Panamius panamensis – Article n°2 : Noms & Description

Panamius panamensis – MEEK & HILDEBRAND, 1913

Panamius panamensis est un très joli cichlidé d’Amérique centrale, pas trop gros…juste la bonne taille pour un aquarium de bonnes dimensions !

Il a un caractère bien trempé, ce qui le rend moins adapté aux débutants.

Si vous avez un peu plus d’expérience dans l’élevage de poissons, c’est un défi amusant … ne serait-ce que pour la recherche de cette espèce difficile à trouver.

Panamius panamensis est une très belle espèce d’Amérique centrale à croissance basse qui ne vit qu’au Panama.

Panamius panamensis est un cichlidé à croissance lente d’Amérique centrale, l’un des poissons les plus joliment colorés de ce genre, dont la coloration est très variable.

Ses yeux bleu-vert et ses nageoires bordées de rouge sont d’une beauté exceptionnelle.

Le cichlidé panaméen fait partie des cichlidés qui ne sont pas difficiles à élever car ils n’ont vraiment pas besoin de propriétés particulières de l’eau.

NOMS

NOM COMMUNS

  • Pielęgnica panamska (Cichlidé Panama/Bosniaque) ;
  • Kančík panamský (Cichlidé du Panama/slovaque) ;
  • Rosy cichlid ;
  • Cichlidé de Panama ;
  • ….

SYNONYMES

  • Cryptoheros panamensis – MEEK & HILDEBRAND, 1913 ;
  • Neetroplus panamensis – MEEK & HILDEBRAND, 1913 ;
  • Archocentrus panamensis – MEEK & HILDEBRAND, 1913 ;
  • Cichlasoma panamense – MEEK & HILDEBRAND, 1913 ;
  • Theraps panamense – MEEK & HILDEBRAND, 1913 ;
  • Neetroplus panamensis – MEEK & AL, 1913 ;
  • Cichlasoma panamense – ROGERS, 1981 ;
  • Cichlasoma panamense – CONKEL, 1993 ;
  • Hypsophrys panamensis – BUSSING, 1998 ;
  • Archocentrus panamensis – KULLANDER, 2003 ;
  • Cryptoheros (Panamius) panamensis – SCHMITTER-SOTTO, 2007 ;
  • Panamius panamensis – ŘICAN & Al., 2016 ;

ETHYMOLOGIE

Archocentrus : ce mot composé Genre vient de :

  • « Arch » qui signifie « anus» en grec (grec)

et

  • « kentron» qui signifie « dard » en grec.

Ce mot fait référence aux épines de la nageoire anale caractéristiques de ce genre de cichlidé.

Panamius panamensis a été décrit pour la première fois en 1913 par MEEK & HILDEBRAND.

Le nom de genre « Panamius » fait référence au Panama, le pays où ce genre est présent.

Le nom d’espèce « panamensis » peut être divisé en deux parties.

La première partie fait référence au Panama.

La conjugaison « ensis » indique un lieu.

Elle a changé plusieurs fois de genre au cours des 30 dernières années, de Neetroplus à Archocentrus puis à Cryptoheros.

Actuellement, c’est la seule espèce du genre Panamius.

La question est de savoir si cela restera le cas ou si, à termes, cette espèce sera replacée dans le genre Cryptoheros…ou un autre ?

DESCRIPTION

Plus tard également, cette espèce a été rattachée aux genres :

  • Cichlasoma ;
  • Hypsophrys ;
  • Archocentrus ;
  • Cryptoheros ;
  • Plus récemment…Panamius !

C’est en 2007 que l’ichtyologue mexicain Juan SCHMITTER-SOTTO introduit le sous-genre « Panamius » pour cette espèce.

En 2016, « Panamius » est enfin élevé au rang de « genre » et Panamius panamensis est la seule et unique espèce de ce genre.

Le genre « Panamius » est étroitement apparenté aux autres genres de l’est de l’Amérique centrale et est le genre frère de « Darienheros ».

