[1ère partie] La phytothérapie, pour les poissons aussi !

La phytothérapie, pour les poissons aussi !

Phytothérapie – une médecine douce pour soigner nos poissons

Après plusieurs heures de recherche sur Internet, dans les livres et revue spécialisées, j’ai finalement réussi à glaner quelques informations, pas assez à mon goût mais je souhaite quand même partager avec vous le fruit de mes recherches … ça nous change de l’allopathie que tout le monde connait et qui malheureusement utilise pas mal de produits chimiques et qui selon moi n’est pas forcément bénéfique pour notre organisme.

Parfois, malheureusement nous n’avons pas le choix et il nous faut suivre des traitements dits traditionnels.

Qu’est-ce que la médecine douce ?

C’est une médecine alternative à la médecine allopathie et qui est dîtes naturelle. On utilise donc les vertus (préventives ou curatives) des plantes dîtes médicinales, celles-ci peuvent se situer dans les racines, les fruits, les bourgeons, les feuilles, l’écorce etc.

On la trouve sous diverses formes : gélule, comprimé, granulés, teinture mère, huiles essentielles, eau florale, décoction, jus, cataplasme…

La médecine douce est très vaste, les plus connues sont la phytothérapie, l’homéopathie mais aussi la gemmothérapie, l’argilothérapie, l’acupuncture et bien d’autres encore.

Rassurez-vous il n’est pas question de vous proposer des bains de boues à pratiquer sur vos petits poissons ni vous apprendre à manier des aiguilles…

Définition

La phytothérapie désigne la médecine fondée sur les extraits de plantes et les principes actifs naturels.

Ce mot vient du grec “phytos” qui signifie plante et “therapeuo” qui signifie soigner.

On peut la distinguer en trois types de pratiques

  • une pratique traditionnelle à visée explicitement thérapeutique, parfois très ancienne fondée sur l’utilisation de plantes selon les vertus découvertes empiriquement. Selon l’OMS, cette phytothérapie est considérée comme une médecine traditionnelle et encore massivement employée dans certains pays dont les pays en voie de développement. C’est le plus souvent une médecine non conventionnelle du fait de l’absence d’études cliniques systématiques ;
  • une pratique qui repose sur la recherche scientifique sur les extraits actifs de plantes. Les extraits actifs identifiés sont standardisés. Cette pratique débouche suivant les cas sur la fabrication de médicaments pharmaceutiques ou de phytomédicaments. Selon la réglementation en vigueur dans le pays, leur circulation est soumise à l’autorisation de mise sur le marché (AMM) pour les produits finis, et à la réglementation sur les matières premières à usage pharmaceutique (MPUP) pour les préparations magistrales de plantes médicinales, celles-ci étant délivrées exclusivement en officine. On parle alors de pharmacognosie ou de biologie pharmaceutique. La recherche sur ces produits se fonde en partie sur les pratiques traditionnelles décrites précédemment, et pose de sérieux problèmes éthiques et politiques dès lors qu’elle conduit à la brevetabilité du vivant ;
  • une pratique de prophylaxie sans but actuellement perçu comme thérapeutique, existant déjà dans l’Antiquité. C’est le cas d’associations traditionnelles en cuisine, de techniques de conservation, ou de consommation de produits tels que les thés ou infusions. Même si les interactions entre produits usuellement combinés font l’objet de recherches, seuls le cas des produits consommés de manière séparée sont actuellement rattachés à la phytothérapie.

Si comme beaucoup d’aquariophiles vous êtes lassés d’acheter des produits médicaments qui peuvent être dangereux pour la santé des poissons et l’équilibre de l’aquarium (bactéries qui meurent), il ne vous reste plus que la solution de vous tourner  vers la phytothérapie qui offre des résultats concret et a le mérite d’être moins chère à utiliser.

Ce n’est pas nouveau et ainsi de « bonne vieilles recettes sont utilisées par les aquariophiles…

 

La phytothérapie en aquariophilie

La phytothérapie consiste en l’utilisation des plantes et leurs vertus thérapeutiques pour soigner ou prévenir les maladies.

