Amphilophus alfari – MEEK, 1907
Celui qu’on appelle couramment “cichlidé pastel” est un magnifique et trop peu répandu cichlidé américain qui vit la plupart du temps en couple et qui réside à proximité du fond de la couche d’eau de son habitat d’origine.
C’est aussi, en première apparence, une espèce au tempérament plutôt calme qui passe la majeure partie de son temps à filtrer le sable à la recherche de nourriture.
C’est encore, une espèce de cichlidé, qui a tendance à stresser rapidement dans certaines circonstances et quand cela se produit, ce mal-être se manifeste alors par l’apparition de barres noires marquées sur tout son corps.
Ainsi malgré son apparente bonhommie qui peut être trompeuse, Cribroheros alfari est aussi un poisson qui peut devenir fortement agressif et surtout qui ne tolère pas les intrusions dans son territoire.
Lors de ces provocations, Cribroheros alfari se montre assez intolérant à l’égard de ses congénères et les intrusions dans son territoire sont systématiquement et sévèrement réprimées !
C’est pourtant un poisson sociable, voire indiffèrent avec des espèces non territoriales qu’il repoussera aussi de son domaine.
En effet, quand il se sent agressé, il devient capable d’une grande violence ce qui donne lieu à des combats musclés et parfois fatals à ses adversaires ou à lui-même.
Cette agressivité est renforcée en période de reproduction, surtout quand il est en garde de sa progéniture.
Comme beaucoup de cichlidés, c’est aussi un poisson qui creuse beaucoup le substrat, c’est en fait, un véritable “bulldozer” qui n’hésitera pas à relooker son environnement.
Pour l’aquariophile, ce n’est pas un très gros cichlidé bien qu’il soit de belle taille et, il faudra surtout retenir que contre de bons soins et un environnement adapté à ses besoins, il récompensera toujours son propriétaire en se parant de magnifiques couleurs, rose et verte à l’âge adulte.
Ce qui est un paradoxe car souvent ces cichlidés sont normalement considérés comme de petits animaux ternes et incolores lorsqu’ils sont vendus à l’âge juvénile.
Des paillettes dorées et brillantes, avec des paillettes saupoudrées généreusement sur les nageoires et sur les flancs mettront en valeur ce cichlidé s’il est soigneusement maintenu en aquarium avec des conditions d’eau de haute qualité…
Les Cribroheros habitent toutes les sections des rivières, des sections supérieures à débit rapide aux tronçons inférieurs à débit plus lent.
Les Cribroheros sont présents entre 2 et 1150 mètres d’altitude, ce qui est la preuve d’une certaine adaptabilité de ces cichlidés, ce qui justifie aussi leurs différents aspects.
Cribroheros alfari préfère les substrats de sable ou de boue où il tamise les insectes aquatiques, en particulier les diptères et les éphéméroptères et les graines tombées des arbres dans l’eau.
…Pour en savoir plus, lisez ce qui suit !
DESCRIPTION
TAXONOMIE
RAPPEL SUR LES …
Il existe actuellement 8 espèces reconnues dans ce genre :
- Cribroheros alfari (MEEK, 1907) → Cichlidé pastel
- Cribroheros altifrons (KNER, 1863)
- Cribroheros bussingi (LOISELLE, 1997)
- Cribroheros diquis (WA BUSSING, 1974)
- Cribroheros longimanus (GÜNTHER, 1867) → Cichlidé à poitrine rousse
- Cribroheros rhytisma (LOPEZ S, 1983)
- Cribroheros robertsoni (REGAN, 1905) → Faux cichlidés à bouche de feu
- Cribroheros rostratus (TN GILL, 1877)
GENERALITES
Cette espèce, Cribroheros alfari, à la différence des autres Cribroheros a la particularité d’avoir une morphologie très variable d’un endroit à un autre où l’on y rencontre.
En effet, on constate des variations de la hauteur du corps ainsi que de la coloration suivant la provenance de ce poisson.
La plupart des individus ont une couleur camouflage, gris, noir ou marron, mais environ 10% subissent une métamorphose qui les pousse à prendre des couleurs.
La plupart de ces spécimens ont une couleur vive, allant du gris au noir en passant par le marron, mais 10% d’entre eux en croissance sont métamorphosés et changent de couleur en rose, jaune, blanc et orange.
Les sexes ne sont pas si faciles à distinguer.
Les mâles sont légèrement plus gros, environ 22 centimètres et ont un profil de tête un peu plus anguleux.
Les femelles ne dépassent généralement pas 18 centimètres, sont plus contrastées et ont souvent une zone sombre entre le 7ème et le 12ème rayon de la nageoire dorsale.
Si ce cichlidé peut atteindre généralement de 20 centimètres à 22 centimètres de longueur(voire même plus sous certaines conditions), mais la longueur moyenne de ce poisson reste d’environ 20 centimètres.
