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Rheoheros lentiginosus – Article n°3 (Comportement – Eau – Alimentation – Aquarium)
RHEROHEROS LENTIGINOSUS – STEINDACHNER, 1864
Rheoheros lentiginosus se trouve dans les bassins hydrographiques des rivières Grijalva et Usumacinta.
Ces cichlidés préfèrent les habitats à écoulement rapide et riches en minéraux avec un substrat rocheux.
Ces cichlidés préfèrent les habitats riches en minéraux et à écoulement rapide avec un substrat rocheux.
Le bac prévu pour ces poissons devra comprendre de nombreuses cachettes placées dans des amas de roches, les morceaux de bois flotté et des branches plongées dans le substrat.
Atteignant plus de 25 centimètres de longueur, les mâles sont bleu vif avec de petites taches sombres couvrant tout leur corps, ce qui leur a valu le nom commun de «cichlidé à taches de rousseur».
De leur côté, les femelles sont longues et maigres avec des écailles mouchetées d’or, des taches noires et des nageoires accentuées de rouge et de bleu.
Rheoheros lentiginosus est territorial par nature ce qui n’empêche pas que ce cichlidé peut être gardé aux côtés d’autres cichlidés robustes dans de très grands bacs conçus avec des territoires distincts formés par des points de repère.
Rheoheros lentiginosus est un cichlidé assez exigent pour la qualité de son eau dont les conditions optimales de l’eau comprennent des températures de 26 à 30°C et un pH basique compris entre 7,0 et 8,0 et une dureté de 178 à 267 ppm.
Rheoheros (McMAHAN & MATAMOROS, 2015) est un taxon assez récent qui ne contient que deux espèces :
- Rheoheros lentiginosus ;
- Rheoheros coeruleus.
Ces deux espèces étaient anciennement placés dans Theraps.
Rheoheros est principalement caractérisé par un motif de couleur unique de taches et/ou de barres sombres sur un corps allongé.
C’est une belle espèce ressemblant aux espèces Coeruleus du même genre, et se distingue par le motif sur le côté du corps, les traits du visage et la taille finale.
Dans l’ensemble, à bien observer, Rheoheros ressemble par bien des aspects à un Vieja Argentéa divisé en deux et donc bien plus élancé élancé.
Rheoheros lentiginosus – Article n°2 (Description)
HEOHEROS LENTIGINOSUS – STEINDACHNER, 1864
Rheoheros lentiginosus se trouve dans les bassins hydrographiques des rivières Grijalva et Usumacinta.
Ces cichlidés préfèrent les habitats à écoulement rapide et riches en minéraux avec un substrat rocheux.
Ces cichlidés préfèrent les habitats riches en minéraux et à écoulement rapide avec un substrat rocheux.
Le bac prévu pour ces poissons devra comprendre de nombreuses cachettes placées dans des amas de roches, les morceaux de bois flotté et des branches plongées dans le substrat.
Atteignant plus de 25 centimètres de longueur, les mâles sont bleu vif avec de petites taches sombres couvrant tout leur corps, ce qui leur a valu le nom commun de «cichlidé à taches de rousseur».
De leur côté, les femelles sont longues et maigres avec des écailles mouchetées d’or, des taches noires et des nageoires accentuées de rouge et de bleu.
Rheoheros lentiginosus est territorial par nature ce qui n’empêche pas que ce cichlidé peut être gardé aux côtés d’autres cichlidés robustes dans de très grands bacs conçus avec des territoires distincts formés par des points de repère.
Rheoheros lentiginosus est un cichlidé assez exigent pour la qualité de son eau dont les conditions optimales de l’eau comprennent des températures de 26 à 30°C et un pH basique compris entre 7,0 et 8,0 et une dureté de 178 à 267 ppm.
Rheoheros (McMAHAN & MATAMOROS, 2015) est un taxon assez récent qui ne contient que deux espèces :
- Rheoheros lentiginosus ;
- Rheoheros coeruleus.
Ces deux espèces étaient anciennement placés dans Theraps.
Rheoheros est principalement caractérisé par un motif de couleur unique de taches et/ou de barres sombres sur un corps allongé.
