Cincelichthys pearsei : article n°2 : Description

Cincelichthys pearsei – HUBBS, 1936

Les membres du genre « Herichthys » dont vient en particulier « Cincelichthys pearsei », sont de grands cichlidés connus pour leur histoire taxonomique confuse et leurs motifs de coloration uniques.

Avec une taille maximale de 45 centimètres, ces poissons ont besoin d’aquariums spacieux pour bien se développer.

A la différences de beaucoup d’autres cichlidés, leur régime alimentaire, à l’état sauvage, montre que ce sont presque exclusivement des végétariens qui se nourrissent d’algues et de diverses espèces végétales.

Cincelichthys pearsei est originaire des eaux côtières de l’est du Mexique et du Guatemala, habitant généralement des zones marginales végétalisées dans les bassins fluviaux et les lacs.

Cincelichthys pearsei est un cichlidé américain exceptionnel par son comportement auquel s’ajoute une beauté unique.

Cincelichthys pearsei « Pantano Pearsei/ Pantano cichlid » est un cichlidé étonnant originaire d’Amérique centrale, célèbre pour son apparence frappante et son comportement captivant.

Connu pour sa coloration unique et sa personnalité robuste, ce cichlidé est un choix exceptionnel pour les aquariophiles passionnés qui cherchent à ajouter une touche d’unicité et d’originalité à leur aquarium.

Cincelichthys pearsei est un cichlidé magnifique et paisible qui convient aussi bien aux aquariophiles avancés qu’à des débutants moyennant le respect de quelques règle de maintenance.

Ils nécessitent un grand aquarium et des conditions d’eau spécifiques, mais leur nature calme et leur comportement intéressant en font un ajout précieux à un aquarium bien entretenu.

Bien qu’ils soient difficiles à faire se reproduire, ces magnifiques cichlidés apporteront beaucoup de satisfaction à ceux qui sont prêts à donner les soins et l’attention nécessaires.

Leurs variations de couleurs uniques et leur nature apprivoisée en font une variété fascinante à entretenir.

Pourquoi choisir le Pantano ‘Herichthys Pearsei’ ?

Cincelichthys pearsei est donc un cichlidé exceptionnel connu et reconnu pour son apparence frappante et sa personnalité dynamique.

Ses couleurs vives, sa grande taille et son comportement engageant en font un choix de qualité pour les aquariophiles expérimentés qui cherchent à créer un aquarium visuellement époustouflant et plein de vie.

Avec des soins appropriés, ce cichlidé deviendra vite la pièce maîtresse de l’aquarium, ajoutant à la fois beauté, une vie intéressante et captivante et intrigue à toute installation aquatique.

Cincelichthys pearsei est un cichlidé magnifique et paisible qui convient aux amateurs d’aquarium avancés.

Les Cincelichthys pearsei nécessitent obligatoirement l’acquisition d’un grand aquarium et le respect de conditions d’eau spécifiques, mais leur nature paisible et leur comportement intéressant effacent vite ces quelques contraintes et en font un ajout précieux à un aquarium bien entretenu.

Bien qu’ils soient difficiles à élever et faire reproduire, ils offrent de grandes récompenses à ceux qui sont prêts à donner les soins et l’attention nécessaires.

Leurs variations de couleurs uniques et leur nature docile en font une espèce fascinante à observer.

DESCRIPTION

Cincelichthys pearsei a été décrit pour la première fois par Carl Leavitt HUBBS en 1936.

La famille à laquelle appartient ce poisson est celle des Cichlidae, une grande famille de poissons d’eau douce qui se compose d’environ 3000 espèces.

Le genre Cincelichthys ne contient que deux espèces : Cincelichthys pearsei et Cincelichthys bocourti.

Leur nom commun est « Pantano Cichlid ».

Brève description

Cincelichthys pearsei a une forme de corps très robuste, presque ronde.

La tête est haussière et la couleur varie du jaunâtre au turquoise verdâtre sur le dessus, tandis que le dessous est brun foncé à brun rougeâtre.

Les nageoires sont longues et se terminent peu avant la nageoire caudale, avec des extrémités jaune-vert irisées.

Ce poisson peut atteindre une longueur allant jusqu’à 45 centimètres.

Le cichlidé Pantano est une espèce grande et robuste, nécessitant un réservoir spacieux pour s’adapter à son comportement de nage actif et à sa taille.

Alors que les spécimens sauvages de Cincelichthys pearsei peuvent devenir assez grands, les individus élevés en aquarium restent souvent légèrement plus petits, en particulier lorsqu’ils sont gardés dans des aquariums domestiques.

Comme pour les autres grands cichlidés, ils sont des producteurs de déchets prolifiques, il est donc essentiel d’utiliser un système de filtration puissant capable de gérer la charge biologique.

Cela doit être complété par des changements d’eau réguliers et hebdomadaires pour maintenir la qualité de l’eau.

