ElTofi : La genèse du bac en béton de 10 800 litres

 Le bac de 10 800 litres de ELTOFI

PREAMBULE

La création puis la fabrication d’un bac en béton de plus de 10 000 litres par un particulier n’est pas une chose anodine. Cette aventure que certains redécouvriront dans les lignes qui suivent est celle d’un passionné qui nous la conte, avec toutes ses péripéties, ses déboires, ses moments de joie et de camaraderie qui ont ponctués cette construction spectaculaire et dire d’un aquarium public.

Merci à ElTofi, aux internautes et passionnés qui ont suivi et parfois vécu ce périple…et bonne lecture à tous.

Introduction par Eltofi

Aquariophile depuis 2001, j’ai commencé avec un petit 120 litres hétéroclite, en suivant les merveilleux conseils de l’animalerie du coin…  ce qui s’est rapidement avéré insuffisant pour ma soif de comprendre et de connaître. L’élégant mélange de loches clowns (destinées à lutter contre les escargots), de Xyphos « ananas » (ils broutent les algues), de « Nettoyeurs » (indispensables pour râper les algues sur les vitres) et d’un seul Corydorasjulii (c’est nécessaire pour soulever les sédiments, que le filtre puisse faire son travail) a tourné au bouillon de culture en moins de 6 mois.

J’avais donc 2 options : soit reléguer la cuve et son élégant meuble noir dans une remise, soit insister, apprendre, comprendre et plonger dans la passion…  J’ai donc acheté des revues, des livres, surfé sur l’Ancêtre du Net (qui se souvient du doux gazouillis des connexions analogiques par modem 68 ko ?).

Et je suis finalement tombé via ce biais sur un mentor, qui plus est, domicilié à 2 pas de chez moi…

J’ai suivi de nombreux conseils avisés, et le bouillon de culture est devenu viable…

Cependant, une fois cette phase d’apprentissage de base assimilée, j’ai très vite constaté deux vérités fondamentales en matière d’aquariums :

  • Il y a TOUJOURS un autre poisson extraordinaire que l’on DOIT maintenir !
  • Un bac, quelle que soit sa taille initiale, est TOUJOURS trop petit !

C’est sur ces deux axiomes inaltérables que ma « carrière » d’aquariophile s’est construite…  Le 120 litres initial a été complété par un 720 litres en lieu et place du canapé du salon (autre histoire épique), un 350 de prêt m’a été fourni pour les indispensables quarantaines, des nurserys de 60 litres ont commencé à se répandre dans l’appartement… jusqu’à l’inévitable saturation du département de l’Intérieur…

En 2005, construction d’une maison « à nous » et planification dès les plans d’une fish-room en sous-sol%.

Un premier projet mentionnait un bac en béton avec vitre frontale d’environ 4’000 litres…  au dernier moment, je n’ai pas « osé » le béton… trop définitif comme concept… je me suis rabattu sur une cuve en verre de 1600 litres (320x70x70). Cette cuve a accueilli une population de Rio Xingu composée de :

  • Panaquearmbrusteri,
  • Pseudacanthicus sp Scarlet,
  • Baryancistrusxanthelus,
  • Retroculusxinguensis,
  • Myleusschomburgkii entre autres…

Une reproduction de Pseudacanthicus scarlet est venue couronner mes efforts en 2009 et l’histoire aurait pu continuer sur cette base… sauf que non, d’une part, une terrible casse bactériologique a décimé ma population de « ventouses » à début 2010, me fâchant terriblement avec ma facture d’électricité (toutes ces dépenses pour tout voir mourir).

D’autre part, après le compréhensible « coup de mou » lié à la dite casse qui s’est ensuivi, je me suis ressaisis, avec encore plus d’envies et selon les 2 axiomes mentionnés plus haut, il fallait « plus grand »… d’autant plus qu’à fin 2010, je suis deux cours certifiant, soit disant pour mon club…

  • Attestation de compétences » pour organiser des manifestations exposition
  • Attestation de compétences » pour maintenir des raies d’eau douce

Bon, ok, ce deuxième cours était clairement pour moi… non pas que je maintenais des raies (bac trop petit), mais il faut jamais dire jamais… et l’idée faisait progressivement son chemin…dans ma tête !