C’est une belle espèce ressemblant aux espèces Coeruleus du même genre, et se distingue par le motif sur le côté du corps, les traits du visage et la taille finale.
Dans l’ensemble, à bien observer, Rheoheros ressemble par bien des aspects à un Vieja Argentéa divisé en deux et donc bien plus élancé élancé.
Rheoheros lentiginosus – Article n°1 (Répartition & Taxonomie) + BONUS
RHEOHEROS LENTIGINOSUS – STEINDACHNER, 1864
Rheoheros lentiginosus se trouve dans les bassins hydrographiques des rivières Grijalva et Usumacinta.
Ces cichlidés préfèrent les habitats à écoulement rapide et riches en minéraux avec un substrat rocheux.
Ces cichlidés préfèrent les habitats riches en minéraux et à écoulement rapide avec un substrat rocheux.
Le bac prévu pour ces poissons devra comprendre de nombreuses cachettes placées dans des amas de roches, les morceaux de bois flotté et des branches plongées dans le substrat.
Atteignant plus de 25 centimètres de longueur, les mâles sont bleu vif avec de petites taches sombres couvrant tout leur corps, ce qui leur a valu le nom commun de «cichlidé à taches de rousseur».
De leur côté, les femelles sont longues et maigres avec des écailles mouchetées d’or, des taches noires et des nageoires accentuées de rouge et de bleu.
Rheoheros lentiginosus est territorial par nature ce qui n’empêche pas que ce cichlidé peut être gardé aux côtés d’autres cichlidés robustes dans de très grands bacs conçus avec des territoires distincts formés par des points de repère.
Rheoheros lentiginosus est un cichlidé assez exigent pour la qualité de son eau dont les conditions optimales de l’eau comprennent des températures de 26 à 30°C et un pH basique compris entre 7,0 et 8,0 et une dureté de 178 à 267 ppm.
Rheoheros (McMAHAN & MATAMOROS, 2015) est un taxon assez récent qui ne contient que deux espèces :
- Rheoheros lentiginosus ;
- Rheoheros coeruleus.
Ces deux espèces étaient anciennement placés dans Theraps.
Rheoheros est principalement caractérisé par un motif de couleur unique de taches et/ou de barres sombres sur un corps allongé.
C’est une belle espèce ressemblant aux espèces Coeruleus du même genre, et se distingue par le motif sur le côté du corps, les traits du visage et la taille finale.
Dans l’ensemble, à bien observer, Rheoheros ressemble par bien des aspects à un Vieja Argentéa divisé en deux et donc bien plus élancé élancé.
Paraneetroplus gibbiceps- Article n°4 (Reproduction & Elevage & Conservation)
Paraneetroplus gibbiceps – STEINDACHNER, 1864
La plupart des cichlidés néotropicaux occupent des habitats lentiques dans les rivières et les ruisseaux; mais il existe également un certain nombre d’espèces rhéophiles moyennement à fortement adaptées.
La diversité des cichlidés s’explique à la fois par les soins avancés du couvain, leur morphologie particulière, leur adaptation physiologique aux milieux dans lesquels ils vivent et par bien d’autres critères qui font la richesse et expliquent l’engouement que ces cichlidés suscitent chez les aquariophiles.
Ces dernières comprennent entre autres de nombreuses espèces de Crenicichla et les genres Teleocichla et Retroculus, qui sont distribués principalement dans les hauts plateaux brésiliens et guyanais, mais l’Amérique du sud n’est pas la seule à compter ce type de poisson : il en existe aussi en Amérique centrale !
La majorité des cichlidés néotropicaux se nourrissent d’une variété d’invertébrés et de certaines matières végétales, parmi toutes ces espèces, il en existe quelques-unes appartenant au genre méconnu « Paraneetroplus ».
Ces espèces se sont spécialisés pour vivre dans leur biotope et présentent des caractères physiques particuliers, souvent proches de certains cichlidés africains.
Paraneetroplus gibbiceps est l’une des ces espèces, parfaitement méconnue du grand public des aquariophiles, parfois maintenu par quelques cichlidophiles curieux et à l’affut de la nouveauté et du poisson qui sort du commun.