Cette espèce peut atteindre une longueur totale maximale d’environ 13 centimètres ce qui en fait l’un des plus petits cichlidés d’Amérique centrale.

Les femelles sont encore un peu plus petites que les mâles.

La couleur de fond est blanc crème avec une couleur rouge sur le dessus et des points bleus entre les deux.

Au dos, ils ont une couleur vert olive qui transparaît légèrement entre les couleurs.

Ils ont souvent des taches noires sur le flanc.

Pendant la période de reproduction, la femelle change de couleur.

La couleur de fond blanc crème demeure mais la couleur rouge disparaît.

Au lieu de cela, ils développent des taches grises qui leur donnent un aspect gris.

CLE DES ESPECES

Sans objet : Le genre Panamius ne comporte actuellement qu’une seule espèce …mais, il est probable qu’à termes, ce genre comprennent au moins deux espèces car des poissons ont été observés avec 2 robes de reproductions uniques.

…A SUIVRE.

MORPHOLOGIE

L’espèce a été décrite en 1913 par les ichtyologues américains Seth Eugene MEEK et Samuel Frederick HILDEBRAND sous le nom de « Neetroplus panamensis ».

 

Description de Neetroplus panamensis sp. nov. Faite par MEEK & HILDEBRAND en mars 1913

  • Type n° 7601, F. M. N. H. ;
  • Longueur 104 millimètres ;
  • Rio Mandingo, Bas Obispo, Zone du Canal, Panama.
  • Tête 3,0 à 3,3 ;
  • Profondeur 2,0 à 2,2 ; I).
  1. XVI ou XVII, 9 ;
  2. VI ou VU, 6 ou 7 ;
  • seules 29.
  • Corps allongé, comprimé, robuste antérieurement ;
  • Profil convexe, devenant presque droit au-dessus ;
  • Marge de la mâchoire supérieure sous le niveau de la marge inférieure de l’œil et juste au-dessus de la marge supérieure de la base du pectoral ;
  • Mâchoires subégales ;
  • Dents comprimées, en forme d’incisives ;
  • Lèvres normales, l’inférieure avec un frein ;
  • Bouche terminale, petite, le maxillaire n’atteignant pas l’œil, sa longueur 3,4 à 3,7 dans la tête ;
  • Œil 3,3 à 3,4 ;
  • Préorbitaire 3,7 à 4,3 ;
  • Post-orbitaire 2,4 à 2,7 ;
  • Museau 2,5 à 2,9 ;
  • Nageoire dorsale plutôt haute ;
  • Epine la plus longue 2,2 à 2,6 sur la tête ;
  • Epine anale la plus longue 2,2 à 2,5 ;
  • Base de la nageoire anale 3,6 à 3,8 sur le corps ;
  • Nageoire pectorale n’atteignant pas l’orifice, sa longueur 3,2 à 3,5 sur le corps ;
  • Nageoires ventrales dépassant l’origine de l’anale, 2,6 à 2,9 sur le corps ;
  • Pédoncule caudal 1,9 à 2,1 sur la tête ;
  • Nageoire caudale arrondie ;
  • 2 rangées de seules entre le premier rayon dorsal et la ligne latérale ;
  • Branchiospines 2 + 6 ;
  • Ecailles à la base de la dorsale molle et de l’anale ;
  • Couleur olivacée ;
  • Côtés avec 7 ou 8 barres sombres indistinctes, irrégulières, ou taches noires indistinctes ;
  • Une tache sombre à la base de la caudale ;
  • Nageoires verticales sans taches.

Corps

Le corps est légèrement allongé ;

Le corps est plus allongé que celui des autres Cryptoheros mais la principale chose qui le distingue des Cryptoheros est sa bouche située en dessous, au bord même de la tête.

Sur ce critère, il existe une forte similitude avec Neetroplus nematopus.

La forme du corps n’est similaire qu’en apparence puisque le genre « Talamancaheros » vit dans un complexe lotique caractérisant son postcrânien tandis que le genre « Panamius » est issu d’un complexe lentique[1].