Contrairement à de nombreux autres grands cichlidés, les Cincelichthys pearsei sont connus pour leur comportement pacifique, ce qui leur permet de coexister avec des espèces de taille similaire et non agressives qui prospèrent dans des conditions d’eau dure.

Lors de la mise en place d’un aquarium pour les cichlidés Pantano, il est préférable de garder la décoration simple.

Un substrat sablonneux est idéal, ainsi que quelques rochers stratégiquement placés pour créer des cachettes et ajouter de l’intérêt.

Cette approche minimaliste facilite également le maintien de la propreté du réservoir.

Les cichlidés Pantano se nourrissent lentement, grignotant souvent leur nourriture tout au long de la journée, il est donc important de leur donner le temps de manger à leur propre rythme.

Tout d’abord c’est un poisson haut de corps et assez épais (4 à 5 centimètres).

Au niveau de la coloration, il faut être patient avec ce poisson, car la coloration arrive assez tardivement.

En effet jusqu’à l’âge de 2 ans environ (et une taille de 20/25 centimètres), la couleur reste grise avec une tâche noire sur le ventre.

Par la suite la tâche devient marronne, et le reste du corps arbore une couleur magnifique tirant entre le vert olive et le jaune (cela peut être différent selon les individus).

Les yeux des Cincelichthys pearsei sont de couleurs bleus.

Pour ce qui est des jeunes, ils sont gris et la tâche ventrale arrive très rapidement.

Cincelichthys combine une morphologie crânienne détritivore/herbivore mordeuse avec une morphologie postcrânienne lentique.

Cincelichthys est similaire aux autres genres d’herichthyines du clade Theraps (Wajpamheros, Kihnichthys, Theraps, Chuco) en ayant des doubles barres verticales quatre et cinq.

Également similaire à la plupart des autres genres d’herichthyines du clade « Theraps – Paraneetroplus » (à l’exception des deux plus profilés, c’est-à-dire Theraps et Rheoheros) en ayant une bande latérale située ventralement (située généralement bien en dessous du niveau de la ligne latérale inférieure contre juste au-dessus chez tous les autres cichlidés d’Amérique centrale [lorsqu’ils sont présents).

La diversification au sein de Cincelichthys a été supposée avoir eu lieu au cours du Pliocène supérieur.

Cet événement de diversification a conduit à deux espèces réparties de manière allopathique.

Cincelichthys pearsei répartie dans la zone d’influence inférieure de Grijalva-Usumacinta et supérieure de Grijalva et Cincelichthys bocourti, répartie dans la zone d’influence supérieure de Grijalva (dans la zone d’endémisme de Polochic-Cahabon.

Le genre Cincelichthys comprend seulement 2 espèces qui sont Cincelichthys pearsei et Cincelichthys bocourti qui sont réparties respectivement dans les zones d’influence inférieures de Grijalva-Usumacinta et Polochic-Cahabon.

La séparation entre ces deux espèces a été estimée entre le Miocène supérieur et le Pliocène inférieur.

Pour explication, il a été suggèré que, de la même manière que le réseau fluvial Chuco, le réarrangement/la capture entre les sources supérieures de l’Usumacinta et celles de Polochic-Cahabon favorisent l’événement de spéciation dans le genre.

La région karstique du nord de l’Amérique centrale dans laquelle se situent les zones d’influence Grijalva-Usumacinta et Polochic-Cahabon possède des réseaux fluviaux complexes qui possèdent des connexions souterraines et des bassins isolés formés par l’effondrement des lits des rivières (ROSEN 1972 & 1979).

De plus, l’activité géologique due aux failles de Polochic et de Motagua a conduit à des réarrangements, des captures et des inversions de paysages fluviaux depuis le Miocène moyen (ROGERS & MANN 2007 ; BROCARD & Al. 2012 ; OBRIST-FARNER & Al. 2020).

Les preuves géologiques suggèrent que la principale faille active d’il y a 12 à 7 millions d’années (mya) dans la région était la faille de Polochic (voir OBRIST-FARNER & Al. 2020) et qu’après 4 mya[1], la principale faille active est devenue la faille de Motagua (ROGERS & MANN, 2007 OBRIST-FARNER et Al., 2020).

Une hypothèse a été avancée s’appuyant sur l’activité de la faille de Polochic au cours du Miocène moyen qui aurait vraisemblablement favorisé la capture ou le réarrangement des rivières entre l’Usumacinta supérieur et l’AoE de Polochic-Cahabôn.

Cet événement peut expliquer de manière plausible le modèle congruent de relations sœurs entre une espèce dans l’Usumacinta inférieur de Grijalva et le Polochic-Cahabon observé chez les genres « Chuco » et « Cincelichthys » qui déclenchent la diversification de ces genres au cours du Miocène moyen.