En effet, l’emploi de produits chimiques dans nos aquariums pour soigner les maladies et blessures de nos des poissons, avec des résultats plus ou moins discutables, provoquent souvent, pour diverses raisons (excès de zèle et surdosage, qualité douteuse du médicament…) des déséquilibres à maintes reprises au sein de l’aquarium entraînant une dangereuse montée de nitrite.

Face à cette situation, il existe une alternative : Fabriquer ses propres médicaments pour l’aquariophilie !

On a tous entendu parler de ces fameux remèdes de “grand-mères”, en effet, la phytothérapie existe depuis des milliers d’années mais elle n’a été reconnue par le ministère de la santé comme médecine à part entière qu’à la fin des années 80.

L’ail

La partie utilisée est le bulbe.

Il peut être utilisé comme vermifuge contre les flagellés et évite les proliférations des parasites internes.

Mode d’emploi :

  • Ecrasez une gousse d’ail dans un verre avec un peu d’eau, faites légèrement chauffer l’eau au préalable.
  • Mélangez ensuite cette eau avec la nourriture industrielle sous forme de granulés pour obliger les poissons à ingérer, contre leur gré et grâce à ce subterfuge, ces granulés qui vont gonfler de l’eau contenant le remède. Distribuez les granulés-médicaments selon les habitudes de distribution habituelles et poursuivez le traitement pendant 1 semaine environ et en fonction.
  • Appliqué à des Discus, leurs propriétaires-soigneurs ont pu constater que les poissons se précipitaient plus facilement et de plus en plus sur la nourriture. On bout de quelques jours de traitement, ils ont pu observer et voir sortir de l’anus des Discus des vers qui pouvaient être très longs.
  • A faire pendant une semaine.

Remarque : Si vous préparez de la nourriture vous-même pour vos poissons, vous pouvez intégrer quelques morceaux d’ail à votre préparation. Le traitement peut aussi être amélioré par l’ajout de sel, de plus d’ail,  de vitamines en particuliers si les poissons refusent de manger.

  

L’Aloe vera

L’Aloe vera est une espèce d’aloès originaire de la Péninsule Arabique, d’Afrique du Nord, des îles Canaries et du Cap-Vert.

Il existe plus de 250 variétés d’aloès ; mais seulement 3 ou 4 présentent des propriétés significatives du point de vue des soins et de la médecine, celle qui offre le meilleur potentiel est l’Aloe Barbadensis Miller, communément appelée Aloe Vera.

L’Aloe vera a de nombreuses vertus, la partie utilisée est le mucilage de la zone centrale de la feuille. Elle peut être à usage interne ou externe.

L’Aloe vera possèderait des vertus qui aident à la cicatrisation des plaies en augmentant la production de mucus ce qui permet poisson de renforcer ses défenses immunitaires afin de lutter contre les maladies, parasites…

Certains aquariophiles ont fait l’expérience de l’Aloe vera en particulier dans le traitement de la pourriture des nageoires.

Les résultats obtenus après administration de 2 doses sont probants puisque les nageoires ont repoussé.

Bienfaits : protège les muqueuses, reconstitue les mucus, cicatrisante en cas de blessure, lésion, ulcération, anti-stress, puissant bactéricides, analgésique

Vous pourrez constater que l’Aloe vera est utilisée dans les conditionneurs d’eau.

La feuille d’Aloe vera contient :

  • Plus de 75 éléments nutritifs et 200 autres composants, ainsi que 20 minéraux, Potassium, Fer, Sodium, Choline, Cuivre, Chrome, Zinc, calcium
  • 18 acides aminés entrent dans sa composition et font de l’Aloe une plante exceptionnellement riche en agents régénérants et hydratants.