Tête

Le genre « Panamius » se distingue également du genre « Neetroplus » par son physique postcrânien lentique (vs lotique).

Panamius combine une morphologie crânienne détritivore/grattante avec des dents buccales apomorphes avec une morphologie postcrânienne lentique ;

Panamius a des dents buccales apomorphes tronquées, labiolingualement aplaties, ressemblant à des incisives, semblables à Neetroplus, mais plésiomorphes à ce genre en ce sens qu’elles ont des pointes arrondies (pointues chez les juvéniles), leurs bords mordants ne formant pas de ligne.

La principale différence par rapport aux autres représentants du genre est la localisation inférieure de la bouche : La bouche est terminale ;

Cette espèce se distingue par les caractères suivants :

  • Les dents sont tronquées et comprimées labio-lingualement, en forme d’incisives, à extrémités arrondies (chez les juvéniles, les extrémités sont pointues) ;
  • Les bords mordants ne forment pas de ligne.

Nageoires

Panamius est plésiomorphe à Cryptoheros, Amatitlania et Neetroplus en ce sens qu’il n’a pas de méristiques nageoires et épines élevées.

Chez Panamius, les nageoires appariées s’étendent rarement ou jamais en arrière de la première épine de la nageoire anale (en raison du faible nombre d’épines de la nageoire anale décalées vers l’avant) ;

La nageoire anale n’a que six épines de la nageoire anale (contre sept ou plus) ;

La nageoire dorsale aussi peu que 16 épines (contre toujours 17 ou plus).

Les nageoires appariées s’étendent rarement, voire jamais, jusqu’au début de la nageoire anale ;

Les pointes sont arrondies pour ne pas former de ligne ensemble ;

Les caractéristiques méristiques (dénombrables) qui distinguent cette espèce des autres cichlidés Amphilophines (liés à Amphilophus) comprennent les critères suivants :

La nageoire dorsale a 16 à 18 rayons durs et 9 à 10 rayons mous ;

La nageoire anale a 6 rayons durs et 7 à 8 rayons mous ;

Les nageoires appariées s’étendent rarement, voire jamais, jusqu’au début de la nageoire anale.

Les pointes sont arrondies pour ne pas former de ligne ensemble.

Panamius se distingue des « Cryptoheros » et « Amatitlania » similaires par la forme du crane (sauf les dents buccales) et postcrâniennes (sauf les méristiques des nageoires) par un changement apomorphique [1]marqué dans la coloration nuptiale qui n’est pas une intensification de la coloration normale (c’est-à-dire des barres verticales, comme c’est le cas commun chez les cichlidés) mais présente un nouveau modèle, différent du genre « Neetroplus ».

La coloration reproductrice et certains aspects de

[1] Un caractère apomorphe ou apomorphique, au contraire de plésiomorphe, distingue un organisme ou un taxon des autres qui partagent le même ancêtre.

COLORATION

Les cichlidés sont des poissons très voyants avec un système de communication complexe.

Leur patron de coloration est formé par l’interaction de milliers de chromatophores sous contrôle du système nerveux, il peut changer rapidement sous l’influence de l’état de motivation ou au moment de la reproduction.

Le patron de coloration est particulièrement important dans la communication des cichlidés et ces modèles sont souvent très utiles dans la discrimination taxonomique entre les espèces.

Panamius panamensis est un cichlidé à croissance lente d’Amérique centrale et c’est aussi l’un des poissons les plus joliment colorés.

Les poissons sont gris avec une teinte rosâtre et de plus grandes taches noires sur les côtés du corps.

Au Panama, on les appelle donc « Peje motete » (poisson tacheté).

Contrairement à la plupart des autres cichlidés d’Amérique centrale, les couleurs du cichlidé de Panama ne deviennent pas plus intenses pendant la saison de reproduction…au contraire !

Pourtant, il est difficile de décrire avec des mots la couleur car souvent elle change en fonction de l’humeur et l’état du poisson.