Conception & cahier de charges

“L’idée se précise… mais surgissent une foule de questions sur la conception quand même…mais que ça ne vous empêche pas d’exposer vos idées !”

C’est avec ces propos que commencent les échanges sur les forums spécialisés.

La version 2 de la vidéo virtuelle, cette fois-ci, sans le coin des armoires bleues.

version finale du bac, tel qu’il sera construit, étant donné que je ne parviens pas à vendre ce 1600 litres, je vais le démanteler pour récupérer les vitres principales.

Plusieurs étapes à mon projet, et plusieurs sujets à traiter :

  1. Réaménagement “logistique” du local :

il va s’agir de virer toutes ces vieilles étagères disparates que l’on accumule inefficacement au fil des ans pour les remplacer par 2 armoires d’atelier bien nettes

Délai : mi-avril

  1. Réaménagement “thermique” du local :

pas loin d’être le plus gros du chantier…

  1. a) installer des ventilateurs d’extraction avec clapet anti-retour sur les puisards percés dans les murs, afin de pouvoir extraire l’humidité (comme c’est déjà le cas maintenant), mais surtout d’empêcher le froid de rentrer.
  2. b) trouver une solution technique simple pour amener de la chaleur dans ce local, sans démonter tout le circuit de chauffage existant dans la maison (rationalisation)

j’ai quelques idées dont nous débattrons ici…

par exemple, vu que la chaufferie est le local attenant, je pourrais pratiquer une ouverture dans le mur (parpaings de ciment, non porteur) pour y intégrer un ventilateur à petit débit qui fonctionnerait en même temps que la chaudière…

il fait toujours une chaleur de fournaise dans ce local (chaufferie, mais aussi buanderie avec lave-linge et sèche-linge). Chaleur qui n’est pas utilisée pour le moment… je pourrais sans doute en pulser une partie dans la fish-room attenante, à partir du moment où j’empêche l’air froid d’entrer selon le point a) ou, pour une solution plus lourde, je pourrais aussi installer un nouveau circuit de chauffage pour tempérer (voir chauffer) la fish-room comme le reste de la maison, mais par radiateur…

  1. Construction du bac dans le local :

La partie qui me paraît (peut-être à tort, la plus “facile”… j’ai largement de quoi m’appuyer sur des gens compétents pour cette partie-là…création de la structure du bac, étanchéité, collage de la vitre, étanchéité de la vitre-béton, filtration, trop plein, arrivée et évacuation d’eau, etc…

A priori, on part sur un bac de surface trapézoïdale d’environ 4 000 litres.

Les détails sont encore fonction du chapitre 1 “Logistique”, mais l’idée se précise.

  1. établir une population qui tienne la route…

Un seul impératif, il faut que le bac a raies comporte.des Potamotrygon.

Une nouvelle fois, je suis bien encadré pour ne pas faire de folies à ce sujet-là… j’ai contact avec des gens d’expérience en France voisine et en Allemagne qui vont bien m’aider à ce chapitre…

 C’est en ces termes que le sujet est ouvert sur différents forums.

  • Comment sera fait ce bac ?

Béton hydrofuge de base sur ferraillage.

  • Comment garantir la liaison avec le béton existant au sol et celui placé au mur du fond ?

piquage préliminaire ?

dégrapage de surface ?

couche de primaire ?

chape de fond avec circuit de chauffage depuis la chaudière ?

  • Comment garantir l’étanchéité du bac ?

J’ai lu qu’on pouvait intégrer des fibres de verre dans la chape, afin d’éviter les micros-fissures.

  • Faut-il recourir à un revêtement en résine époxy ou en simple peinture ?

