François Louis NOMPAR de CAUMONT LAPORTE

De façon précise et historique, le premier collectionneur scientifique et créateur de la nomenclature type valide de l’espèce “Mesonauta” est à juste titre le Comte François de CASTELNAU.

François Louis NOMPAR de CAUMONT LAPORTE, comte de Castelnau est un explorateur et un naturaliste français, né le 25 décembre 1810 à Londres et mort le 4 février 1880 à Melbourne.

Il a utilisé également les noms de Francis de Castelnau, François Laporte et François Delaporte.

Entre 1843 et 1847, il entreprit une longue expédition, allant de Rio de Janeiro par l’Amérique du Sud équatoriale à Lima.

Une partie importante de sa tournée, qu’il montait à cheval et à mulets pris part, conduit le long du Rio Araguaia.

Publier ses expériences il a ouvert plusieurs volumes envoyer de la documentation. En 1855, il semblait être le groupe dans lequel il prenait entre autres choses rapportées sur les cichlidés

Né à Londres, il est le fils illégitime de la comtesse de Mesnard-La Barotière, fille du duc de La Force et veuve depuis plusieurs années, et, d’après certains auteurs, du futur roi d’Angleterre George IV ; ce qui ferait de lui le cousin germain de la reine Victoria.

Sa situation irrégulière explique les incertitudes sur son nom et sur sa date de naissance, ainsi que les inconnues de ses premières années.

Dans les années 1830, il réside à Paris et fait partie des membres fondateurs de la Société entomologique de France, qui voit le jour le 29 février 1832.

Auteur de plusieurs ouvrages publiés dans les années 1830-1850, il rédige notamment la partie de « Coléoptères » de l’Histoire naturelle des animaux articulés (1840), l’une des dernières monographies traitant l’ensemble de cet ordre d’insectes.

Accepté et intégré dans la haute aristocratie française, il épouse une cousine de sa mère et voyage beaucoup, en partie à titre personnel, en partie pour le compte du gouvernement français.

Sa mission en Amérique du Sud, de 1843 à 1847, fait l’objet d’une publication célèbre. Il conduit notamment une expédition de 1837 à 1841 en Amérique du Nord pour y étudier les lacs canadiens, les États-Unis et le Mexique.

De 1843 à 1847, il conduit une expédition comprenant trois autres personnes dont le botaniste Hugh d’Algernon Weddell, à travers l’Amérique du Sud, du Pérou au Brésil.

C’est grâce à l’appui du duc d’Orléans et du duc de Nemours que l’expédition peut être organisée.

Nommé consul de France à Bahia en 1848, puis, peu de temps après au Siam, fonction qu’il occupe jusqu’en 1862.

Il arrive à Melbourne en 1862 et y occupe les fonctions de consul de France de 1864 à 1870.

Il y reste après sa retraite et y meurt, après avoir légué sa riche collection de coléoptères au musée de cette ville.

Il participe activement aux activités de la Société d’acclimatation de Victoria et de la Société d’entomologie des Nouvelles-Galles du Sud.

On lui doit plusieurs ouvrages d’entomologie.

Dans ses ouvrages, il a décrit 16 nouveaux cichlidés dont KULLANDER, par la suite en 2003 reconnaitra valides 5 d’entre elles.

Après un voyage de collecte de fonds de 18 ans en Amérique du Sud, Johann Natterer rentra chez lui en Autriche en 1835 avec de grandes collections de poissons, entre autres.

Cela a conduit Jacob Heckel au musée d’histoire naturelle de Vienne à traiter et à commencer à décrire le poisson. Malheureusement, seul le premier volume de cichlidés est sorti.

Puis il s’est intéressé aux poissons d’autres parties du monde.

Le livre comprend toujours des descriptions de 49 nouvelles espèces de cichlidés, dont certaines, cependant, d’Amérique centrale.

Voici également les deux premiers cichlidés drapeau :

  • Héros festivus

et

  • Héros insignis.

Quelques années plus tard, est venue une description d’un troisième cichlidé drapeau. C’est le chercheur français de Castelnau (selon Wikipédia, son nom complet était : Francis-Louis Nompar de Caumont La Force de La Porte, comte de Castelnau) qui, en 1855, décrivit Chromys acora .

Les pêcheurs ont fondé leur propre famille en 1864 lorsque Albert Günther, du Natural History Museum de Londres, a décrit Mesonauta .

Cependant, il pensait qu’ils étaient si similaires qu’il les a tous regroupés sous le nom de Mesonauta insignis .