Il existe sous de nombreuses formes de couleurs naturelles, dont la plupart dépendent du lieu d’origine.
Certaines variétés sont également disponibles dans le marché aquariophile en fonction de l’attrait que leurs couleurs suscitent chez les passionnés, on trouve ainsi des variétés barrées et tachetées.
Sans surprise, les variantes les plus colorées sont celles qui sont devenues très populaires dans le monde l’aquariophilie.
Le Cichlidé pastel (Cribroheros alfari) est une espèce de poissons originaire de la côte atlantique de l’est du Honduras, du Nicaragua et du Costa Rica, en Amérique du Sud, appartenant à la famille des Cichlidés.
Il atteint généralement de 20 centimètres à 22 centimètres de longueur.
Autre particularité propre à Cribroheros alfari, il existe un grand nombre de variétés de formes locales, toutes regroupées sous le nom alfari.
En fait, les observations faites mettent en évidence que Cribroheros alfari montre une réelle adaptation aux circonstances locales de l’endroit où il vit, pourtant, à bien y observer, tous ces « alfari » sont tous des poissons morphologiquement différents.
Cribroheros alfari peut varier en longueur du corps, en hauteur, en longueur de nageoire caudale et dorsale, en ligne latérale, en marques et en couleur.
Les poissons des bassins fluviaux qui se jettent dans le Pacifique sont généralement un peu plus longs, ont une ligne latérale interrompue et moins de points bleus sur les joues et les branchies.
Ces évolutions physiques sont le fruit de l’adaptation géographique des poissons de la famille Cribroheros et on peut en déduire que dans ce cas précis que nous avons affaire à un véritable opportuniste.
Pourtant, ce n’est pas tout à fait vrai…
Un véritable opportuniste peut gérer différentes circonstances avec un seul génotype et ce n’est pas le cas avec le Cribroheros alfari.
Plus exactement, dans le cas de ce cichlidé on constate un début de spéciation.
En effet, Cribroheros alfari peut varier en longueur, en taille, selon la forme de la queue et/ou celle de sa nageoire dorsale, des nageoires latérales, par les dessins de son corps et les couleurs de sa robe.
A tel point que dans un même dans un bassin hydrographique, ce poisson peut être présent sous différentes formes.
Les poissons résidants dans les bassins fluviaux qui se jettent dans le Pacifique sont généralement un peu plus longs et possèdent une ligne de côté interrompue, moins de taches bleues sur les joues et sur les opercules des branchies.
D’une façon générale, la plupart des formes se caractérisent par :
- Une tête jaune ;
- Un ventre rosé ;
- des rayons de nageoires jaunes ;
- six bandes transversales ;
- comme chez Thorichthys, un liserait rouge sur le dessus de la nageoire dorsale.
Chez Cribroheros alfari, le corps est allongé et comprimé latéralement.
Sa coloration et sa morphologie diffèrent selon la région d’origine.
Deux formes principales de Cribroheros alfari se distinguent :
- L’une, à l’est du côté atlantique ;
- L’autre est originaire du côté pacifique : C’est une forme haute et allongée.
Chacune de ces deux formes possède une variation de couleur allant du vert olive au gris.
Il y aurait au moins 2 variantes de colorations chez les « Cribroheros alfari », la principale forme ne se trouve que dans certaines localités, sa particularité est remarquable au niveau la partie inférieure de la nageoire caudale qui est rougeâtre.
Ensuite suivant le versant où se trouvent les espèces (Atlantique et Pacifique), la morphologie du corps change légèrement.
Il faut retenir que les espèces de la côte pacifique possèdent un corps plus élancé, des points bleus sur les joues et les opercules en plus petits nombres ainsi qu’une ligne longitudinale incomplète.
D’une manière générale, les couleurs des Cribroheros alfari :
- sont plus claires au niveau du ventre ;
- tendent vers le rose au niveau de la gorge, de la poitrine et des nageoires caudales ;
- sur flanc de l’animal sont bariolées de brun et tachetées ;
- mettent en évidence des joues avec des vermicules bleus.
Des taches bleues peuvent se trouver sur les nageoires dorsales, anales et caudales.
Les pointes de la dorsale sont rouges.
Comme les Cribroheros alfari se trouvent dans les types d’eau les plus divers, les formes plus particulièrement issues des ruisseaux de montagne à débit rapide à l’eau stagnante où l’eau varie de dure à douce, ont des couleurs allant du blanc/gris clair.
Compte tenu de ces observations, on pourrait donc dire que nous avons affaire à un vrai opportuniste, ce qui pas tout à fait vrai.
Un vrai opportuniste peut gérer différentes circonstances tout en conservant un même phénotype.
Ce n’est pas le cas du Cribroheros alfari.
Au bilan, on constate l’existence d’une grande variété de formes locales regroupées sous le nom commun d’alfari.