Ça c’est un point qui me chatouille pas mal, surtout en fonction des passages de tuyaux “trop plein” et de “purge de fond”. A priori, je pense qu’il est tout à fait illusoire de simplement noyer les tuyaux dans le coulage du béton. Pourtant le béton, ça me paraît difficilement “étanchéifiable” ou alors, avec des joints d’étanchéité à la jonction béton-tuyau. A confirmer.

De plus, une simple peinture d’étanchéité pourrait, à priori, suffire, mais j’ai lu que le silicone avait une tendance à l’attaquer à terme. Je ne souhaite pas vraiment refaire ma vitre après 5 ans. Et qu’en est-il exactement de la résine époxy, laquelle ?

Je pense qu’il faut privilégier la résine de type alimentaire, bien sûr… mais encore ?

  • Faut-il tempérer la pièce et compléter le chauffage du bac si nécessaire ?

Je pense qu’indépendamment de l’amélioration thermique du local, je vais créer un circuit de chauffage par serpentins dans la chape (avec vanne de régulation asservie à une sonde)

A force de constater ses erreurs, on apprend. J’ai pu en faire l’amère expérience avec le bac du salon, qui est situé dans une pièce à 20°C (variation importante vers le haut dès le premier rayon de soleil, vu les grandes baies vitrées) et les ponts thermiques générateurs de froid contre les vitres en hiver provoquant une condensation maximum.

En baissant la température de maintenance de seulement 4°C (à 26°C), j’avais quasiment supprimé le problème: la fish-room est complètement excavée avec des locaux chauffés sur 2 côtés.

Les 2 autres côtés sont hors gel, sous plusieurs m3 de terre. L’étanchéité côté terre est réalisée avec un drainage, mais béton est à l’état brut (18cm) et sans isolation.

Cela n’a pas été une partie de plaisir de ressortir les plans d’enquête et de se remémorer les aléas du chantier, 6 ans après !

  • Comment lutter contre l’humidité ambiante dégagée par un tel bac ?

L’option “ventilateur d’extraction avec hygrostat” est certainement une bonne idée et la plus efficace. Avec un minuteur, elle devient plus adaptable : je vais voir avec mon électricien (mon installateur sanitaire ?) ce qu’il peut me proposer.

Dans tous les tous les cas, il faudra prolonger (déplacer, modifier ?) le circuit d’alimentation électrique. En soi, cela n’a rien de compliqué, il faut juste rajouter quelques mètres de câbles et mettre en place des prises électriques en hauteur, à proximité immédiate de ce nouveau bac.

Pour le chauffage,  la chaudière tourne toute l’année, mais en été, habituellement je passe manuellement en mode “eau sanitaire” uniquement. Avec ce bac, je peux rester en mode automatique car le thermostat d’ambiance de la zone vie régulera la tempèrature et desacitvera le “chauffage au sol” sitôt que la température extérieure aura atteint 19°C .

  • Comment réaliser l’ insertion et collage de la vitre ?

J’ai lu à plusieurs endroits que lors du coulage, un panneau de coffrage avait simplement été mis en place “pour l’emplacement de la vitre”. Ce qui sous-entend que lors du démoulage, le béton aura fait l’empreinte où il n’y aurait plus qu’à coller la vitre.

  • Comment dimensionner les mm nécessaire au silicone ?

 j’ai aussi un doute sur 2 points d’étanchéité :

  • au collage de la vitre
  • au passage de paroi pour le trop plein et la bonde de fond, d’autant plus qu’on m’a déjà expliqué que le silicone adhérait assez mal sur la résine époxy… (à moins que ce ne soit sur la peinture étanche)…

…et ce qui ne fait rien pour me rassurer, ce sont tous les articles ou topics qui sont “fleuve” et que j’ai lus à propos de ce sujet pour l’instant.

Ils racontent la même histoire “enthousiasme et euphorie du début de la construction” suivie de :

  • séchage,
  • remplissage,
  • début de décor
  • mise ne place de la population
  • … fuite, vidage, réparation… et re-vidange… et redémarrage !

Autant dire que je n’aurais pas droit à l’erreur, car même si cette installation est faite en sous-sol dans mon local, ça reste quand même un investissement important (énergie, temps, argent) et que je n’aimerais pas trop rater.