Diagnostiqué par :

  • Des dents buccales tronquées labio-lingualement aplaties (partagées uniquement avec Kihnichthys parmi les espèces morphologiquement similaires) ;
  • Une ontogénie de coloration de type Li ;
  • Couleurs de reproduction de type hérichtyine, cependant très obscurcies en raison de l’absence de fond blanc (comme chez toutes les espèces lentiques du clade Theraps – Paraneetroplus, sauf Maskaheros ) ;
  • Des nageoires dorsale et anale faiblement écaillées à leur base ;
  • Un processus ascendant prémaxillaire n’atteignant pas la verticale de l’œil ; pli de la lèvre inférieure interrompu ;
  • Une deuxième lèvre inférieure absente ;
  • Une méristique longitudinale accrue ;
  • Un nombre élevé de vertèbres abdominales (15) mais nombre ancestral de vertèbres caudales (16) et pédoncule caudal seulement légèrement allongé comprenant 4 vertèbres ;
  • Un nombre élevé d’écailles le long de la ligne latérale (31).

CLE DES ESPECES

Le genre Cincelichthys combine une morphologie crânienne détritivore/herbivore mordeuse avec une morphologie postcrânienne lentique.

Cincelichthys est similaire aux autres genres d’herichthyines du clade « Theraps » (Wajpamheros, Kihnichthys, Theraps, Chuco) en ayant des doubles barres verticales quatre et cinq.

Également similaire à la plupart des autres genres d’herichthyines du clade Theraps-Paraneetroplus (à l’exception des deux plus profilés, c’est-à-dire Theraps et Rheoheros) en ayant une bande latérale située ventralement (située généralement bien en dessous du niveau de la ligne latérale inférieure contre juste au-dessus chez tous les autres cichlidés d’Amérique centrale [lorsqu’ils sont présents).

La diversification au sein de Cincelichthys a été supposée avoir eu lieu au cours du Pliocène supérieur.

Cet événement de diversification a conduit à déterminer deux espèces réparties de manière allopathique.

  • Cincelichthys pearsei répartie dans la zone d’influence inférieure de Grijalva-Usumacinta et supérieure de Grijalva ;

et

  • Cincelichthys bocourti, répartie dans la zone d’influence supérieure de Grijalva dans la zone d’endémisme de Polochic-Cahabon.

Le genre « Cincelichthys » comprend donc seulement 2 espèces qui sont « Cincelichthys pearsei » et « Cincelichthys bocourti » qui sont réparties respectivement dans les zones d’influence inférieures de Grijalva-Usumacinta et Polochic-Cahabon.

La séparation entre ces deux espèces a été estimée entre le Miocène supérieur et le Pliocène inférieur.

Les études faites par les scientifiques suggèrent que, de la même manière que le réseau fluvial Chuco, le réarrangement/la capture entre les sources supérieures de l’Usumacinta et celles de Polochic-Cahabon ont favorisé l’événement de spéciation dans le genre.

La région karstique du nord de l’Amérique centrale dans laquelle se situent les zones d’influence Grijalva-Usumacinta et Polochic-Cahabon possède des réseaux fluviaux complexes qui possèdent des connexions souterraines et des bassins isolés formés par l’effondrement des lits des rivières (ROSEN 1972 & 1979).

De plus, l’activité géologique due aux failles de Polochic et de Motagua a conduit à des réarrangements, des captures et des inversions de paysages fluviaux depuis le Miocène moyen (ROGERS & MANN 2007 ; BROCARD & Al. 2012 ; OBRIST-FARNER & Al. 2020).

Les preuves géologiques suggèrent que la principale faille active, il y a 12 à 7 millions d’années (mya) dans la région, était la faille de Polochic (voir OBRIST-FARNER & Al. 2020) et qu’après 4 mya, la principale faille active est devenue la faille de Motagua (ROGERS & MANN, 2007 OBRIST-FARNER et Al., 2020).

Nous émettons l’hypothèse que l’activité de la faille de Polochic au cours du Miocène moyen a vraisemblablement favorisé la capture ou le réarrangement des rivières entre l’Usumacinta supérieur et l’AoE de Polochic-Cahabôn.

Cet événement peut expliquer de manière plausible le modèle congruent de relations sœurs entre une espèce dans l’Usumacinta inférieur de Grijalva et le Polochic-Cahabôn observé chez Chuco et Cincelichthys qui déclenchent la diversification de ces genres au cours du Miocène moyen.

Cincelichthys pearsei se diagnostique par :

  • Des dents buccales tronquées labio-lingualement aplaties (partagées uniquement avec Kihnichthys parmi les espèces morphologiquement similaires) ;
  • Une ontogénie de coloration de type Li ;
  • Des couleurs de reproduction de type hérichtyine, cependant très obscurcies en raison de l’absence de fond blanc (comme chez toutes les espèces lentiques du clade Theraps-Paraneetroplus, sauf Maskaheros ) ;
  • Des nageoires dorsale et anale faiblement écaillées à leur base ;
  • Un processus ascendant prémaxillaire n’atteignant pas la verticale de l’œil ;
  • Le pli de la lèvre inférieure est interrompu ;
  • L’absence d’une deuxième lèvre inférieure ;
  • Une méristique[2] longitudinale accrue avec un nombre élevé de vertèbres abdominales (15) mais nombre ancestral de vertèbres caudales (16) et pédoncule caudal seulement légèrement allongé comprenant 4 vertèbres ;
  • Le nombre élevé d’écailles le long de la ligne latérale (31).