Quand on s’intéresse de plus près à cette espèce, on s’aperçoit parmi tous les spécimens prélevés dans la zone de distribution que ce sont tous des poissons différents.
C’est une espèce qui présente un début de spéciation en raison des variantes géographiques.
Cela va encore plus loin car dans une même zone géographique, ce poisson peut se présenter sous diverses formes.
CLASSIFICATION
Ordre : Perciformes.
Famille : Cichlidae.
Sous-famille : Cichlasomatinae.
CLE DES ESPECES
Non établie.
MORPHOLOGIE
Forme
Sa forme est typique des autres Cribroheros de son espèce, on pourrait penser à une combinaison d’un Jack Dempsey (Rocio octofasciata) avec un Heros severus, si cette idée parait un peu absurde, elle a au moins le mérite d’être représentative de la forme de ce cichlidé et permet de se faire une assez bonne idée de la morphologie de ce poisson.
La forme du corps est comprimée latéralement et de bouche pointue avec le profil supérieur de son visage droit.
Corps
D’une façon générale, il faut simplement retenir que la forme du corps de Cribroheros alfari est typique des spécimens de son espèce.
Cribroheros alfari est un poisson d’apparence robuste, son dos est arqué et relativement haut.
Il faut encore savoir que la forme du corps de Cribroheros alfari, sur tous les exemplaires rencontrés, est comprimée latéralement et avec une bouche pointue.
Chez Cribroheros alfari, le gabarit de son corps peut varier en longueur, en taille, sur la longueur de la queue et de la nageoire dorsale, la position de la ligne de côté, sur le dessin et les couleurs du poisson… l’identification de cette espèce de cichlidé est un véritable casse-tête !
Le constat de cette situation s’accentue encore puisque dans un même bassin hydrographique, ce cichlidé peut être trouvé sous différentes formes et aspects !
Les poissons dans les bassins fluviaux qui aboutissent dans le pacifique sont généralement un peu plus longs, ont une ligne de côté interrompue et moins de points bleus sur les joues et les couvercles des branchies.
Les poissons dans les bassins fluviaux qui aboutissent dans le pacifique sont généralement un peu plus longs, ont une ligne de côté interrompue et moins de points bleus sur les joues et les couvercles des branchies.
Tête
Si la forme du corps est comprimée latéralement, comme chez les Heros, elle se termine par une bouche pointue.
Cette espèce de cichlidé a un museau allongé et un profil prédorsal légèrement incliné.
Ses yeux sont un peu ovales et légèrement inclinés.
La bouche possède d’épaisses lèvres.
La mâchoire de Cribroheros alfari n’atteint pas la hauteur de la partie supérieure de l’œil.
Ses yeux sont légèrement ovales et légèrement inclinés.
Nageoires
Ses nageoires pectorales sont longues, au point de presque pouvoir couvrir le début de l’anus.
COLORATION
La morphologie de ce poisson et surtout sa coloration diffèrent selon la région d’origine.
Deux formes principales de Cribroheros alfari existent : La première vient de l’est du côté atlantique, la seconde est en provenance de l’autre du côté pacifique (c’est la forme haute et allongée), chacune de ces formes varie en couleurs qui vont du vert olive au gris.
En fonction de l’âge et du sexe, il peut y avoir des variations significatives dans la couleur des spécimens.
Il existe de nombreuses formes de couleurs naturelles, dont la plupart dépendent du lieu d’origine.
Certaines variétés peuvent être barrées et/ou tachetées.
Sans surprise, dans le monde de l’aquariophilie, ce sont les variantes les plus colorées sont devenues très populaires.
Malheureusement, certains de ces spécimens ont subi des mutations dont le résultat n’est pas toujours aussi agréable à l’œil : ce ne sont plus de vrais cichlidés, simplement des hybrides répondant à un phénomène de mode !
La plupart des individus ont une couleur de camouflage, grise, noire ou brune, mais environ 10%, subit une métamorphose qui l’amène à prendre des couleurs beaucoup plus vives comme rose, jaune, blanc, orange.
Le patron général de couleurs de Cribroheros alfari met en évidence des couleurs qui sont plus claires au niveau du ventre du corps, et tendent vers le rose au niveau de la gorge, de la poitrine et des nageoires caudales.
Le flanc est bariolé de brun et tacheté.
Les joues ont des vermicules bleus.
Des taches bleues peuvent se trouver sur les nageoires dorsales, anales et caudales.
Les pointes de la dorsale sont rouges.
En substance, ce sont tous des poissons différents pour lesquels la question se posent de savoir s’il n’y a pas un début de spéciation.
En effet, le constat qui a été fait de l’observation et de la description de ces cichlidés, est le suivant :
- Cribroheros alfari peut varier en longueur, en taille, en queue et en dorsale, de côté, de dessin et de couleur.