Je ne fais que lire pour l’instant et je ne suis pas encore allé consulter des gens expérimentés ou des aquariums publics, mais je pense effectivement couler l’ensemble d’une traite, dans un coffrage ferraillé et avec un hydrofuge et un mélangé fibré… pour la vitre, mais c’est encore à comparer entre les 4-5 personnes que je vais aller voir, je pensais l’utiliser comme élément de coffrage, afin d’être sûr d’avoir fait la bonne dimension… En fait, elle devrait être “à fleur” à l’intérieur du bac, s’encastrant sur un gros support boudiné de silicone, dans l’encoche prévue à cet effet…

Une autre solution dont on m’a parlé, c’est de faire un coffrage standard (sans réserver quoique ce soit), faire largement dépasser la vitre sur les bords de ce “trou” et faire un double collage silicone : d’abord entre la vitre et l’intérieur du bac (une fois le béton résiné) et refaire un autre boudin de silicone par dessus l’épaisseur de la vitre sur le joint.

la 3ème méthode dont j’ai entendu parler consiste à créer un mur frontal assez épais pour y créer une “fente” dans laquelle la vitre vient s’encastrer depuis le dessus : la vitre est prise en pince, siliconée sur sa base et ses deux hauteurs, en double, c’est à dire depuis l’intérieur du bac ET depuis l’extérieur.

Cela paraît encore plus solide qu’un collage depuis l’intérieur en appui sur les 4 côtés de la vitre.

je le dis, le redis et me répète :

L’étanchéité est mon soucis majeur mais d’ici la construction, il y en aura sans doute d’autres ! “

La hauteur totale du bac fera 120 cm environ car il faut compter 20 cm de “socle”, composé de :

  • L’isolation de fond, directement sur la dalle de béton : 6 cm
  • La chape de fond, y compris circuit de serpentins : 8 cm
  • La couche de couverture : 1 cm
  • Les couches d’étanchéité à 2 composants : 0.6 cm (en 3 x 2 mm)
  • Au total cela fait déjà largement 15 cm de “socle”.

Il ne reste donc plus que 100 cm de hauteur d’eau. Je vais rajouter là-dessus une importante couche de sable, minimum 10 cm pour que les raies puissent y creuser et s’y enfouir à leur guise. Le niveau visible du sol devrait donc se trouver à 25 cm. Reste que ma vitre étant ce qu’elle est (320 x 70), j’aurai effectivement une partie “cachée” d’environ 25-30 cm avant le bas de la partie visible.

Ceci dit, le bac restera observable depuis le dessus confortablement, et sur une longueur de 300 cm, ce qui n’est pas négligeable. Il y aura effectivement un bon mètre de chaque côté qui sera masqué par le béton du mur frontal car malheureusement, je dois composer avec la récupération des vitres du 1600 litres.

Avoir une seule vitre d’un seul tenant m’empêchera de me blesser ou de gâcher du verre en les coupant et une structure d’un seul bloc est plus fiable, même avec “seulement” 100 cm de hauteur d’eau. L’ensemble paraîtra indéniablement plus massif mais maintenant que je suis fixé sur cette idée, je dois dire que ce n’est pas pour me déplaire.

Une fois ces équipements installés et ces mesures effectuées, je verrai ce que je dois faire en plus pour arriver à une solution acceptable…

si l’argent n’était pas un propos, j’installerais directement un circuit de chauffage supplémentaire pour le bac lui-même, qui deviendrait le “radiateur” de la pièce… Cette option reste d’ailleurs toujours envisageable…

je le redis, au niveau de la réflexion, tout est possible…  au fur et à mesure, on verra l’efficacité (ou pas) de mes idées d’amélioration… Mais je dois bien admettre que c’est toujours plus facile de concevoir juste dès le départ… pour ma défense, je ne pensais pas que je finirai aussi intoxiqué “aquario”.