La maintenance de cette espèce est aussi particulière et exigeante, ce qui explique aussi sa faible diffusion dans le monde aquariophile.
Bref, une découverte de Paraneetroplus gibbiceps s’imposait !
Paraneetroplus gibbiceps – Article n°3 (Dimorphisme & Comportement & Aquarium & Alimentation)
Paraneetroplus gibbiceps – STEINDACHNER, 1864
La plupart des cichlidés néotropicaux occupent des habitats lentiques dans les rivières et les ruisseaux; mais il existe également un certain nombre d’espèces rhéophiles moyennement à fortement adaptées.
La diversité des cichlidés s’explique à la fois par les soins avancés du couvain, leur morphologie particulière, leur adaptation physiologique aux milieux dans lesquels ils vivent et par bien d’autres critères qui font la richesse et expliquent l’engouement que ces cichlidés suscitent chez les aquariophiles.
Ces dernières comprennent entre autres de nombreuses espèces de Crenicichla et les genres Teleocichla et Retroculus, qui sont distribués principalement dans les hauts plateaux brésiliens et guyanais, mais l’Amérique du sud n’est pas la seule à compter ce type de poisson : il en existe aussi en Amérique centrale !
La majorité des cichlidés néotropicaux se nourrissent d’une variété d’invertébrés et de certaines matières végétales, parmi toutes ces espèces, il en existe quelques-unes appartenant au genre méconnu « Paraneetroplus ».
Ces espèces se sont spécialisés pour vivre dans leur biotope et présentent des caractères physiques particuliers, souvent proches de certains cichlidés africains.
Paraneetroplus gibbiceps est l’une des ces espèces, parfaitement méconnue du grand public des aquariophiles, parfois maintenu par quelques cichlidophiles curieux et à l’affut de la nouveauté et du poisson qui sort du commun.
La maintenance de cette espèce est aussi particulière et exigeante, ce qui explique aussi sa faible diffusion dans le monde aquariophile.
Bref, une découverte de Paraneetroplus gibbiceps s’imposait !
Paraneetroplus gibbiceps – Article n°2 (Description)
Paraneetroplus gibbiceps – STEINDACHNER, 1864
La plupart des cichlidés néotropicaux occupent des habitats lentiques dans les rivières et les ruisseaux; mais il existe également un certain nombre d’espèces rhéophiles moyennement à fortement adaptées.
La diversité des cichlidés s’explique à la fois par les soins avancés du couvain, leur morphologie particulière, leur adaptation physiologique aux milieux dans lesquels ils vivent et par bien d’autres critères qui font la richesse et expliquent l’engouement que ces cichlidés suscitent chez les aquariophiles.
Ces dernières comprennent entre autres de nombreuses espèces de Crenicichla et les genres Teleocichla et Retroculus, qui sont distribués principalement dans les hauts plateaux brésiliens et guyanais, mais l’Amérique du sud n’est pas la seule à compter ce type de poisson : il en existe aussi en Amérique centrale !
La majorité des cichlidés néotropicaux se nourrissent d’une variété d’invertébrés et de certaines matières végétales, parmi toutes ces espèces, il en existe quelques-unes appartenant au genre méconnu « Paraneetroplus ».
Ces espèces se sont spécialisés pour vivre dans leur biotope et présentent des caractères physiques particuliers, souvent proches de certains cichlidés africains.
Paraneetroplus gibbiceps est l’une des ces espèces, parfaitement méconnue du grand public des aquariophiles, parfois maintenu par quelques cichlidophiles curieux et à l’affut de la nouveauté et du poisson qui sort du commun.
La maintenance de cette espèce est aussi particulière et exigeante, ce qui explique aussi sa faible diffusion dans le monde aquariophile.
Bref, une découverte de Paraneetroplus gibbiceps s’imposait !
Paraneetroplus gibbiceps Article n°1 (Répartition & taxonomie)
Paraneetroplus gibbiceps – STEINDACHNER, 1864
La plupart des cichlidés néotropicaux occupent des habitats lentiques dans les rivières et les ruisseaux; mais il existe également un certain nombre d’espèces rhéophiles moyennement à fortement adaptées.