Cincelichthys pearsei se distingue des « Vieja » – bien qu’il ait une constitution similaire (sauf dans la morphologie des dents et dans la coloration, c’est-à-dire la division des barres quatre et cinq) – par le nombre ancestral de vertèbres caudales de 16 vs. Vieja qui n’en compte que 15.

Au sein du clade « Theraps », les genres « Cincelichthys » et « Kihnichthys » partagent une morphologie dentaire unique.

Le genre « Kihnichthys » cependant ne possède pas les caractères distinctifs de « Cincelichthys » à l’exception des détails du modèle de coloration de l’espèce.

Les scientifique n’ont pas pu inclure « Kihnichthys » dans la phylogénie nucléaire ddRAD car ils manquaient à ce moment d’échantillons valables pour l’analyse de l’ADN, mais les phylogénies concaténées ADNmt/ADNn ne rejettent pas la monophylie des deux genres (qui semblent paraphylétiques mais sans support pour « Theraps », « Wajpamheros » et « Chuco » et les caractères morphologiques soutiennent la monophylie[3] des deux genres.

« Kihnichthys » et « Cincelichthys » sont probablement congénères et leur statut de genre séparé doit être testé avec des données d’ADN nucléaire.

Clé dichotomique pour l’identification des cichlidés du Chiapas.

1a). Épines anales 3 (parfois 4) :                                                 => 34

1b). Épines anales 4 ou plus :                                                      => 2

2a) (1b). Mandibules (Protractiles) à grande bouche, très extensibles ; prémaxillaire étendu à la partie antérieure ou au-delà du bord antérieur de l’orbite de l’œil :                                                                                                                       => 3

2b). Bouche petite, mandibules peu ou moyennement extensibles ; prémaxillaire ne s’étendant pas au-delà du bord antérieur de l’orbite oculaire :    => 5

3a) (2a). Formule dorsale XIV à XVI ; 10 à 13 :                                                                                                                                                                          => Petenia splendida

Petenia splendida

3b). Formule dorsale avec XVII à XIX-9 a11 :                                 => 4

4a) (3b). 8 à 13 branchies sur la branche inférieure du premier arc branchial et absence de lobe à l’angle inférieur du préopercule :                    => Parachromis friedrichsthalii

4b). 14 à 17 branchies sur la branche inférieure du premier arc branchial et un petit lobe à l’angle inférieur du préopercule :                                  => Parachromis managuensis

5a) (2b). Présence d’écailles sur les parties molles de la nageoire dorsale et de la nageoire anale :                                                                              => 9

5b). Absence d’écailles sur les parties molles de la nageoire dorsale et de la nageoire anale :                                                                                             => 6

6a) (5a). 10 à 14 branchiospines sur la branche inférieure du premier arc branchial ; épines anales VII-VIII :                                                                   => 7

6b).14 à 22 branchiospines sur la branche inférieure du premier arc branchial ; épines anales : VIII-X, rarement VII :                                                        => 8

7a) (6a). Formule anale VIII-6 à 7, avec un motif sombre proéminent sur les côtés ressemblant à un « L » inversé et des points turquoise sur l’opercule et le préopercule (Conservé dans des spécimens fixes) :                                       => Thorichtys socolofi

7b). Formule anale VII-8, sans motif sombre proéminent sur les côtés en forme de « L » inversé :                                                                                          => Thorichtys helleri

8a) (6b). Avec une tache basicaudale ovale et une nageoire pectorale étendue au-delà de celle de la dernière épine anale :                                         => Thorichtys passionis

8b). Sans tache ovale sur le pédoncule caudal, avec nageoire pectorale non étendue jusqu’au niveau de la dernière épine anale, prémaxillaire étendu jusqu’à % de la longueur de l’œil :                                                                            => Thorichtys meeki

9a) (5b). Tâche du pédoncule caudal avec préférence à la région supérieure de la ligne latérale (elle peut se présenter de manière irrégulière, diffuse ou en forme d’ocelle) :                                                                                                          => 10

9(b). Tache ou tache ocellée qui apparaît proportionnellement dans les deux régions du pédoncule caudal   :                                                                    => 15

10a) (9a). Avec deux bandes longitudinales le long du corps ;

La première va de la bouche au pédoncule caudal et l’autre bande est composée de manière irrégulière sur la partie dorsale du corps ;

Présence de deux ou trois barres interorbitales sombres sur la partie dorsale de la tête :                                                                                                       => Trichromis salvini

10b). Avec une bande longitudinale sombre qui s’étend de l’œil jusqu’au milieu du corps ou absence de bandes longitudinales :                                        => 11

