaira sûrement à tous les aquariophiles qui adhèrent au principe selon lequel « tout ce qui est grand est beau ».

Astronotus ocellatus de la famille des Cichlidae est l’un des poissons d’ornement d’eau douce les plus populaires et les plus beaux au monde.

Quel aquariophile ne connaît pas ces géants du genre Astronotus, qui, grâce à leurs yeux en soucoupe et malgré leur taille de 30-40 centimètres, ont réussi à s’assurer une place permanente dans l’aquarium et ont même reçu le titre, rare chez les poissons, « d’animal de compagnie » !

Il est très intéressant pour les aquariophiles en raison de sa couleur unique, de son comportement de combat, de ses mouvements et de sa parade…

Quand on parle d’Astronotus ocellatus, on évoque un poisson qui est présent dans le monde de l’aquariophilie depuis plus de 90 ans d’expérience ce qui en fait l’une des espèces d’aquarium le plus classiques.

Astronotus ocellatus a été scientifiquement décrit dès 1829, et c’est à des fins d’aquariophilie qu’il a été introduit en Europe, exactement cent ans plus tard.

Grace à son apparence impressionnante, à sa douceur relative et à sa facilité d’élevage et d’élevage, il est rapidement devenu très populaire parmi le nombre croissant d’amateurs aquariophiles.

Il n’est donc pas étonnant que ces cichlidés aient pris une part importante et permanente dans les aquariums, et l’intérêt pour ces poissons a également augmenté des lors que les premières variétés d’élevage, chargées de couleurs et avec une apparence beaucoup plus attrayante que les spécimens originaux ont été mise sur le marché.

Jusqu’à présent, bon nombre de leurs variétés de couleurs ont été obtenues, en plus, très probablement, elles ont été utilisées pour obtenir plusieurs “espèces” élevées artificiellement, telles que les fameux mais horribles et difformes “FLowerhorns“.

A l’origine, Astronotus ocellatus est un cichlidé originaire d’Amérique du sud, on le trouve dans les eaux de l’Amazone, du Paraná, du Rio Paraguay et du Rio Negro.

Actuellement et bien malheureusement par bien des aspects, les Astronotus ocellatus sont présents et répandus dans de nombreuses régions du monde, par exemple, en Extrême-Orient, ils font partie des poissons d’aquarium préférés et sont conservés à la fois dans les aquariums domestiques et dans les bacs d’entreprise et publiques.

Leur charme est évident, ces cichlidés ne peuvent pas laisser indifférents un mateur en quête d’acheter un bel animal, même parmi la grande variété de poissons dans une animalerie moderne.

Les Astronotus ocellatus adultes attirent l’attention par leur taille et la fluidité de leurs mouvements, ils sont majestueux !

Leur regard ne laisse pas non plus insensible, en effet, il y a peu de poissons d’aquarium avec des yeux aussi expressifs et d’un regard ou un instant passé à les observer dans leur bac de vente, sans surprise, le désir d’acheter ce superbe cichlidé surgit instantanément.

Pourtant, s’il faut retenir quelque chose de la maintenance de ce cichlidé, c’est la patience !

Un achat inconsidéré risque de se solder par la mort de ces merveilleux poissons.

 Cet article, si long soit-il, aidera les futurs propriétaires d’Astronotus ocellatus à éviter les erreurs les plus courantes qui sont faites lors de l’acquisition de ces animaux, il les guidera dans l’entretien et l’élevage de ces dignes animaux d’aquarium.

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