- Même dans un bassin hydrographique, le poisson peut être présent sous différentes formes.
- Les poissons dans les bassins fluviaux qui se jettent dans le Pacifique sont généralement un peu plus longs, ont une ligne de côté interrompue et moins de taches bleues sur les joues et les couvercles des branchies.
La plupart des formes de Cribroheros alfari se caractérisent toutes par les critères suivants :
- Une tête jaune ;
- Un ventre rosé ;
- Des rayons de nageoires jaunes, six bandes transversales et, comme chez Thorichthys ;
- Un liseré de couleur rouge sur la nageoire dorsale.
Dans le monde aquariophile et souvent suite à de potentielles manipulations faites ou une sélection trop typée, il arrive également de rencontrer, y compris dans le commerce spécialisé quelques variétés disponibles, en plus de celles énumérées ci-dessus qui peuvent être barrées et tachetées.
Sans surprise, les variations les plus colorées sont devenues très populaires.
Malheureusement certains éléments ont subi des mutations, et le résultat n’est pas toujours aussi agréable à l’œil …voir ce qu’on appelle les Parrots « Perroquet Rouge » et les Flowerhorn.
L’Hybridation est la source de la diversité, mais…
L’exceptionnelle diversité des cichlidés provient d’un malentendu qui a tendance à se répéter.
Dans cette famille de poissons, ce sont majoritairement les femelles qui choisissent leur partenaire.
Dans certaines circonstances, tout particulièrement quand les conditions lumineuses sont mauvaises, que l’eau est trouble, l’attention de la femelle en attente de se reproduire peut se porter par erreur sur un mâle d’une autre espèce.
La méprise peut encore advenir aussi lorsque les couleurs du mâle sont proches de celles de l’espèce de la femelle.
Quand cela se produit, cet accouplement introduit une hybridation au sein de la population de cichlidés, en créant une nouvelle espèce aux gènes légèrement différents.
Selon les chercheurs, la diversité des espèces pourrait s’expliquer à partir d’une hybridation originelle.
Quand deux espèces se sont hybridées, c’est soit à cause des eaux troubles provoquées par la fusion des lacs, soit par l’évolution naturelle visant à s’adapter au nouvel environnement.
Il en résulte une multiplication des espèces, une sorte d’hybridation naturelle !
Si elles sont bien distinctes, ces espèces restent de la même famille, en plus d’avoir des traits communs dans leur apparence, elles sont toutes génétiquement compatibles.
Quand il y a une confusion, que cela soit par les couleurs ou à cause de l’eau trouble, l’accouplement est parfaitement fertile.
Cela peut déboucher sur de nouvelles progénitures hybrides et, ainsi de suite, la famille s’agrandit toujours plus.
Le processus de l’évolution permet à chaque nouvelle espèce de posséder ses propres caractéristiques (certains individus peuvent être des prédateurs, d’autres non…) et de s’adapter à un habitat un peu différent de celui des autres.
Pour les biologistes, cette recherche démontre que l’hybridation inter-espèces, dans certains écosystèmes, ne provoque pas forcément un appauvrissement génétique de la biodiversité.
Au contraire, ce « melting pot » des espèces de cichlidés issus dans même endroit, donne une occasion rare d’étudier les interactions entre de nouvelles espèces en évolution, et montre que, dans un nouvel environnement offrant de nombreuses possibilités écologiques, l’hybridation peut être une bonne chose qui augmente finalement la biodiversité.
Pour autant, ce qui se passe en milieu naturel est l’objet d’une évolution naturelle normale, cela n’excuse en aucune façon les hybridations ou faites par certains aquariophiles professionnels et même de plus en plus d’amateurs, soit-disants aquariophiles, en quête de couleurs et formes nouvelles.
« S’attendre à ce que les poissons s’accouplent en dehors de leur propre espèce, c’est comme s’attendre à ce qu’un cheval s’accouple avec un chat parce qu’ils ont tous deux quatre pattes et une queue ».
Corps
La plupart des individus ont une couleur camouflage, gris, noir ou marron, mais environ 10% subissent une métamorphose qui les pousse à prendre des couleurs beaucoup plus vives comme le rose, le jaune, le blanc, l’orange.
Cribroheros alfari se distingue par trois ou quatre bandes de couleur marron qui apparaissent sur la moitié arrière du corps, de larges barres verticales plus sombres se trouvent sur les flancs.
Cribroheros alfari présente de petites taches bleu-vert irrégulières sur la région céphalique et sur les côtés.
Ses écailles sont grandes avec des couleurs entre vert et bleu opaque, combinées avec des reflets du même ton que ceux de son visage tout au long de son corps, provoquant une grande couleur surtout en période d’élevage.
Les femelles Cribroheros alfari adultes ont une tache noire près du centre de la nageoire dorsale.