11a) (10b). Barre longitudinale s’étendant du museau jusqu’à un point situé au milieu du corps. Présence d’une tache ocellée dans la région supérieure de la ligne latérale au niveau du pédoncule caudal :                                                      => 12

11b). Absence de bande longitudinale ;

Présence de tâches sur les côtés. Avec tache ocellée ou non sur la partie supérieure du pédoncule caudal ;

 Cette tache peut être transférée de manière irrégulière vers la région inférieure de la ligne latérale :                                                                              => 13

12a) (11a). Présence de pores secondaires sur des écailles isolées de la nageoire caudale, avec plus de deux pores sur la ligne latérale étendue. Les nageoires pelviennes n’atteignent généralement pas l’origine anale ;

Présence de deux rangées d’écailles entre les rayons les plus longs de la nageoire dorsale ;

Tache latérale arrondie (dans la vie elle a un abdomen rougeâtre), elle est endémique de Laguna Ocotal, Ocosingo, Chiapas :                                                  => Rocio ocotal

12b). Absence de pores sur les écailles de la nageoire caudale, avec un ou deux pores sur la ligne latérale étendue.

Les nageoires pelviennes atteignent presque toujours l’origine anale ;

Présence d’une rangée d’écailles entre les rayons les plus longs de la nageoire dorsale ;

Présence d’une tache carré latéral (dans la vie l’abdomen n’est pas rougeâtre) :                                                                                                                    => Rocio octofasciata

Rocio octofasciata

13a) (11b). Mandibule supérieure projetée, lèvres très épaissies et corps allongé :                                                                                                       => Wajpamheros nourissati

13b). Mandibule supérieure non projetée, lèvres légèrement épaissies ou pas épaissies et corps plus profond que long :                                                   => 14

14a) (13b). Présence d’un motif coloré avec trois taches, une à l’origine de la ligne latérale, la seconde au milieu du flanc et la dernière à la base de la nageoire caudale (il peut y avoir d’autres taches mal définies) :                     => Amphilophus trimaculatus

14b). Absence du motif décrit dans l’option précédente :             => 15

15a) (14b). Épines anales VII, 8 à 9 barres verticales sombres sur les côtés, avec un motif réticulé sur les nageoires dorsale et caudale (spécifié par des points présents entre les épines des nageoires), avec présence de lignes ou de points bleus sur la face inférieure de la face :                                                             => Cribroheros robertsoni

15b). Epines anales VI, 5 barres verticales, nageoires dorsale et caudale translucides, sans motif réticulé, absence de lignes ou de pointes sur la partie inférieure du visage :                                                                                              => Astatheros macracanthus

16a) (9b). Dents spatulées dans la majeure partie de la bouche :                                                                                                                                        => 17

16b). Dents coniques dans la majeure partie de la bouche :    => 18

17a) (16a). Corps rond avec une petite tache sombre à la base centrale du pédoncule caudal :                                                                                     => Cincelichthys pearsei

17b). Corps haut mais de forme non ronde avec une grande tache sombre sur le pédoncule caudal :                                                                 => Kihnichthys ufermanni

18a) (16b). Bouche fortement subterminale en forme de bec, dents dentaires moyennes dirigées vers l’avant :                                                         => Paraneetroplus gibbiceps

18b.) Bouche terminale ou modérément subterminale, dents de la mandibule inférieure médianes dirigées dorsalement :                                                => 19

19a) (18b). Avec un corps allongé et un motif réticulé sur les parties molles de la nageoire dorsale, de la nageoire caudale et de la nageoire anale :                                                                                                                                       => 20

19b). Avec corps profond ou moyennement profond et bouche terminale :                                                                                                                           => 22

20 a) (19a) Avec bouche terminale, lèvre supérieure coïncide avec la partie inférieure de l’orbite oculaire et formule dorsale : XV-12 et formule anale : IV-9 :                                                                                                                                => Rheoheros coeruleus

20b) A bouche modérément subterminale, Formule dorsale du XVI au XVII-11 à 14 ; formule anale de IV à VI-8 à 10 :                                            => 21

21a) Corps avec de petites pointes réparties sur la majeure partie du corps, les nageoires pectorales dépassent l’anus, touchant la première ou la deuxième épine anale, formule dorsale XVII-11 à 12, formule anale VI-8 :    => Rheoheros lentiginosus

Rheoheros lentiginosus

21b) Corps sans petites pointes, nageoires pectorales n’atteignant pas la première épine anale, formule dorsale XVI-13 à 14, formule anale IV à V-10 :                                                                                                                                        => Theraps irregularis

22a) (19b) Présence d’une large bande noire qui s’étend de l’opercule jusqu’à un peu plus de la moitié du corps pour rejoindre une barre verticale également noire, ladite union se produisant juste au-dessus de la première épine anale, simulant un « L inversé » qui se termine par la dernière épine de la nageoire dorsale (les écailles de cette marque ont une ligne verticale noire) :                                        => Chuco intermédium

22b). Il ne présente pas le motif en « L » inversé décrit dans l’option précédente :                                                                                                                => 23.