Elle possède :

  • 7 des 8 acides aminés essentiels au fonctionnement humain
  • De même que 11 des 14 acides aminés de second rang que le corps engendre à partir des 8 essentiels
  • 12 vitamines : Vitamines A, B1, B2, B3, B6, B9, acide folique, B12, C, E et choline, inositol, niacine

Il opère sur l’ensemble de l’appareil digestif, pénètre les tissus de la peau, élimine les cellules mortes, aide à générer la croissance de nouvelles cellules et des tissus plus sains, accélérant ainsi la cicatrisation des blessures (particulièrement efficace sur les poissons), lésions et ulcérations.

Les effets seront de même nature sur une peau endommagée, si les applications sont externes.

Certains athlètes l’utilisent pour prévenir et soigner les entorses, foulures, tendinites,…

C’est un :

  • Régénérateur tissulaire,
  • Astringent,
  • Revitalisant,
  • Réhydratant,
  • Bactéricide,
  • Anti-inflammatoire,
  • Cicatrisant,
  • Fongicide,

Propriétés de la pulpe de l’Aloe vera

  • Dermatologiques, du fait de ses actions : hémostatique, anesthésique, bactéricide, cicatrisante et anti-inflammatoire (liées à nombre de ses composants, agissant vraisemblablement en parfaite synergie) qui sont toutes fondamentales pour obtenir rapidement la guérison d’une grande part de la pathologie cutanée traumatique (blessures, brûlures, irritations, etc.) ou non traumatique (les dermatoses en général).
  • Nutritionnelles : dans le cadre de la complémentation alimentaire, la pulpe de l’Aloe vera apporte un appoint en éléments vitaux (acides aminés, minéraux et oligo-éléments, vitamines, etc.) quantitativement peu important mais qualitativement d’une très grande richesse. Cette richesse qualitative débouche sur une bonne rééquilibration organique et augmente la résistance du terrain biologique, lui permettant ainsi de mieux résister aux agressions de toutes sortes (microbiennes, stress, etc.) dont il est en permanence l’objet.
  • Cosmétologiques du fait de ses extraordinaires actions cutanées : rééquilibration du pH cutané, desquamation des cellules mortes de l’épiderme, hydratation et nourrissent de la peau en profondeur, stimulation de la multiplication cellulaire des fibroblastes du derme, qui font de la pulpe de l’Aloe vera un véritable “régénérant” cutané. Actions auxquelles s’ajoutent encore ses propriétés : astringentes, adoucissantes et protectrices, qui en font l’un des plus remarquables produits naturels de beauté que l’on puisse trouver.
  • Digestives : notamment une bien meilleure digestion des aliments (grâce aux nombreuses enzymes qu’elle contient) avec diminution des putréfactions intestinales ainsi qu’une légère action apéritive et une action tonifiante sur les intestins susceptible de régulariser un transit intestinal ralenti, mais sans action laxative proprement dite.
  • D’autres propriétés très importantes (antiulcéreuse gastrique, antidiabétique, etc.) sont en cours d’études et en voie d’être reconnues.

Mode d’emploi :

L’Aloe vera Bio liquide en ampoule : On peut l’utiliser à chaque changement d’eau par exemple à raison d’1ml environ d’Aloe vera pur /litre d’eau.

  • Aloe vera (Barbadensis Miller) biologique 99.9% – Formule très concentrée : taux d’Aloverose >800mg/L

  

Le sel

Même s’il ne s’agit pas d’une plante il n’en reste pas moins que c’est un produit naturel.

Attention : Certaines espèces d’invertébrés ou de poissons sans écailles peuvent être intolérantes au sel.

Le sel peut être utilisé lorsque les poissons ont subi un stress important, il peut réduire les effets néfastes d’un pic de nitrites ponctuel (il ne constitue pas une solution à long terme) et il éradique de nombreux parasites.

Il est donc utilisé en cas d’urgence, il ne faut en abuser afin de ne pas provoquer un surdosage.

Mode d’emploi :

  • Entre 0,5 et 1 gr/l jusqu’à 2 à 3 gr dans des cas plus graves.
  • En cas de changement d’eau ajouter du sel proportionnellement à l’eau renouvelée.

Le Bois d’inde

Le Bois d’inde (Pimenta) aurait des vertus antifongiques et la Mélaleuca (arbre à thé) serait un puissant bactéricide.