En fonction de l’âge et du sexe, il peut y avoir des variations significatives dans la couleur des spécimens.
Ses écailles sont grandes avec des couleurs entre vert et bleu opaque, combinées avec des reflets du même ton que ceux de son visage tout au long de son corps, provoquant une grande unicité de couleurs particulièrement visible surtout en période d’élevage.
Dans ses barres verticales proches de la moitié du corps et en particulier celles qui se dirigent vers la tête, il y avoir une sorte de tache dans cette zone avec une couleur plus sombre que la couleur de fond mais avec la même nuance.
Le corps est marqué par 5 et 9 barres verticales, la première est située près de sa nageoire caudale et la dernière en direction de la tête.
Alors que sur son corps, en particulier dans la zone des nageoires pectorale et anale, apparait un fort ton coloré rosé qui renforce l’apparence du poisson et a ainsi assis son prestige comme étant l’une des espèces du genre Amphilophus les plus belles.
Tête
La tête est de couleur brune, alors que le reste du corps est grisâtre avec des tons pastel.
Cribroheros alfari possède des reflets verts à bleus électriques au niveau des joues et en bas des yeux.
La gorge et le ventre sont de couleur rose.
Nageoires
Les nageoires impaires de Cribroheros alfari sont brun clair.
Les nageoires dorsale et caudale ont des points bleus avec une distribution uniforme.
La nageoire dorsale a une bordure faite de deux couleuses rouges, allant jusqu’à la pointe et bleu clair vers l’intérieur.
Ses nageoires caudale et dorsale sont marquées par des points de couleurs électriques analogues à ceux du corps et des joues.
Sur les bords de sa nageoire dorsale et de la caudale, il possède une bande rougeâtre.
Ses nageoires anale et dorsale se terminent en pointe.
Cette dernière est surmontée d’un fin liseré rouge vif.
Il présente des reflets bleu-vert électrique, en particulier sur les joues et sous les yeux.
Ses écailles sont larges avec des couleurs allant du vert au bleu opaque, combinées à des reflets du même ton que ceux de son visage sur tout son corps.
Ses nageoires caudale et dorsale sont marquées par des points de couleurs électriques analogues à celles du corps et des joues.
Il l’accompagne entre 5 et 9 barres verticales, la première près de la nageoire caudale et la dernière en direction de la tête.
Sur les bords de ses nageoires dorsale et caudale, elle présente une bande rougeâtre.
Dans son corps, dans la zone des nageoires pectorales et anales, il a une couleur rosâtre.
Les mâles sont nettement plus gros que les femelles.
La coloration du corps et des nageoires des poissons est très variable, même pour les morceaux d’une portée.
Il présente des reflets bleu-vert électrique, en particulier sur les joues et sous les yeux.
Ses écailles sont larges avec des couleurs allant du vert au bleu opaque, combinées à des reflets du même ton que ceux de son visage sur tout son corps.
Ses nageoires caudale et dorsale sont marquées par des points de couleurs électriques analogues à celles du corps et des joues.
Il l’accompagne entre 5 et 9 barres verticales, la première près de la nageoire caudale et la dernière en direction de la tête.
Sur les bords de ses nageoires dorsale et caudale, elle présente une bande rougeâtre.
Dans son corps, dans la zone des nageoires pectorales et anales, il a une couleur rosâtre.
Cribroheros alfari possède des reflets vert-Bleus électriques spécialement sur les joues et en bas des yeux. Ses écailles sont grandes avec des couleurs entre vert et bleu opaque, combinées avec des reflets du même ton que ceux de son visage tout au long de son corps, provoquant une grande couleur surtout en période d’élevage.
Dans ses barres verticales proches de la moitié du corps et en particulier dans laquelle il se dirige vers la tête, il semble marquer une sorte de tache dans cette zone avec une couleur plus sombre que la couleur de fond mais avec la même nuance.
Ses nageoires débit et dorsale sont marquées par des points de couleurs électriques analogues à ceux du corps et des joues.
Il l’accompagne entre 5 et 9 barres verticales, la première près de sa nageoire débit et la dernière en direction de la tête.
Sur les bords de sa nageoire dorsale et de son débit, il possède une bande rougeâtre. Alors que dans son corps dans la zone des nageoires pectoraux et de la nageoire anale, il ressort un coloré rosé fort qui fait que l’apparence du poisson complète son prestige comme l’une des espèces du genre Amphilophus le plus doté de beauté.
Il possède des reflets vert-Bleus électriques spécialement sur les joues et en bas des yeux.
Ses écailles sont grandes avec des couleurs entre vert et bleu opaque, combinées avec des reflets du même ton que ceux de son visage tout au long de son corps, provoquant une grande couleur surtout en période d’élevage.