La diversité des cichlidés s’explique à la fois par les soins avancés du couvain, leur morphologie particulière, leur adaptation physiologique aux milieux dans lesquels ils vivent et par bien d’autres critères qui font la richesse et expliquent l’engouement que ces cichlidés suscitent chez les aquariophiles.
Ces dernières comprennent entre autres de nombreuses espèces de Crenicichla et les genres Teleocichla et Retroculus, qui sont distribués principalement dans les hauts plateaux brésiliens et guyanais, mais l’Amérique du sud n’est pas la seule à compter ce type de poisson : il en existe aussi en Amérique centrale !
La majorité des cichlidés néotropicaux se nourrissent d’une variété d’invertébrés et de certaines matières végétales, parmi toutes ces espèces, il en existe quelques-unes appartenant au genre méconnu « Paraneetroplus ».
Ces espèces se sont spécialisés pour vivre dans leur biotope et présentent des caractères physiques particuliers, souvent proches de certains cichlidés africains.
Paraneetroplus gibbiceps est l’une des ces espèces, parfaitement méconnue du grand public des aquariophiles, parfois maintenu par quelques cichlidophiles curieux et à l’affut de la nouveauté et du poisson qui sort du commun.
La maintenance de cette espèce est aussi particulière et exigeante, ce qui explique aussi sa faible diffusion dans le monde aquariophile.
Bref, une découverte de Paraneetroplus gibbiceps s’imposait !
Krobia guianensis – Article n°5 (Reproduction & Elevage & Conservation)
Krobia guianensis – Article n°4 (Comportement & Alimentation & Aquarium)
Krobia guianensis – Article °3 (Description)
Krobia guianensis – Article n°2 (Taxonomie & Nom)
Krobia guianensis – Article n°1 (Répartition & Biotope)
Satanoperca leucosticta – Article n°7 (Elevage & Conservation)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…
Satanoperca leucosticta – Article n°6 (Reproduction)
Satanoperca leucosticta – MÜLLER & TROSCHEL, 1849
Les Satanoperca habitent des eaux calmes et à débit lent, on les trouve souvent près des rives, dans des endroits où la boue est la plus souvent présente, ou quand le sol est constitué d’argile et de sable fin recouvert d’un tapis de feuilles mortes et de débris de toutes sortes…
Avec un tel nom, ce sont pourtant des poissons très timides avec une apparence singulière que leur donne leur museau allongé, leurs gros yeux et leur bouche qui leur donne l’impression de sourire ne permanence.
Rien de diabolique n’existe chez ces cichlidés, si ce n’est leur maintenance qui demande une certaine rigueur et un peu d’expérience : C’est peut-être à cause de tout cela que leur nom leur est venu ?
Ces poissons passent le clair de leur temps à chercher de la nourriture sur le sol, en journée souvent dans des eaux assez profondes afin d’éviter les prédateurs, en particulier les oiseaux qui se rassemblent dans les branches arbres à guetter leurs proies.
La nuit, ils émergent des bas-fonds, vont près des berges pour éviter d’autres prédateurs que sont les poissons-chats qui deviennent plus actifs la nuit.
La liste des prédateurs est encore longue car ces poissons, et leur nom devrait décourager tous ces prédateurs, pourtant, ils partagent aussi les mêmes eaux que les célèbres et peu fréquentables Piranhas.
Finalement, que ce soit son nom ou ces spécificités de maintenance, tout milite pour ne pas s’intéresser à ce magnifique poisson qui ravira son propriétaire et éleveur.
Posséder des Satanoperca leucosticta c’est un peu comme avoir des bijoux étincelants dans l’aquarium…
Il faudra probablement encore quelques années et surtout prendre le temps de découvrir ce magnifique cichlidé, avant que le nom Satanoperca leucosticta soit bien reconnu parmi les aquariophiles même si, aujourd’hui c’est une autre espèce de Satanoperca, « Satanoperca jurupari », très similaire, qui emporte les faveurs et qui semble bien connue du public aquariophile…