Ces deux essences se trouvent sous forme d’huiles essentielles.

Nom scientifique: Pimenta racemosa Syn. Pimenta dioica– Famille: Myrtacées.

Autres noms ou appellations : Bay de Saint Thomas, Baie de Saint Thomas, piment de la Jamaïque, poivre de la Jamaïque, quatre épices ou encore toute épice.

Le bois d’Inde est un arbuste résistant commun au Jamaïque, en Amérique Centrale et aux Indes occidentales.

Ses feuilles sont oblongues et lancéolées d’une quinzaine de centimètres. Elles sont glanduleuses et très aromatiques.

Les fleurs du bois d’Inde poussent en inflorescences de couleur blanchâtre. Les fruits sont de forme ovoïde ressemblant à des piments.

L’essence du bois d’Inde est notamment employée pour ses effets bénéfiques contre les germes pathogènes.

C’est, en effet, un anti-infectieux de premier plan. Elle est antibactérienne, antivirale et antifongique.

Elle contribue à dégager les voies respiratoires et lutte contre les refroidissements. Elle est aussi indiquée pour lutter contre les inflammations intestinales d’origine infectieuses comme les amibiases, les hépatites, les cystites et les infections uro-génitales.

 Terminalia catappa

Terminalia catappa (amandier des indes). Ces feuilles aux vertus thérapeutiques libèrent dans l’eau des tanins, des flovanoïdes et la CMI (concentration minimale inhibitrice):

  • anti-micotique (champignon)
  • Bactéricide
  • anti parasitaire
  • anti-stress
  • renforce la santé et vitalité
  • stimule la reproduction
  • couleurs plus vives (augmentation des défenses immunitaires)

Grâce aux tanins libérés, les feuilles vont simulées les conditions de l’eau noire (comme dans les eaux tropicales) et ainsi réduire naturellement le pH.

Mode d’emploi :

  • 1 feuille pour 60 litres à laisser flotter à la surface de l’eau pendant 2-3 semaines directement dans le bac ou dans un filet.

Le badamier est un arbre fruitier des tropiques, l’emploi de ses feuilles est surtout réputé dans le domaine des aquariophiles, pour soigner les poissons tropicaux. Les feuilles et l’écorce du badamier est un remède contre les angines de poitrines, les bronchites et la toux. Pris sous forme de décoction les feuilles du badamier traitent efficacement les infections urinaires.

Propriétés thérapeutiques et médicinales

Le badamier fait partie des plantes médicinales qui possède une écorce et des feuilles présentant de nombreuses vertus thérapeutiques, elles sont des stimulantes cardiaques et astringentes, antitussives et anti-diarrhéiques, antimycotiques et bactéricides, antiparasitaires et antistress.

Son utilisation est plus fréquente dans les pays d’origine du badamier (la Malaisie et la Nouvelle-Guinée) qu’en occident.

Malgré tout, encore aujourd’hui, il permet de traiter les angines de poitrine et les crises d’asthme, les bronchites et les diarrhées, prises en décoction ou sous conditionnement de sachet de thé, il soigne les toux et les infections urinaires, il est préconisé dans l’hypertension artérielle.

Mais l’emploi le plus réputé du badamier est dans le domaine de l’aquariophilie, il est reconnu pour ses vertus extraordinaires en phytothérapie.

Puisque les plus grands aquariophiles spécialisés dans les poissons tropicaux utilisent ses feuilles dans leur bac à reproduction.

Elles sont antiseptiques il suffit de plonger directement les feuilles dans les aquariums pour que soient libéré les tanins.

Ainsi cela permet de réduire le pH et le taux de métaux lourd contenu par l’eau, et de plus il est dit qu’elles permettraient d’être préventive sur la formation de champignons des œufs, elle augmente la vitalité, diminue le stress de ces vertébrés tout en renforçant leurs défenses immunitaires.

Principaux constituants : Les feuilles de cet arbre renferment une grande richesse en tanin, mais aussi en saponines et en flavonoïdes, en diterpène et triterpène, en composées phénoliques et en phytostérols

Badamier utilisation traditionnelles vertus : L’écorce et les feuilles du badamier sont utilisées en médecine traditionnelle pour leur richesse en tanin.