Dans ses barres verticales proches de la moitié du corps et en particulier dans laquelle il se dirige vers la tête, il semble marquer une sorte de tache dans cette zone avec une couleur plus sombre que la couleur de fond mais avec la même nuance.
Ses nageoires débit et dorsale sont marquées par des points de couleurs électriques analogues à ceux du corps et des joues.
Il l’accompagne entre 5 et 9 barres verticales, la première près de sa nageoire débit et la dernière en direction de la tête.
Sur les bords de sa nageoire dorsale et de son débit, il possède une bande rougeâtre.
Alors que dans son corps dans la zone des nageoires pectoraux et de l’anal, il ressort un coloré rosé fort qui fait que l’apparence du poisson complète son prestige comme l’une des espèces du genre Amphilophus le plus doté de beauté.
ESPERANCE DE VIE
Il n’existe aucune information précise sur la durée de vie exacte de ces poissons en milieu naturel, en revanche, tout laisse supposer qu’ils peuvent vivre de 8 à 10 ans en aquarium, exceptionnellement plus, en fonction des conditions de maintenance.
On pense que la durée de vie moyenne des Cribroheros alfari va au minimum jusqu’à 8 ans, surtout s’ils sont maintenus dans de bonnes conditions et dans des aquariums adaptés à leurs besoins.
TAILLE
La taille maximale de 25 centimètres pour le mâle à 20 centimètres pour la femelle peut être dans l’aquarium, mais cela varie suivant la qualité de la maintenance faite en aquarium et selon un bon nombre de critères.
Ces chiffres peuvent augmenter et ces poissons peuvent ainsi devenir énormes en particulier s’ils sont nourris trop richement.
La taille maximale et normale du mâle est plutôt de 20 centimètres, comme c’est le cas en milieu naturel, même si, exceptionnellement des spécimens de 22 centimètres ont été vus.
La femelle mesure généralement 18 centimètres de longueur.
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DIMORPHISME SEXUEL
Le dimorphisme sexuel est subtil chez ce cichlidé.
Les sexes ne sont pas si faciles à distinguer.
Comme chez beaucoup de cichlidés, la différenciation des sexes de cette espèces dépendra de nombreux critères qui pris, un à un, ne suffisent pas pour y arriver à coup sûr.
Le mieux à faire est d’observer le comportement des poissons et de s’aider des éléments qui sont donnés ci-après !
Le mâle
Le dimorphisme sexuel serait plus évident chez les mâles adultes qui, avec l’âge ont une bosse marquée sur le front ou tout au moins leur front est plus anguleux.
Les mâles sont légèrement plus grands que les femelles, ils atteignent la taille respectable d’environ 22 centimètres et ont un profil de tête quelque peu anguleux.
Si les mâles sont beaucoup plus gros que les femelles, ce constat ne peut être faite qu’à l’âge adulte de ces animaux.
Les mâles possèdent des nageoires dorsale et anale plus allongées.
Si les mâles sont généralement beaucoup plus gros que les femelles, ceci n’est observé qu’à l’âge adulte : Ce n’est donc pas forcément un critère suffisant pour différencier les sexes de ces poissons !
La femelle
Les femelles sont généralement plus petites.
La femelle peut être dotée d’une tache noire et irrégulière sur la dorsale, parfois difficile à percevoir.
À l’âge adulte, on réussit à différencier la femelle du mâle dans un couple, par sa taille et sa croissance plus lente que celle du mâle qui atteint une taille plus grande que la femelle.
Les femelles ne grandissent généralement pas plus de 18 centimètres, sont légèrement plus contrastées et ont souvent une zone sombre entre le 7ème et le 12ème rayon dorsal.
La longueur maximale d’une femelle adulte Cribroheros alfari est d’environ 20 centimètres.
Les femelles arborent un patron de coloration plus contrasté.
Au niveau de la nageoire dorsale, les femelles Cribroheros alfari présentent aussi une tache sombre qui est absente chez les mâles.
A savoir, la femelle est mature lorsqu’elle atteint une taille d’environ 10 centimètres.
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REFERENCES
LITTERATURE
Seth Eugene MEEK 1907. “Notes sur les poissons d’eau douce du Mexique et d’Amérique centrale”.
Hans A. BAENSCH, Dr. Rüdiger RIEHL, 1985. Bande 2 de l’Aquarien Atlas, page 861.
INTERNET
http://aquavisie.retry.org/Database/Aquariumfish/Aquariumfish.html
https://www.ciklid.org/artregister/art.php?ID=240
https://www.fishbase.se/References/SummaryRefList.php?ID=12294&GenusName=Cribroheros&SpeciesName=alfari
VIDEOS
PHOTOGRAPHIES
https://www.inaturalist.org/taxa/567549-Cribroheros-alfari/browse_photos
BIBLIOGRAPHIE
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AUTRES LIENS
ANNEXE : Le Rio Patuca
Une région à Moustiques…
Écorégion : Mangroves de la Mosquitia
Bassin : Rio Patuca
Embouchure : Mer des Caraïbes
Coordonnées : 15 ° 47′00 Nord – 84 ° 15′00 ″ Ouest
Pays : Honduras
Longueur : 500 km
Zone du bassin : 23 900 km²
La Rio Patuca est une Rio du nord-est du Honduras, formée au sud-est de Juticalpa par la confluence des Rios Guayape et Guayambre.