23a) (22b). De 5 à 7 barres verticales foncées (la première barre oblique), avec présence d’une tache proéminente dans la partie centrale de la quatrième barre verticale, avec un ocelle ovale à légèrement carré sur le pédoncule caudal :                                                                                                               => Mayaheros urophthalmus

23b). L’absence du motif antérieur, l’absence de barres verticales ou des barres verticales incomplètes associées à la partie dorsale du corps peuvent être observées sur le corps, formant une bande longitudinale :                                                                                                                                                                      => 24.

24a) (23b) Présence de deux larges barres interorbitales (Prendre en compte que ce caractère est perdu dans les échantillons fixés pour Vieja hartwegi et Vieja breihdori donc revoir l’option suivante) :                                                    => 25

24b). Présence de plus de deux barres interorbitales ou absence de bandes interorbitales :                                                                             => 28

25a) (24a) Avec présence de bandes longitudinales complètes ou incomplètes sur le corps :                                                                                         => 26

25b) Absence de barres horizontales dans la caisse :                => 27

26a) (25a) Présence de deux bandes longitudinales ;

La première bande longitudinale est droite et correspond à la partie médiane du corps ;

Elle va de l’opercule à la base du pédoncule caudal et la deuxième bande latérale est située dorsalement parallèlement à la première bande longitudinale ;

Cette bande est formée par la présence de cinq barres verticales incomplètes qui ressemblent à des taches irrégulières au-dessus de la première barre.

Présence de points rouges ou de taches rouges sur la tête :               => Vieja hartwegi

26b) La bande longitudinale médiane est nettement fragmentée, formant une série de taches séparées ou reliées entre elles qui s’estompent dans la partie antérieure et n’atteignent pas l’opercule ;

Absence de la deuxième barre latérale, il y a une absence de points rouges ou de taches rouges, mais des petits points sombres sur les côtés de la tête :                                                                                                                                         => Vieja breidohri

27a) (25b). Présence d’une tache en forme de selle sur la nuque, juste au-dessus des barres interorbitaires.

La couleur du corps est de nombreuses marbrures de blanc (points sur les écailles) ;

Il présente deux séries de taches noires latérales, le long de la ligne latérale supérieure et sur la moitié du flanc (chez les spécimens plus âgés, les taches postérieures deviennent diffuses ou absentes) :                                        => Maskaheros argenteus

27b). Pas de tache de selle sur la nuque.

La couleur du corps est grisâtre ou vert olive avec de nombreuses rangées de petites taches brun rougeâtre disposées sur toute sa longueur ;

Corps non repéré avec présence de quatre barres verticales peu visibles réduites à deux ou trois taches sur la ligne latérale supérieure chez l’adulte ;

(Chez les spécimens vivants ou frais, la tête est couverte de nombreuses taches bleu turquoise vif) :                                                                               => Maskaheros regani

28a) (24b) Présence de fines barres ou lignes brunes avec des tons métalliques à travers la région interorbitaire, le museau et les joues (Uply sept) :                                                                                                                               => Grammodes Chiapaheros

28b) Absence de barres interorbitales :                                      => 29

29a) (28b). Présence de barres longitudinales dans le corps (complètes ou incomplètes) :                                                                             => 30

29b) Bande longitudinale fragmentée ou absence de bandes longitudinales sur le corps :                                                                                                  => 31

31a) (29b) Larges barres verticales noires sur le corps (cinq vers le haut), avec une grande tache quadrangulaire qui s’étend sur presque tout le pédoncule caudal et présence d’écailles noires sur la majeure partie du corps    :       => Hétérospila oscura

Oscura heterospila

31b) Absence de barres verticales ;

La bande longitudinale médiane est nettement fragmentée, formant une série de taches séparées ou reliées qui s’estompent dans la partie antérieure et n’atteignent pas l’opercule, sans écailles noires :                                                           => Vieja breihdori

30a) (29a). Présence de deux barres longitudinales dans la caisse (complète ou incomplète) :                                                                              => 31

30b). Présence d’une barre longitudinale (Complète ou incomplète) :                                                                                                                                   => 32

31a) (30a). Présence d’une grande tache operculaire sombre qui s’étend jusqu’au bord de l’œil.

Barre longitudinale complète plus présence d’une deuxième barre longitudinale partielle, sur le flanc supérieur, complètement séparée de la bande inférieure par une zone dégagée :                                                                                   => Vieja bifasciata

31b) Présence d’une tache en forme de croissant sur l’opercule.