On peut proposer plusieurs définitions :

  • Les Panamius panamensis sont gris avec des reflets rosés et avec des taches rouges qui sont généralement plus nombreuses et intenses chez les mâles que chez les femelles.
  • La couleur générale du corps est rose grisâtre avec une teinte dorée avec de petites taches nacrées qui sont dispersées sur le corps et la tête.
  • Les poissons sont gris avec une teinte rosâtre et de plus grandes taches noires sur les côtés du corps.
  • La tête et le dos sont gris-vert et, à partir du premier tiers environ de la hauteur, le reste du corps est de couleur très claire, allant du gris clair au rosé avec de minuscules points nacrés bleu-vert ou tirets sont dispersés sur tout le corps et les nageoires non appariées.
  • Ses yeux sont bleu-vert.
  • Les nageoires sont bordées de rouge sont d’une beauté exceptionnelle.

Fait remarquable, contrairement à la plupart des autres cichlidés d’Amérique centrale, les couleurs du cichlidé Panama ne deviennent pas plus intenses pendant la saison de reproduction.

Les caractères méristiques (dénombrables) qui distinguent l’espèce des autres cichlidés Amphilophines (liés à Amphilophus) comprennent peu d’épines de la nageoire anale (6 contre 7 ou plus) et quelques épines de la nageoire dorsale (16 contre 17 ou plus).

En fait, il existe plusieurs variantes de couleurs du cichlidé Panama.

On distingue :

  • La variété rougeâtre qui vient du système hydrographique du Rio Chagres ;

  • Une variété un plus blanche-brune qui peut être trouvée dans les systèmes du Rio Chepo et du Rio Tuira

TAILLE

Cela en fait l’un des plus petits cichlidés d’Amérique centrale.

Cette espèce peut atteindre une longueur totale maximale et moyenne d’environ 13 centimètres.

Les femelles sont un peu plus petites que les mâles : Les femelles mesurent jusqu’à 8 – 9 centimètres.

Femelle Panamius panamensis

Mâle Panamius panamensis

Les mâles mesurent jusqu’à 15 centimètres au maximum.

Certaines sources annoncent le chiffre 19 centimètres qui parait un peu exagéré mais pourrait s’expliquer à partir de spécimen élevés en aquarium et parfaitement bien maintenus.

De telles tailles seraient des exceptions.

SIGNES DISTINCTIFS & DIFFERENCIATION

Panamius panamensis combine une morphologie crânienne détritivore/grattante avec des dents buccales apomorphes avec une morphologie postcrânienne lentique.

Panamius panamensis a des dents buccales apomorphes tronquées, labiolingualement aplaties, ressemblant à des incisives, semblables à Neetroplus nematopus, mais plésiomorphes à ce genre en ce sens qu’elles ont des pointes arrondies (pointues chez les juvéniles), leurs bords mordants ne formant pas de ligne.

Panamius panamensis se distingue également de Neetroplus nematopus par son postcrânien lentique (vs lotique).

Neetroplus nematopus

Neetroplus nematopus

Panamius panamensis se distingue des Cryptoheros et d’Amatitlania qui sont similaires crâniennement (sauf les dents buccales) et post-crâniennement (sauf les méristiques des nageoires) par un changement apomorphique marqué dans la coloration nuptiale qui n’est pas une intensification de la coloration normale (c’est-à-dire des barres verticales, comme c’est le cas commun chez les cichlidés) mais présente un nouveau modèle, différent de Neetroplus.

La coloration reproductrice et certains aspects de la coloration non reproductrice ainsi que la forme du corps sont très similaires à celles de Talamancaheros.

La forme du corps n’est similaire qu’en apparence puisque « Talamancaheros » a un complexe lotique de caractères caractérisant son postcrânien tandis que Panamius a un complexe lentique de caractères.

Panamius est plésiomorphe[1] à Cryptoheros, Amatitlania et Neetroplus en ce sens qu’il n’a pas de méristiques nageoires et épines élevées.