C’est le deuxième plus grand fleuve d’Amérique centrale et le plus long fleuve du Honduras, avec près de 500 km de long et un bassin de 23 900 km².
La Rio coule vers le nord-est sur environ 10 miles avant de traverser la côte des moustiques et se jette dans la mer des Caraïbes à la pointe de Patuca.
La rivière naît dans la chaîne de montagnes centrale au confluent des Rios Guayape et Guayambre.
Il coule vers le nord-est, serpente et serpente le long des basses terres de la côte des moustiques avant de rejoindre la mer des Caraïbes à Punta Patuca.
La Patuca est tristement célèbre au Honduras pour une section de rapides connue sous le nom de “El Portal del Infierno” ou “Las Puertas del Infierno”, qui sont connus pour avoir tué plus d’un amateur de Rio imprudent.
Pendant la saison des crues, la Patuca peut avoir plusieurs kilomètres de large.
En fait, son affluent Guayape est connu pour dépasser 2 milles de largeur presque chaque année dans des zones qui peuvent être parcourues jusqu’à la taille pendant la saison sèche.
La Patuca est également bien connue pour ses régions hors-la-loi, où de petits groupes d’hommes lourdement armés draguent de grands gisements d’or alluvionnaire dans les zones en amont de la jungle de Mosquitia.
Projets de barrage
A Patuca, la construction de barrages pour produire de l’énergie hydroélectrique a été proposée à plusieurs reprises.
Deux tentatives précédentes ont été abandonnées :
- La première, à la fin des années 1990, lorsque l’ouragan Mitch a causé des dégâts considérables ;
- La seconde, en 2007, lorsque la crise financière a contraint « Electricidad de Taiwan » à se retirer.
En 2011, le gouvernement hondurien a autorisé la société chinoise « Sinohydro » à construire le premier des trois barrages.
Dans la culture populaire
La Rio Patuca a été présentée dans le livre The Codex of Douglas PRESTON.
[1] Le Rio Bebedero est une rivière du Costa Rica. La longueur de la rivière Bebedero est de 40 km et provient du volcan Tenorio.
[2] Le Rio Tempisque est une rivière du Costa Rica qu’appartient au versant de l’océan Pacifique. Il est le troisième fleuve le plus étendu du pays, après la grande rivière du Terraba et le Reventazón.
Il se trouve dans le territoire nord du pays, au Guanacaste, et son lit parcourt une grande partie de ce territoire.
Le Rio Tempisque naît dans la cordillère du Guanacaste, au volcan Orosí ; à cet endroit la rivière a pour nom « Tempisquito ».
Le Rio Tempisque parcourt 144 km en direction sud et sud-est sur la province de Guanacaste, en bordant la péninsule de Nicoya jusqu’à aboutir au golfe de Nicoya dans l’océan Pacifique.
Avant de se déverser dans l’océan, le Rio Tempisque draine la basse zone marécageuse qui caractérise le parc National de Palo Verde.
Ses principaux affluents sont les rivières Bebedero, Colorado, Libéria et Salto. La rivière est navigable sur 36 kilomètres entre son embouchure et Bolson.
[3] Le Rio Grande de Tárcoles, ou Rio Tárcoles est l’un des cours d’eau les plus longs du Costa Rica, situé dans la région du Pacifique.
Il prend naissance sur les pentes au sud de la Cordillère volcanique centrale, et s’écoule en direction du golfe de Nicoya. Le fleuve a une longueur de 111 km et son bassin hydrographique couvre une superficie de 2 121 km², dans laquelle réside environ 50% de la population du pays.
La rivière sert de limite nord au parc national de Carara. Elle est un habitat du crocodile américain,
[4] Le Patuca est un fleuve du nord-est du Honduras, formé au sud-est par le Juticalpa par la fusion des rivières de Guayape et de Guayambre.
C’est le deuxième plus grand fleuve d’Amérique centrale et le plus long fleuve du Honduras, mesurant près de 500 km de longueur et drainant 23 900 km2
[5][5] Guanacaste est l’une des sept provinces du Costa Rica. Sa capitale est Liberia. Guanacaste est située au nord-ouest du pays, sur la côte pacifique. Elle est entourée par le Nicaragua au nord, par la province d’Alajuela à l’est, et par la province de Puntarenas au sud-est.