La bande située au sommet de la première bande est formée par la présence de cinq barres verticales incomplètes qui ressemblent à des taches irrégulières ;

Les deux bandes sont séparées par un espace étroit qui se confond fréquemment :                                                                                                                      => Vieja hartwegi

32a) (30b). Présence d’une bande longitudinale sombre et incomplète (légèrement inclinée), qui s’étend généralement de la base de la nageoire caudale jusqu’à proximité du milieu du corps, cette tache peut s’étendre ventralement et donner une couleur noirâtre :                                                                                             => Vieja melanurus

32b) Présence de la bande longitudinale irrégulière ou irrégulière complète :                                                                                                                       => 33

33a) (32b) Nageoires pelviennes atteignant l’origine anale. La proportion de la quatrième épine dorsale par rapport à la distance à la ligne latérale supérieure est de 51 à 57 %. Bande longitudinale continue, arquée et à bords irréguliers, profil du museau et de la tête arrondis :                                                                           => Vieja guttulata

33b). Les nageoires pelviennes dépassent l’origine anale et touchent généralement la première épine anale.

La proportion de la quatrième épine dorsale par rapport à la distance à la ligne latérale supérieure est de 73 à 99 %.

Bande longitudinale à bords réguliers, vifs et définis. Museau et tête angulaires, profil de tête droit :                                                                                             => Vieja zonata

34a) (1a). Entre 8 et 12 branchiospines sur la partie inférieure du premier arc branchial :                                                                                                              => Coptodon zilli

34b). Entre 14 et 29 branchies sous la première branchie         => 35

35a) (34b). XVII – XVIII épines sur la nageoire dorsale, 19 à 22 branchies sur la branche inférieure du premier arc branchial ;

Barres verticales très visibles sur la nageoire caudale :         => Oreochromis niloticus

35b). XVI épines sur la nageoire dorsale ; de 14 à 28 branchiospines :                                                                                          :                                   => 36

36a (35b). 21 à 28 branchies au bas du premier arc branchial, épines XIV à XVI sur la nageoire dorsale ; yeux foncés et opercule tacheté :                 => Oreochromis aureus

36b) 14 à 20 épines branchiales sur la partie inférieure du premier arc branchial, épines XV à XVI sur la nageoire dorsale ; yeux jaunes ou bleus; 5 rangées d’écailles sur le côté :                                                                             => Oreochromis mossambicus.

MORPHOLOGIE

Corps

Ces poissons visuellement frappants et à la parure originale présentent un corps de forme ovale avec une forme comprimée latéralement, ce qui leur confère une apparence élégante et profilée.

Le corps des Cincelichthys pearsei est remarquable grâce à son profil latéral élevé et une forme arrondie.

Les mâles peuvent avoir une bosse frontale modérée….dans tous les cas, c’est un poisson aux caractéristiques et à l’apparence robustes.

Tête

De plus, les Cincelichthys pearsei présentent des lèvres épaisses ornées d’un pli charnu au-dessus du bord, contribuant à leur charme unique et charismatique.

Nageoires

Les nageoires dorsale, anale et caudale sont ornées de taches pâles ou blanches.

Leurs nageoires dorsale et anale allongées et pointues, associées à une nageoire caudale en forme d’éventail, ajoutent à leur profil distinctif.

Ecailles

Sur le bord du corps, les Cincelichthys pearsei ont des écailles noires dispersées.

TAILLE

Il s’agit d’une grande espèce.

Les mâles Cincelichthys pearsei peuvent atteindre 42-45 centimètres au maximum tandis que les femelles ont tendance à être un peu plus petites à et atteignent au plus 35-37 centimètres.

Ces poissons peuvent également atteindre la taille considérable de 45 centimètres !

Cincelichthys pearsei est donc un cichlidé de grande taille à laquelle il faudra faire attention pour le choix du bac.

Cincelichthys pearsei possède une belle gamme de couleurs, y compris des nuances de bleu, de vert et d’or, souvent avec des marques noires distinctes.

Son corps allongé et ses nageoires proéminentes ajoutent à son apparence majestueuse, ce qui en fait un point central dans n’importe quel aquarium.

COLORATION

Corps

La coloration d’un Cincelichthys pearsei adulte varie du brun clair au gris foncé avec un grand nombre de petites taches sombres sur les côtés et le dos.

Habituellement, Cincelichthys pearsei a une grande bande noire se détache sur les côtés du poisson, qui s’étend de la tête à la queue.

Tête

Il y a aussi une bande brillante passe à travers les yeux, ce qui crée un motif contrasté sur la tête du poisson.

Nageoires

Les nageoires sont longues et se terminent peu avant la nageoire caudale, avec des extrémités jaune-vert irisées.

Les nageoires et la nageoire caudale présentent de nombreuses pointes irisées jaune-vert.

L’évolution de la couleur chez Cincelichthys pearsei

Les Cincelichthys pearsei sont réputés pour leur apparence captivante, caractérisée par un corps jaune-orange vif orné de taches noires frappantes et de motifs complexes bleu-vert et rouge.

Quand ils sont très jeunes, ils sont gris, assez fades, semblables à d’autres jeunes Theraps, Vieja du même âge (Attention aux confusions si tous ces jeunes poissons sont mélangés dans le même bac !) et la tâche ventrale qui marque le début de leur coloration arrive très rapidement.