Chez Panamius, les nageoires appariées s’étendent rarement ou jamais en arrière de la première épine de la nageoire anale (en raison du faible nombre d’épines de la nageoire anale décalées vers l’avant), la nageoire anale n’a que six épines de la nageoire anale (contre sept ou plus) et la nageoire dorsale aussi peu que 16 épines (contre toujours 17 ou plus).

HILDEBRAND (1913) : La ressemblance de Panamius panamensis avec Neetroplus est considérée comme une convergence (homoplasie).

Panamius panamensis a un faible nombre d’épines dans la nageoire anale, ce qui est atypique.

Cette espèce diffère de ses congénères par :

  • La présence modale de 3 rangées d’écailles sur la joue (contre 4 ou plus) ;
  • La présence d’une seule tache à l’angle postéro-ventral de l’opercule (contre des taches absentes, ou 1 tache présente mais non située à l’angle chez d’autres espèces sauf Cryptoheros altoflavus) ;
  • Une intensification médiale seulement de la 4e barre latérale sur le côté du corps (contre soit seulement sur la 3e barre, soit aucune) ;
  • Le bord dorsal de l’os articulaire est droit (en opposition à convexe) ;
  • La première épine neurale est dirigée rétrorsément (contre antrorse chez toutes les autres espèces sauf Cryptoheros spilurus et Cryptoheros cutteri) ;
  • Présence de 2 éléments dorsaux entre les deux premières épines épineurales (contre 3) ;
  • Les nageoires appariées s’étendent rarement ou jamais postérieurement à la première épine de la nageoire anale ;
  • Les épines de la nageoire anale sont au nombre de 6 (contre 7 ou plus) ;
  • Les épines de la nageoire dorsale sont au nombre de 16 (contre toujours 17 ou plus) ;
  • Les épines des nageoires dorsale et anale sont au nombre de 23 (contre 24 ou plus).

DUREE DE VIE

L’espérance de vie est environ de 7-8 ans.

REFERENCES

LITTERATURE

MEEK, Seth Eugène et SF HILDEBRAND. 1913. “Nouvelles espèces de poissons du Panama“. Musée Field d’Histoire Naturelle. Publication 166 ; Série Zoologie 7 (3); pp; 77-91

KULLANDER, Sven. 2003. “Famille des Cichlidés (Cichlidés)”. Vérifiez la liste des poissons d’eau douce d’Amérique du Sud et d’Amérique centrale. p. 605-654

ROGERS, W. 1981. “Statut taxonomique des poissons cichlidés du genre Neetroplus d’Amérique centrale “. Copée. n.1981 (2); p. 286-296

SCMITTER-SOTTO, Juan Jacobo. 2007. « Une révision systématique du genre Archocentrus (Perciformes : Cichlidae), avec la description de deux nouveaux genres et six nouvelles espèces ». Zootaxes. n.1603, p. 1-78

ŘICAN, OLDRICH & L. PIALEK, K. DRAGOVA & J. NOVAK. 2016. « Diversité et évolution des poissons cichlidés d’Amérique centrale (Teleostei : Cichlidae) avec classification révisée ». Zoologie des vertébrés. v.66(n.1), p. 1 – 102

ALLGAYER, R. (2001) « Description d’un genre nouveau, Cryptoheros, d’Amérique Centrale et d’une espèce nouvelle du Panama (Poissons : Cichlidae). L’An Cichlidé, 1, 13-20 ».

MEEK, SE & HILDEBRAND, SF (1913) « Nouvelles espèces de poissons du Panama ». Field Museum of Natural History Publications, Zoological Series, 166, 77–91.

SCHMITTER-SOTTO, JJ, 2007. « Une révision systématique du genre Archocentrus (Perciformes : Cichlidae), avec la description de deux nouveaux genres et de six nouvelles espèces ». Zootaxa 1603, 1-76.

AUTRES LIENS

https://www.b-aqua.com/pages/fiche.aspx?id=1417

[1] Plésiomorphe : Dans l’analyse cladistique, se dit d’un caractère biologique non spécifique du taxon étudié, et considéré comme primitif et ancestral.

Contraire : Apomorphe

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