[6] Le fleuve Sixaola est un cours d’eau qui débouche sur la mer des Caraïbes, au niveau du phare de Sixaola, et fait office de limite sur une partie de la frontière entre le Panama et le Costa Rica.
D’une longueur de 146 km, c’est le cours d’eau principal du bassin versant dit de Sixaola d’une superficie de 509,4 km2.
Ses affluents, côté Panama, sont les rivières Yorkin, Scui, Katsi et Uren, du côté costaricien les rivières Banana, Telire, Coen, Lari et Urión.
[7] Le fleuve Sixaola est un cours d’eau qui débouche sur la mer des Caraïbes, au niveau du phare de Sixaola, et fait office de limite sur une partie de la frontière entre le Panama et le Costa Rica.
D’une longueur de 146 km, c’est le cours d’eau principal du bassin versant dit de Sixaola d’une superficie de 509,4 km2.
Ses affluents sont, côté Panama, les rivières Yorkin, Scui, Katsi et Uren, du côté costaricien les rivières Banana, Telire, Coen, Lari et Urión.
[8] Les Mysis vivants sont de minuscules crevettes d’eau de mer qui consomment des bactéries, des diatomées, et des détritus, c’est un bon agent dans l’équilibre de l’aquarium marin et récifal.
Les Mysis fournis vivent en eau saumâtre avec du sel de mer à raison de 12g par litre, il conviendra d’une petite acclimatation avant l’introduction dans l’aquarium marin si l’on cherche à créer une souche persistante.
Cette acclimatation n’a pas lieu d’être si vous utilisez les mysis comme aliment, le choc osmotique en fera des proies faciles pour des hippocampes par exemple.
Cette très petite crevette est la nourriture préférée pour les chevaux de mer, hippocampes, syngnathes, Trimma et autres petits habitants de l’aquarium marin et récifal. Les hippocampes récemment achetés refusent souvent toute autre nourriture vivante autres que les mysis.
ous les autres animaux de l’aquarium, qui sont en mesure de gérer cette délicatesse, expriment leur gratitude à leurs soignants pour cet aliment de haute valeur en restant en bonne santé et de plus en plus leur volonté de se reproduire.
Cette petite crevette d’eau salée est destiné principalement pour une utilisation dans les aquariums marins, mais survit quelques heures en eau douce de sorte que les aquariophiles aient un plus de nourriture spécifique et vivantes en direct pour l’alimentation des animaux marins fraîchement importés ou ceux ayant des besoins nutritionnels particuliers comme les Hippocampes, les poissons mandarins (Shynchiropus), petit labres, Trimma, Stonogobiops, Signigobius, Gobiodon, Eviota, Lythrypnus dalli ou gobies, ainsi que les coraux et invertébrés..
[9] Le Krill antarctique (Euphausia superba1) est une espèce de krill vivant dans les eaux de l’océan Austral.
Les Krills antarctiques sont des invertébrés qui, comme les crevettes, vivent en grands groupes, appelés « essaims », atteignant parfois des densités de 10 000 à 30 000 individus par mètre cube.
Ils se nourrissent directement de phytoplancton, en utilisant la production primaire d’énergie que le phytoplancton tire initialement du Soleil afin de maintenir leur cycle de vie dans la zone pélagique.
Ils atteignent une longueur de six centimètres, pèsent jusqu’à deux grammes et peuvent vivre jusqu’à six ans.
C’est une espèce clé dans l’écosystème antarctique, base de l’alimentation pour de nombreux animaux comme les baleines ou les phoques et permettant l’exportation de carbone vers les fonds marins grâce à ses excréments.
En termes de biomasse, elle atteint environ 500 millions de tonnes, soit l’une des espèces les plus abondantes de la planète.
[10] La protolarve, ou stade protolarvaire, est la première étape du développement d’un alevin, période au cours les sens s’éveillent, en particulier le développement final des yeux et de la bouche pour la vue et le goût. Cette étape précède les stades suivants conduisant à la mésolarve puis à la métalarve.
[11] La mésolarve, ou stade mésolarvaire d’un poisson, qualifie une étape du développement larvaire.
Sous la forme de larve, la mésolarve suit le stade de protolarve et précède l’étape métalarve dans le développement à partir de la naissance.
Durant cette étape, les yeux s’agrandissent et la pigmentation augmente, en partant du museau puis ensuite à tout le corps.
[12] La métalarve, ou stade métalarvaire, est la troisième étape du développement larvaire d’un alevin avant d’atteindre le stade dit juvénile, après la larve.
Cette étape suit les étapes de protolarve et de mésolarve et précède celle de post-larve.
Au cours de cette étape du développement du jeune poisson, la métalarve développe une vessie d’air à deux chambres, en particulier une vessie gazeuse ou vessie natatoire. Les nageoires pectorales et pelviennes continuent à se développer, et les rayons anaux sont complètement formés. La pigmentation devient visible dans les nageoires.
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