Il fait vraiment chaud dans ma chaufferie (12 m2) qui fait la moitié de ma fish-room (25  m2). Dans la chaufferie, on est en permanence à plus de 25°C malgré l’amenée d’air pour le tirage de la chaudière et de la cheminée.

Mais vues les sources de chaleur présentes, telles que la chaudière + lave-linge + sèche-linge, ça en fait de l’énergie dégagée dans une petite pièce, et l’ambiance peut aller du  franchement “sec et désagréable” comme à “chaude et très humide” !

Pour mon installation, je vise 24-25°C en hiver et autour de 28°C le reste du temps.

La population envisagée peut sans doute même supporter une plus grande amplitude, mais ça n’est pas le but recherché.

Coût de fonctionnement d’un tel bac ????

La question relative à l’analyse du coût énergétique a été posée, via un forum sur Internet. Je ne veux pas y penser mais je suis convaincu qu’en mettant en place les mesures nécessaires pour optimiser le chauffage, ça ne peut pas me revenir aussi cher que c’était le cas avec 12 bacs ouverts chauffés électriquement à plus de 30°C et les fenêtres grandes ouvertes.

Quels frais d’utilisation ?

Non, franchement, je ne me suis pas penché sur la question… mais j’identifie et vois les postes budgétaires suivants :

  1. Filtration: Au niveau consommation électrique, ça va pas aller chercher loin, un filtre OASE BioSMart ou équivalent, c’est une pompe de 5000 l/h qui tourne en permanence.
  2. Eclairage : Au début, je vais partir avec mes rampes actuelles de 2x80W T5 et 2x58W T8, puis je passerai à des spots LED début de l’année prochaine, quand j’aurai financièrement récupéré.
  3. Chauffage : Vue l’isolation du local, la ventilation de l’humidité, le circuit de chauffage au sol du bac et l’intégration du circuit de chauffage par la chaudière de la maison, je ne pense pas que ça va me faire exploser les scores, sans doute une légère surconsommation de pellets, qui sera noyée dans celle du reste de la maison pour l’année;
  4. Nourriture : Je pense que ce sera le plus gros poste, vu les bestiaux que j’envisage… le poisson congelé et les crevettes vont y aller sec !
  5. Ventilation : Au final, un seul ventilateur d’extraction de 180 m3/h, réglé sur Hygrostat avec seuil autour de 70% d’humidité.
  6. Eau : Là, on va augmenter un peu les volumes… quoique, actuellement, j’en suis à 2 x 200 litres par semaine pour le bac du salon et j’utilisais aussi 400 litres par semaine pour le 1600… soit environ 1 m3/semaine.
  7. Population : Le peuplement de base va sans doute un peu m’arracher quelques mites au porte-monnaie mais on peut étaler dans le temps.

5 thoughts on “ElTofi : La genèse du bac en béton de 10 800 litres

  1. Dommage de construire un bac de cette taille sans en profiter autrement qu’en s’enfermant dans ce local enterré, d’autre part il y existe des alternatives très intéressantes au bac béton, et plus faciles à mettre en oeuvre. Pour avoir lu avec attention le descriptif et les craintes de l’aquariophile, les problèmes d’étanchéité seront (quasi) inexistants comme pour un bac en verre collé.
    https://www.youtube.com/watch?v=UJl-VtZ_-ng&t=60s ,quelques esprits chagrins n’hésiteront pas à souligner que le commentaire est en allemand mais les fondus de poissons trouveront la parade 😉
    J’espère avoir apporté une modeste contribution à votre projet. Bon courage. Eric

    • Je n’ai que cela à offrir, mais vu que certains utilisent des panneaux de polyfont, je pense que c’est peut-être une excellente idée à creuser … Une armature en prolifé acier qui pourrait être soudée et ensuite poudrée epoxy afin de lui garantir une longévité de plusieurs décennies même en milieu salin 😉 en ce qui concerne la colle utilisée, soit elle est spécifique pour ce type d’usage soit on doit utiliser un primaire. D

  2. Une chose est certaine, c’est que le bac construit et présenté dans cette vidéo correspond exactement au projet pour héberger des raies d’eau douce 😀

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