À Taiwan, elles servent à soigner les maladies touchant le foie et diverses affections bactériennes, au Suriname une décoction permet d’enrayer la dysenterie et la diarrhée, il fut même rapporté son utilisation en tant qu’agent anti cancer.

Les propriétés phytothérapiques des feuilles de l’arbre badamier ont été découvertes il y a fort longtemps par des éleveurs asiatiques (aquariophile) de certaines espèces de poissons, qui les ont utilisées pour leurs différentes vertus tant pour la reproduction que pour le traitement des diverses pathologies qui ciblent ces vertébrés aquatiques.

Les feuilles de l’arbre du badamier ont prouvé leur action hépatoprotectrice.

Traitement de la « pourriture des nageoires » avec Terminalia catappa et sel

Traitement au Sel + catappa  – pour un début de pourriture

Autre remède alternatif qui nécessite un bac hôpital chauffé, est l’utilisation du sel. Les plantes et les invertébrés ne supporteront pas ce traitement.

Il faut utiliser du sel de Guérande non iodé et si vous n’avez pas de catappa, vous pouvez remplacer par des feuilles de chênes.

Dans ce type d’utilisation à concentration faible, il n’est pas nécessaire de saler / dessaler progressivement.

Dosage:

  • 5 grammes de sel par litre à l’eau.

Si le bac hôpital fait 3 litres, diluez 15 grammes de sel dans l’eau.

Pour le changement d’eau, c’est tous les 1 ou 2 jours, à même température et même concentration de sel.

Pour la durée du traitement, c’est aussi longtemps que la pourriture est là, c’est à dire jusqu’à la repousse des nageoires (parties transparentes au bout des nageoires).

Et pour finir, si la pourriture continue d’empirer et surtout si c’est à grande vitesse, ne pas s’attarder sur un traitement au sel qui est très léger mais enchaîner rapidement sur un traitement antibactérien.

  

La tourbe

La tourbe provient de la fossilisation de débris de végétaux par des microorganismes (bactéries, champignons…). Elles se forment dans des milieux humides et pauvres en oxygène appelées tourbières (PH entre 4 et 5).

La tourbe constitue une étape à la formation de charbon. Ces tanins vont libérer des acides humiques permettant de baisser le PH.

En utilisation aquariophile, la tourbe va avoir un rôle épurateur car elle va libérer des hormones et du co2 ainsi que des substances utiles comme les oligoéléments.

Les acides humiques constituent un puissant anti-mycose particulièrement utile lors de la reproduction car ces acides permettent aux œufs de ne pas moisir.

La tourbe a aussi la particularité de ne pas changer la conductivité l’eau mais en revanche elle donne une coloration ambrée à l’eau.

Pour l’usage qui va en être fait, l’idéal est d’utiliser des plaquettes de tourbe.

 

Mode d’emploi :

  • Cassez cette plaquette en petits morceaux puis plongez-la dans un récipient rempli d’eau.
  • Faites bouillir quelques minutes ce mélange.
  • Filtrez le précieux liquide avec une passoire pour ne retenir que le jus qui sera débarrassé des éléments de la tourbe : le jus obtenu aura une coloration ambrée au pH acide.
  • Versez l’élixir dans l’aquarium.

La difficulté de ce mélange réside dans les proportions à appliquer. La mesure du PH avant utilisation et après versement de la solution dans le bac permet un dosage approximatif.

Avertissement : En cas d’alcalose, cette solution reste néanmoins efficace mais  son action lente.

4 jours sont le minimum nécessaire pour faire baisser le pH. de 7 à 6.5.

Fin de la première partie !

5 thoughts on “[1ère partie] La phytothérapie, pour les poissons aussi !

    • Merci Richard.
      La suite arrivera dans quelques jours…
      Tes commentaires font toujours plaisir à lire, dommage que tu sois le seul à en faire …
      @+

Leave a Reply