Quand ils sont jeunes, ils présentent une teinte jaune pâle avec une paire de taches, l’une au milieu du corps, au début de la moitié inférieure du poisson et l’autre à la base de la nageoire caudale.

Devenus juvéniles, ils sont d’une couleur jaune pâle avec quelques taches à la moitié du corps lorsqu’il arrive à l’âge adulte la base de son corps change vers une couleur jaune marron, des tons bleus apparaissent sur la queue et les nageoires, ainsi qu’une tache brun foncé dans la moitié inférieure du poisson.

Lorsqu’ils atteignent la maturité, les Cincelichthys pearsei ont une couleur de base brun clair, presque jaune, il peut avoir des tons bleutés sur la queue et les nageoires, en plus d’une tache brun foncé sur la moitié inférieure du poisson.

Au niveau de la coloration, il faut être patient avec ce poisson, car la coloration définitive de ce cichlidé arrive assez tardivement…ce qui explique certainement le peu d’attrait qu’ils proposent compte tenu de leur taille quand ils sont en vente dans les animaleries.

En effet jusqu’à l’âge de 2 ans environ soit une taille d’environ de 20/25 centimètres, la couleur des Cincelichthys pearsei reste grise avec une tâche noire sur le ventre…ce qui impose à l’éleveur une bonne dose de patience avant d’avoir de magnifiques poissons !

Les jeunes Cincelichthys pearsei en pleine croissance présentent une teinte jaune pâle avec une paire de taches, l’une au milieu du corps, au début de la moitié inférieure du poisson et l’autre à la base de la nageoire caudale.

Lorsqu’il atteint sa maturité, le poisson a une couleur de base brun clair, presque jaune, il peut avoir des tons bleutés sur la queue et les nageoires, en plus d’une tache brun foncé sur la moitié inférieure du poisson.

La couleur de la tête varie du jaunâtre au turquoise verdâtre sur la face supérieure, tandis que la face inférieure est brun foncé à brun rougeâtre.

Les variations de couleurs

En coloration, les Cincelichthys pearsei surprennent car il existe 2 variantes de ce poisson :

  • Une variante du Mexique : Le Cincelichthys pearsei du Mexique a un ventre noir et des bandes verticales noires et une tache noire sur la racine caudale, sa couleur de fond est principalement jaune, mais peut aller du gris-vert au jaune-vert vif.

En plus du ventre noir, la variante du Rio Lacanjah a également un certain nombre de bandes verticales noires.

La racine caudale a également une tache noire.

Le corps a également une couleur de fond jaune limoneux.

et

  • Une variante du Guatemala : La variante du Guatemala a une carrure plus élancée, elle a un ventre noir et pas de rayures.

La couleur de fond est principalement verte.

Ce dernier est plus mince que la variante mexicaine, également cette variante n’a qu’un ventre noir sans bande supplémentaire et la couleur de fond est principalement verte et un peu plus pâle.

Selon son origine, Cincelichthys pearsei peut ainsi être coloré différemment mais ce n’est pas le seul critère de différenciation des 2 variantes, en effet, la variante du Mexique est d’aspect plus robuste et plus puissant, tandis que celle du Guatemala est plus mince et élancée et a un ventre noir qui est vert dans la majeure partie du corps.

Selon l’humeur de l’animal en question, quelle que soit sa variante, cette couleur peut varier du gris-vert au jaune-vert vif.

SIGNES DISTINCTIFS & DIFFERENCIATION

Au sein du genre « Cincelichthys », distinguer Cincelichthys pearsei de Cincelichthys bocourti est vraiment très simple !

DUREE DE VIE

Dans la nature, ils peuvent vivre environ 18 ans, et dans un aquarium bien entretenu, ils peuvent atteindre un âge similaire.

La durée de vie prévue d’Herichthys pearsei est d’environ 10 ans, mais avec des soins optimaux et un environnement bien entretenu, ils peuvent parfois vivre encore plus longtemps.

Une qualité constante de l’eau, une alimentation équilibrée et des conditions de réservoir appropriées contribuent tous à leur longévité.

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VIDEO

AUTRES LIENS

[1] Abréviation de million years ago (« millions d’années »), parfois utilisé en géologie ou en paléontologie.

[2] En biologie, le mot « méristique » signifie divisé selon un schéma régulier.

[3] La monophylie (ou plus rarement l’holophylie ou encore la monophylie stricte1), du grec μόνος / mónos, « seul » et φῦλον / phūlon, « tribu, genre, espèce2 », est la caractéristique d’un groupe qui contient l’espèce souche dont descendent tous ses membres. Un groupe monophylétique est appelé aussi un clade.

[4] Une Mysis nomme la dernière phase larvaire des crustacés décapodes comme pour toute crevette, quand elle acquiert les appendices abdominaux au cours de mues successives. La larve mysis rappelle par sa forme un crustacé mysidacé, elle a tous les appendices de l’adulte mais toutefois sa morphologie est rudimentaire. Les mysis se nourrissent principalement d’algues du phytoplancton, et les diatomées.

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